Rejoindre un cursus de santé en Europe dès janvier : une opportunité à ne pas manquer
Chaque année, les étudiants français rêvent d’intégrer une formation de médecine, de dentaire, de kinésithérapie ou de pharmacie à l’étranger. Si la plupart visent la rentrée de septembre, peu savent qu’il est également possible de commencer leurs études dès le mois de janvier dans plusieurs universités européennes.
Cette option, encore méconnue, représente pourtant une chance unique de gagner du temps, d’optimiser ses démarches et d’intégrer plus sereinement un cursus international.
Dans cet article, Take Me to MedSchool vous explique en détail comment fonctionnent ces rentrées décalées, quelles universités les proposent, leurs avantages, les conditions d’admission, les démarches à entreprendre et les profils pour lesquels ce choix peut faire toute la différence.
1. Pourquoi certaines universités ouvrent une rentrée en janvier ?
Historiquement, la plupart des formations de santé en Europe suivaient un calendrier universitaire classique, avec un démarrage en septembre ou octobre. Mais face à la demande croissante d’étudiants internationaux, de nombreuses universités ont progressivement ouvert une deuxième rentrée, dite “rentrée de printemps”, entre janvier et mars.
Cette initiative répond à plusieurs logiques :
- Fluidifier le flux d’admissions internationales, en répartissant les arrivées d’étudiants sur deux semestres.
- Permettre aux candidats en retard ou en réorientation de ne pas perdre une année entière.
- Offrir plus de flexibilité aux étudiants étrangers qui doivent parfois attendre un visa, un diplôme ou un financement avant de pouvoir partir.
Aujourd’hui, cette double rentrée universitaire concerne de plus en plus d’universités européennes, notamment en Lettonie, Lituanie, Hongrie, Chypre, Croatie ou encore Espagne.
2. Quels cursus de santé sont accessibles en janvier ?
Les formations concernées par la rentrée de janvier couvrent l’ensemble des grands domaines de la santé :
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Filière |
Durée moyenne des études |
Langue d’enseignement |
Pays proposant une rentrée en janvier |
|
Médecine |
6 ans |
Anglais |
Lettonie, Lituanie, Chypre, Hongrie |
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Dentaire (Dentistry) |
5 ans |
Anglais |
Lettonie, Hongrie, Croatie |
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Kinésithérapie (Physiotherapy) |
4 ans |
Anglais |
Lettonie, Lituanie, Espagne |
|
Pharmacie |
5 ans |
Anglais |
Lituanie, Chypre, Hongrie |
|
Vétérinaire |
6 ans |
Anglais |
Hongrie, Croatie |
Cette liste n’est pas exhaustive, mais elle illustre bien que toutes les filières principales de santé offrent désormais des rentrées de janvier dans au moins un pays européen.
Certaines universités disposent même de plusieurs sessions d’entrée par an, afin d’ajuster les promotions en fonction du nombre de candidats internationaux.
L’exemple emblématique de notre partenaire à Riga en Lettonie
Rentrée possible
Soit en Septembre, soit en Janvier
Langue d’enseignement
Les cursus sont disponibles intégralement en anglais
Reconnaissance des diplômes
Reconnus partout dans l’Union Européenne après avoir suivi les démarches de chaque pays
Nos programmes
Nous proposons une rentrée en Janvier pour les programmes de médecine et dentaires avec l’université
Les programmes de la RSU sont réputés pour leur qualité d’encadrement, leur enseignement moderne et leur forte dimension internationale. Plus de 30 % des étudiants y sont étrangers, issus de plus de 60 pays. L’université dispose d’une structure hospitalière intégrée à Riga, ce qui facilite les stages dès les premières années.
Pour les candidats français, la rentrée de janvier 2026 est déjà ouverte, et les candidatures doivent idéalement être déposées entre octobre et décembre 2025. Contactez-nous pour bénéficier de notre accompagnement.
3. Quelles sont les différences avec une rentrée de septembre ?
Sur le plan académique, aucune différence de niveau ni de contenu n’existe entre la rentrée d’automne et celle de janvier. Les deux suivent les mêmes modules, avec des semestres simplement décalés.
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Rentrée de septembre |
Rentrée de janvier |
|
|
Délai avant le départ |
6 à 12 mois |
3 à 4 mois |
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Volume de candidatures |
Très élevé |
Modéré |
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Accès à certaines universités |
Toutes les universités |
Places souvent disponibles dans certaines universités |
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Démarrage des stages |
Été suivant |
Hiver suivant |
4. Les profils pour lesquels la rentrée de janvier est idéale
La rentrée de janvier ne s’adresse pas seulement aux étudiants en retard dans leurs démarches. Elle constitue surtout une opportunité stratégique pour des profils variés, qui souhaitent ne pas perdre de temps et reprendre la main sur leur parcours.
Les étudiants en réorientation après une PASS/LAS ou une licence scientifique
Chaque année, des milliers d’étudiants engagés dans un parcours de PASS, LAS ou licence scientifique réalisent qu’ils souhaitent avant tout exercer un métier de santé, mais que le système français ne leur en donne pas la possibilité.
Les places limitées, la pression du classement et la complexité du concours en France ferment trop souvent la porte à des candidats pourtant motivés et compétents. Pour ces profils, la rentrée de janvier est une solution concrète : elle permet de bifurquer rapidement vers une formation de santé européenne, sans attendre septembre.
Plutôt que de subir une année blanche, ils peuvent faire valoir leurs acquis (en biologie, anatomie, chimie, etc.) dans une université européenne ouverte à la diversité des parcours.
Exemple : un étudiant ayant terminé une année de LAS en juin 2025 peut candidater dès l’automne pour une rentrée en janvier 2026 à Riga, et ainsi reprendre immédiatement ses études médicales dans un cadre européen reconnu.
Contactez-nous dès maintenant pour commencer ensemble votre projet.
Les candidats refusés en septembre souhaitant rebondir sans attendre
Beaucoup d’étudiants motivés voient leurs candidatures de septembre refusées faute de places disponibles, non par manque de niveau. Les universités étrangères, notamment dans les filières sélectives comme la médecine ou la dentaire, reçoivent plusieurs milliers de dossiers pour quelques centaines de places.
La rentrée de janvier leur offre une deuxième chance réelle. En relançant leur dossier à l’automne, ils bénéficient :
- d’un volume de candidatures bien plus faible,
- d’une attention plus individualisée de la part des universités,
- et de critères de sélection parfois légèrement assouplis.
Ceux qui ont déjà constitué un bon dossier pour septembre ont l’avantage de pouvoir le réutiliser, l’améliorer et le renvoyer presque immédiatement.
Les étudiants en année de césure ou en pause d’études
La rentrée de janvier attire également de nombreux étudiants en césure, qu’ils soient en pause après le bac ou après une première expérience universitaire.
Certains ont choisi de voyager, travailler ou perfectionner leur anglais avant de se lancer dans des études longues et exigeantes. D’autres ont simplement pris du recul pour confirmer leur vocation dans le domaine de la santé.
Pour eux, janvier représente le moment idéal pour concrétiser leur réflexion : ils n’ont pas à attendre un nouveau cycle d’admission et peuvent intégrer une formation européenne dès la fin de leur pause.
Ce rythme décalé s’accorde parfaitement avec une année de transition bien gérée : ils reprennent leurs études au bon moment, avec plus de maturité et de motivation.
Les bacheliers ayant obtenu leur diplôme en retard
Certains candidats obtiennent leur baccalauréat tardivement, à la session de rattrapage, ou après un report de dossier Parcoursup.
D’autres attendent la validation de leur traduction de diplôme ou d’attestation finale, indispensable pour candidater à l’étranger.
Dans tous ces cas, le calendrier classique de septembre devient impossible à tenir. La rentrée de janvier agit alors comme une porte de sortie précieuse : elle leur permet de ne pas perdre une année entière à cause d’un simple décalage administratif.
Les universités européennes acceptent ces profils à condition que tous les documents soient finalisés avant décembre, ce qui laisse plusieurs mois pour compléter le dossier et préparer le départ dans de bonnes conditions.
Janvier, le moment idéal pour oser le départ
Longtemps considérée comme une rentrée « de rattrapage », la rentrée de janvier est aujourd’hui une alternative stratégique et valorisée. Elle permet aux étudiants de santé de gagner un semestre, de profiter d’une sélection plus ouverte et de préparer sereinement leur départ tout en bénéficiant d’un suivi plus personnalisé.
Si vous envisagez de partir étudier en Europe en 2026, c’est dès maintenant qu’il faut commencer vos démarches. Les candidatures pour la rentrée de janvier ouvrent dès l’automne, et les places sont limitées.
Take Me to MedSchool vous guide pas à pas : de la candidature à l’inscription, jusqu’à votre première journée de cours à l’étranger.
Ne perdez pas un an : faites de janvier le point de départ de votre avenir médical.