Auteur/autrice : Jean-Baptiste

Études de santé dans les Caraïbes : le guide

Écrit par Jean-Baptiste le 11 juin 2025. Publié dans Non classé.

Études de santé dans les Caraïbes : nos services

Comment intégrer un cursus de santé aux Caraïbes ?

Et si votre avenir de médecin ou de vétérinaire commençait au bord d’une plage turquoise ? Les Caraïbes ne sont pas qu’une destination de rêve, c’est aussi un véritable hub pour les études de santé. Chaque année, des milliers d’étudiants du monde entier choisissent cette région pour se former dans un cadre anglophone, avec des programmes exigeants et reconnus à l’international.

Parmi les institutions les plus réputées, St. George’s University (SGU), située sur l’île de Grenade, fait figure de pionnière. Créée en 1976, elle a formé plus de 20 000 professionnels de santé aujourd’hui en poste dans les hôpitaux du monde entier. Si vous visez un parcours médical tourné vers l’international, SGU est une option sérieuse et pleine de potentiel.

Définition de votre projet

Étape 1

On commence par un entretien : votre niveau, vos objectifs, vos attentes. Est-ce que l’université SGU est adapté à votre profil ? Si non, il y a t’il d’autres universités et destinations plus adaptées ?
Réalisation et envoi de votre dossier

Étape 2

On vous accompagne dans chaque étape : traduction des notes, lettre de motivation, certification d’anglais, préparation à l’entretien…

Objectif : présenter un profil professionnel, clair et cohérent.
Admission et préparation au départ

Étape 3

On va accompagne jusqu’à l’admission et même au-delà afin de vous permettre de partir dans les meilleures conditions.

Quelles spécialités pour partir dans les Caraïbes avec Take Me to MedSchool ?

Étudier la santé à SGU, ce n’est pas juste “partir sous les tropiques”. C’est s’engager dans un cursus intensif, en anglais, avec un haut niveau d’exigence académique. Vous devez avoir un bon dossier scientifique, une vraie motivation, et l’envie de sortir de votre zone de confort.

SGU n’est pas une solution de facilité, c’est une porte d’entrée vers la pratique médicale à l’échelle mondiale, avec des stages cliniques aux États-Unis ou au Royaume-Uni.

Cursus de médecine (MD – Doctor of Medicine)

Durée : 4 ans (si vous avez déjà un Bac+3) ou 6 ans (après le bac)

Les 2 premières années se déroulent sur le campus de Grenade (sciences médicales), puis les 2 dernières années en stages cliniques auront lieu aux États-Unis ou au Royaume-Uni
Études de vétérinaire (DVM – Doctor of Veterinary Medicine)

Durée : 6 ans

La formation théorique se déroule à Grenade, puis la dernière année en clinique vétérinaire en Amérique du Nord ou au Royaume-Uni

Le diplôme est accrédité AVMA (donc reconnu aux USA, Canada, UK)

Découvrir la Saint Georges University aux Caraïbes

Take me to MedSchool a mis en place un partenariat avec l’université de St Georges University (SGU) pour proposer des cursus médicaux reconnus dans les pays anglo-saxons.

Université ST Georges à Grenade pour étudier la santé

St. Georges University (SGU)

Oui, il s’agit bien du campus mis en avant sur la photo!

St. George’s University (SGU), implantée sur l’île de Grenade dans les Caraïbes, est une référence mondiale en matière de formation médicale anglophone. Depuis 1976, elle a formé plus de 20 000 médecins aujourd’hui en exercice dans le monde entier. L’université accueille une communauté étudiante internationale, avec des étudiants venus de plus de 150 pays, réunis autour d’un objectif commun : devenir des professionnels de santé compétents et prêts à exercer à l’échelle globale.

L’université est reconnue pour son haut niveau académique et sa préparation efficace à l’USMLE, l’examen clé pour exercer aux États-Unis.

Sur son vaste campus tropical, SGU offre un environnement d’études moderne et inspirant, entre rigueur académique, immersion internationale et qualité de vie rare. C’est bien plus qu’un lieu d’études : c’est un tremplin vers une carrière médicale mondiale.

Vous êtes prêt à vous lancer ?

Contactez-nous dès maintenant pour commencer ensemble votre projet.

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Pourquoi choisir les Caraïbes pour vos études de santé ? Focus sur St. George’s University (SGU)

Depuis plusieurs décennies, St. George’s University s’impose comme un acteur majeur de la formation en médecine et en médecine vétérinaire anglophone. Take me to MedSchool vous présente toutes les raisons pour lesquelles vous devez rejoindre l’établissement pour vos études :

Une université reconnue

Une université reconnue dans le monde entier
SGU a formé plus de 20 000 médecins et 2 000 vétérinaires aujourd’hui en activité aux États-Unis, au Royaume-Uni, au Canada et ailleurs. Son diplôme de Doctor of Medicine (MD) est reconnu internationalement, tout comme son Doctor of Veterinary Medicine (DVM), accrédité par l’AVMA.
Un accès direct à la pratique clinique

Les étudiants en médecine effectuent leurs deux dernières années de formation dans l’un des 75 hôpitaux partenaires aux États-Unis ou au Royaume-Uni. En vétérinaire, la dernière année se déroule dans des cliniques accréditées en Amérique du Nord ou en Europe. Résultat : une préparation solide, concrète et connectée au monde réel.
Un environnement d’étude unique

Étudier à SGU, c’est vivre sur un campus moderne niché entre plages caribéennes, nature tropicale et infrastructures de haut niveau. Un cadre de vie serein, qui favorise la concentration, l’autonomie et l’équilibre personnel, sans compromis sur l’exigence académique.
Une communauté internationale

SGU accueille des étudiants de plus de 150 nationalités. Cette diversité crée un climat d’ouverture, de tolérance et de stimulation intellectuelle. Vous y développerez autant vos compétences médicales que votre capacité à travailler dans des équipes multiculturelles.
Des débouchés concrets et globaux

Grâce à la reconnaissance de ses diplômes et à la qualité de sa préparation aux examens internationaux (notamment l’USMLE, obligatoire pour exercer aux États-Unis), SGU est un tremplin vers une carrière médicale sans frontières.

Quel profil pour étudier la santé à la SGU ?

Les formations de la SGU sont des formations intenses, professionnalisantes et internationales. Le cadre est unique, l’ambition est globale, mais l’exigence est bien réelle. SGU cherche des candidats capables de combiner solide niveau académique, engagement personnel et aptitude à évoluer dans un environnement multiculturel.

Le profil idéal ? Un étudiant motivé, rigoureux, à l’aise en anglais, capable de travailler en équipe et de faire preuve de résilience. Plus qu’un bon dossier, c’est un projet clair et cohérent que l’université veut voir. Voici les critères clés pour postuler :

Des résultats solides en sciences

Le dossier

Les candidats doivent démontrer de bonnes performances en biologie, chimie, physique et mathématiques.

Pour le programme de 6 ans, un diplôme de fin d’études secondaires (équivalent bac) avec des notes élevées est requis. Pour le programme de 4 ans (post-bac+3), une licence scientifique ou un diplôme équivalent est attendu.
Diplôme(s) pertinent(s)

Les requis de la SGU

Médecine (6 ans) : baccalauréat ou équivalent avec spécialisation scientifique.

Médecine (4 ans) : licence (ou Bachelor) dans une discipline liée aux sciences de la vie.

Médecine vétérinaire (DVM) : même logique, selon l’entrée en pré-vétérinaire ou cycle principal.
La maîtrise de l’anglais

Les langues

L’université étant anglophone, les étudiants doivent justifier d’un niveau suffisant via un des examens d’anglais reconnus :

IELTS : 7.0 recommandé

TOEFL iBT : 90 à 100+
Tests d’aptitude

Les examens

Le MCAT est demandé par l’université mais uniquement pour les étudiants nord-américains. Dans le cas d’un étudiant français ou européen, le requis n’est donc pas nécessaire et seules plusieurs interviews seront mises en place.
Motivation et présentation de votre projet

Un parcours tout tracé

Une lettre de motivation claire, structurée et personnelle est essentielle. Pourquoi SGU ? Pourquoi la médecine ou la médecine vétérinaire ? Quel projet à long terme ? Il faut montrer que votre démarche est réfléchie, pas opportuniste.
Compétences humaines

Relationnel

La SGU cherche des étudiants capables d’écouter, de collaborer, de gérer la pression, de faire preuve d’éthique et d’empathie. Ces qualités doivent transparaître dans votre parcours, vos expériences ou vos recommandations.

Le processus d’admission de la SGU : les entretiens

Take me to MedSchool vous accompagne à travers les trois étapes de l’université:

L’évaluation initiale du dossier
L’entretien de motivation
La décision finale de l’université

Une fois votre dossier complet envoyé (formulaire + pièces justificatives), il est transmis au comité de sélection pour une première évaluation.

Take me to MedSchool vous prépare à l’entretien oral de sélection

L’entretien est une étape clé. C’est l’occasion de montrer comment votre parcours vous a préparé à réussir en médecine, tant sur le plan académique qu’humain.

L’échange porte sur vos expériences, vos valeurs, votre motivation, et votre capacité à évoluer dans un environnement médical exigeant. Nos conseillers vous accompagne et vous prépare à vous présenter sous votre meilleur profil afin de mettre toutes les chances de votre côté pour votre admission.

Quelles sont les dates clés pour partir étudier dans les Caraïbes ?

Si vous visez la St. George’s University (SGU) à Grenade, sachez qu’elle propose deux rentrées universitaires par an : l’une en août, l’autre en janvier. La majorité des étudiants choisissent la rentrée d’août, qui correspond mieux au calendrier scolaire européen. La rentrée de janvier, plus flexible, peut convenir aux étudiants en réorientation ou à ceux qui veulent prendre quelques mois pour préparer leur départ.

Le bon tempo pour construire votre dossier :

Tout commence environ 9 à 10 mois avant la rentrée visée. En octobre ou novembre de l’année précédente, les inscriptions ouvrent, et c’est le moment idéal pour démarrer votre dossier. Il faut alors réunir vos relevés de notes, diplômes, lettres de recommandation, et surtout, soigner votre lettre de motivation. SGU attend des candidats déterminés, avec un projet professionnel clair et cohérent.

1. Ouverture des inscriptions

Octobre de l’année N-1
2. Préparation des dossiers

Novembre à avril
3. Fermeture des inscriptions aux Caraïbes

Avril
4. Examens de la SGU

Janvier à Mai
5. Examen de langue en anglais

Entre Novembre et Avril
6. Admission finale à la SGU

Entre Avril et Juin
7. Préparation au départ

Mai à Juillet
8. Rentrée universitaire aux Caraïbes

Août

Quels sont les frais universitaires aux CaraÏbes pour un cursus dans la santé ?

Étudier la médecine ou la médecine vétérinaire dans les Caraïbes reorésentera un budget très conséquent par rapport à al France. Mais c’est aussi un accès à une carrière médicale mondiale, avec des stages cliniques aux États-Unis ou au Royaume-Uni.

Pour les frais de scolarité, ils varient selon le programme :

Pour le Doctor of Medicine (MD), comptez environ 60 000 à 75 000 USD par an.
Pour le Doctor of Veterinary Medicine (DVM), les frais se situent entre 50 000 et 70 000 USD par an.

À cela s’ajoutent les frais de vie sur place, relativement stables à Grenade. En moyenne, il faut prévoir 15 000 à 25 000 USD par an pour le logement, la nourriture, les transports, l’équipement, les frais personnels et les assurances.

L’université exige également une assurance santé internationale (environ 1 000 USD) et des frais administratifs (environ 2 000 USD), notamment pour l’inscription, les documents officiels, et le visa étudiant.

Un coût total entre 75 000 et 100 000 USD par an

C’est un budget conséquent, mais qui ouvre des débouchés concrets : un diplôme reconnu internationalement, des stages dans des hôpitaux de haut niveau, et une vraie perspective d’exercice aux États-Unis, au Royaume-Uni ou ailleurs dans le monde.

SGU propose aussi des solutions de financement ainsi que des bourses partielles selon le profil académique. Là encore, nous pouvons vous aider à identifier les opportunités selon votre dossier.

Quelles sont les équivalences en France après l’obtention de votre diplôme de la SGU ?

Etudier la medecine a Grenade dans les Caraibes

Étudier la santé à la St. George’s University (SGU) à Grenade, c’est intégrer un cursus de haut niveau, accrédité dans plusieurs pays anglophones. Mais qu’en est-il de la reconnaissance en France ? Voici ce qu’il faut savoir pour anticiper votre avenir professionnel.

Médecine générale : que se passe-t-il une fois diplômé ?

Le Doctor of Medicine (MD) délivré par SGU n’est pas reconnu automatiquement en France. Comme pour tout diplôme obtenu hors Union Européenne, un diplômé en médecine devra suivre le parcours de reconnaissance des qualifications médicales étrangères.

Cela comprend :

L’Épreuve de Vérification des Connaissances (EVC), organisée par le Centre National de Gestion (CNG), qui évalue vos connaissances médicales générales.
Une période de stages en établissement de santé français, appelée « parcours de consolidation des compétences », destinée à valider votre adaptation au système médical français.
L’inscription à l’Ordre des Médecins, une fois ces étapes validées.

C’est un parcours exigeant, mais accessible aux candidats bien formés et motivés. SGU prépare solidement à l’exercice médical, ce qui constitue un atout réel pour affronter ces démarches.

Médecine vétérinaire : quelles démarches ?

Le Doctor of Veterinary Medicine (DVM) de SGU est accrédité par l’AVMA (American Veterinary Medical Association), ce qui le rend pleinement reconnu aux États-Unis, au Canada, et dans plusieurs pays du Commonwealth.

Pour exercer en France, les vétérinaires diplômés hors UE doivent :

Faire évaluer leur diplôme par le Conseil National de l’Ordre des Vétérinaires (CNOV).
Passer, si nécessaire, des épreuves complémentaires ou suivre une formation d’adaptation en clinique vétérinaire agréée.
S’inscrire à l’Ordre des Vétérinaires, une fois toutes les conditions remplies.

Et si je veux excercer ailleurs dans le monde ?

Cela aurait beaucoup de sens en tant que choix de carrière de souhaiter exercer par la suite dans un pays anglo-saxon ! L’un des grands avantages de SGU, c’est sa reconnaissance internationale. Le diplôme est particulièrement bien accueilli dans les pays anglophones, où les procédures d’exercice sont beaucoup plus directes :

États-Unis : passage de l’USMLE (examen national), stages cliniques déjà inclus dans le cursus SGU.
Royaume-Uni : inscription au General Medical Council (GMC) possible après validation des stages cliniques.
Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Singapour : reconnaissance sous conditions variables, souvent simplifiées par les accréditations internationales de SGU.

On répond à vos questions les plus courantes sur les études de santé aux Caraïbes

Vous envisagez un cursus en médecine ou en médecine vétérinaire aux Caraïbes, mais vous avez encore quelques doutes ou interrogations ? Voici les réponses aux questions qu’on nous pose le plus souvent.

Pouvez-vous m’accompagner avec d’autres universités aux Caraïbes ?

Take me to MedSchool est partenaire exclusif de la St. George’s University (SGU) à Grenade, l’université de référence en matière de santé dans la région. C’est l’établissement que nous recommandons pour son sérieux, son accréditation internationale, ses partenariats hospitaliers et sa qualité de formation.

Nous ne travaillons pas avec d’autres universités auc Caraïbes car nous tenons à proposer un cadre académique fiable, reconnu et exigeant, capable d’ouvrir des portes à l’international. Nous proposons en revanche de nombreuses autres destinations et universités partenaires que vous pouvez découvrir en nous contactant ou en parcourant le site.

Retrouvez le détails de nos tarifs sur la page « Nos Services »
Quand dois-je vous contacter pour débuter les démarches ?

Le plus tôt est toujours le mieux.

Nous conseillons de nous contacter entre 9 et 12 mois avant la rentrée souhaitée (soit dès septembre ou octobre pour une rentrée en août l’année suivante). Cela vous laisse le temps de préparer un dossier solide, de passer un test d’anglais si nécessaire (IELTS ou TOEFL), de faire vos demandes de logement et d’organiser votre départ dans de bonnes conditions.

Même en dernière minute, il est parfois encore possible d’intégrer la rentrée de janvier ou août, mais plus tôt vous commencez, plus vous avez de marge pour bien préparer votre projet.
Mon baccalauréat est-il reconnu pour intégrer SGU ?

Oui. Le baccalauréat scientifique (ou équivalent international) permet d’intégrer le programme de médecine ou de médecine vétérinaire en 6 ans à SGU. Il faut cependant avoir de bonnes notes en biologie, chimie, physique et mathématiques.

Si vous avez déjà un bac+3 scientifique (licence, Bachelor), vous pouvez postuler directement en programme de 4 ans (entrée en cycle clinique accéléré).
Puis-je être admis dans une université publique dans les Caraïbes pour faire médecine ?

Non. Les cursus de médecine dans les Caraïbes sont principalement proposés par des universités privées, comme SGU.

Il n’existe pas d’équivalent de l’université publique française dans cette région pour ce type de programme, surtout si vous recherchez une formation anglophone, accréditée, et tournée vers l’international.
Accompagnez-vous les étudiants dans toutes ces démarches ?

Oui. C’est précisément notre mission.

Take me to MedSchool vous accompagne du tout début jusqu’à l’arrivée sur le campus : orientation, évaluation du profil, constitution du dossier, lettre de motivation, préparation à l’entretien oral, choix du logement, visa, assurance santé…

Notre objectif : vous donner toutes les clés pour réussir votre candidature à SGU et partir dans les meilleures conditions.

Étudier la Kinésithérapie en Espagne : les infos

Écrit par Jean-Baptiste le 3 juin 2025. Publié dans Non classé.

Rejoindre un cursus de kinésithérapie en Espagne : nos services

Durée des études

4 ans (Grado en Fisioterapia)
30,8%

Part des kinésithérapeutes en France formés à l’étranger
50 universités

Qui délivrent une formation de kinésithérapeute en Espagne.
Une reconnaissance européenne

Nos partenaires sont reconnus pour excercer la kinésithérapie en France à la suite de votre cursus

L’Espagne pour la kinésithérapie : pourquoi elle attire les étudiants de toute l’Europe

L’Espagne est aujourd’hui une alternative de choix pour les étudiants souhaitant se former à la kinésithérapie, et devient pour beaucoup d’étudiants européens le premier choix évident.

En particulier pour les Français, qui représentent une large part des effectifs dans les universités privées espagnoles. En 2024, plus de 6 000 étudiants français étaient inscrits dans une formation de kinésithérapie en Espagne. Un chiffre qui ne cesse d’augmenter chaque année ! Mais qu’est-ce qui motive un tel exode académique ?

Une accessibilité renforcée : pas de concours, pas de numerus clausus

En France, l’accès aux études de kinésithérapie reste particulièrement sélectif. Il faut réussir une première année de médecine (PASS ou L.AS), extrêmement compétitive, avec un taux de réussite souvent inférieur à 15 %.

L’Espagne, de son côté, a fait un choix différent pour ses établissements privés : les admissions se font sur dossier, en prenant en compte le parcours académique du candidat, ses motivations, et parfois un entretien. Cela amène alors les étudiants français, souvent découragés par la sélection française, à se tourner vers l’Espagne afin d’accéder à une opportunité concrète de réaliser leur projet professionnel.

Des formations solides, tournées vers la pratique

Les universités espagnoles n’ont pas seulement une politique d’accès plus souple ; elles proposent aussi des programmes exigeants et bien structurés. La formation dure 4 ans (Grado en Fisioterapia), avec un équilibre rigoureux entre les enseignements théoriques (anatomie, biomécanique, pathologies…) et les stages pratiques. Les étudiants réalisent en moyenne plus de 1 000 heures de stage clinique, souvent dès la deuxième année, dans des hôpitaux, centres de rééducation ou cliniques partenaires.

Nos universités privées, comme l’Universidad Francisco de Vitoria (UFV) ou l’Universidad Europea, mettent l’accent sur l’innovation pédagogique : simulateurs haute fidélité, suivi personnalisé, enseignement en petits groupes. Les infrastructures sont modernes et bien équipées, ce qui réprésente un point fort régulièrement souligné par les étudiants étrangers.

Vous souhaitez rejoindre un cursus de kinésithérapie ?

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Un diplôme reconnu dans toute l’Union européenne

L’un des grands avantages des études de kinésithérapie en Espagne est que le diplôme est pleinement reconnu dans le cadre européen (Directive 2005/36/CE sur la reconnaissance des qualifications professionnelles). Cela signifie qu’un étudiant diplômé en Espagne peut exercer dans n’importe quel pays de l’Union européenne, à condition de valider les démarches d’équivalence administratives du pays concerné.

C’est une sécurité pour ceux qui souhaitent revenir en France exercer leur métier, ou au contraire s’installer à l’étranger après leur diplôme. Cela explique pourquoi l’Espagne attire aussi des étudiants belges, italiens, portugais ou même allemands.

Un climat et un cadre de vie attractifs

Enfin, il ne faut pas négliger l’aspect humain : étudier en Espagne, c’est aussi vivre dans un pays chaleureux, au climat agréable, avec une culture riche et une grande qualité de vie. Le soleil, la proximité de la mer, la convivialité espagnole et la richesse gastronomique participent à créer un environnement favorable à la réussite des études.

Les étudiants que nous accompagnons nous font toujours les mêmes retours : ils évoquent une ambiance de campus dynamique, une superbe intégration sur les campus et une certaine légèreté dans le quotidien universitaire, loin du stress du système français.

Nous vous accompagnons pour votre futur cursus de kinésithérapie en Espagne

La kinésithérapie en Espagne séduit de plus en plus d’étudiants français. Pas de concours écrasant, un cursus professionnalisant, et un diplôme reconnu en France : le cadre est idéal… à condition de maîtriser les règles du jeu local.

Les universités privées espagnoles exigent un dossier solide et des démarches administratives strictes et complexes. Traductions officielles, équivalences, tests de langue ou d’aptitude : rien ne doit être laissé au hasard.

C’est là que Take Me To Medschool intervient. Grâce à notre expertise terrain et nos partenariats directs avec les universités, nous optimisons vos chances d’admission et gérons intégralement votre dossier, de A à Z.

Vous vous concentrez sur votre projet : devenir kiné. On s’occupe du reste.

Comment se déroule un cursus de Kinésithérapie en Espagne ?

La formation en kinésithérapie dure 4 ans et mène au Grado en Fisioterapia, un diplôme universitaire équivalent à une licence (bac +4).

C’est un vrai parcours de fond, conçu pour faire de vous un professionnel complet, prêt à entrer sur le terrain dès la sortie de l’école. Tout comme en France, le cursus est exigeant, structuré, et très orienté pratique avec des infrastructures souvent bien supérieures.

1ère et 2ième années : les bases, les fondations, le socle scientifique

Les premières années

Les deux premières années posent tout ce qu’il faut savoir pour comprendre le corps humain et ses dysfonctionnements. Ici, pas de raccourci : vous allez plonger dans l’anatomie, la physiologie, la biomécanique, la pathologie, et les sciences de la santé.

On parle des modules suivants : Anatomie humaine (par cœur, au scalpel s’il le faut !), Physiologie générale (comment fonctionne le corps ?), Biomécanique et mouvement, Psychologie de la rééducation, Théorie de la kiné, Méthodologie scientifique.

Ce sont deux années intenses, mais absolument essentielles. Et contrairement à d’autres pays, vous commencez déjà à toucher à la pratique : ateliers, manipulations, TP en labo, etc. Vous apprenez en faisant, pas juste en lisant.
3ième & 4ième années : la pratique, la vraie

La deuxième partie de la formation

Dès la troisième année, ça devient concret. Vous entrez dans le dur : les techniques spécifiques, les prises en charge complexes, les cas cliniques. On vous forme à la kiné neurologique, respiratoire, pédiatrique, gériatrique, orthopédique, sportive. Chaque patient devient un nouveau terrain d’apprentissage.

Et surtout, vous commencez les stages cliniques. Beaucoup de stages.
Jusqu’à 1 200 heures de stages pratiques

L’expérience pratique

C’est l’un des gros atouts de la formation espagnole : l’expérience terrain. Au total, vous ferez environ 1 200 heures de stage pendant votre cursus, dont une large partie en dernière année.

Vous serez en immersion dans des hôpitaux, des cliniques, des centres de rééducation, voire dans des structures sportives. Vous touchez à tout, vous observez, vous manipulez, vous êtes encadré par des pros. L’objectif est clair : à la fin du cursus, vous devez être autonome, efficace, confiant.
Un mémoire de fin d’études pour valider le tout

La conclusion

En dernière année, vous devrez aussi rendre un Trabajos Finales de Grado (TFG), un mémoire universitaire. C’est l’occasion de montrer ce que vous avez appris, votre esprit critique, vos capacités d’analyse.

Le sujet peut être clinique, expérimental, théorique. Et bien sûr, vous le présentez à l’oral devant un jury.

Nos universités partenaires espagnoles délivrant une formation de Kinésithérapie

Take me to Med School a mis en place plusieurs partenariats en Espagne avec des universités reconnues proposant des formations en kinésithérapie.

Nous vous présentons ici les universités principales, mais gardez à l’esprit que nous pouvons toujours vous accompagner sur d’autres établissements.

Universidad Europea (UE)

Madrid, Valence, Canaries
Catholic University of Murcia (UCAM)

Murcia, Cartagena
Universidad Camilio José Cela (UCJC)

Madrid
Francisco de Vitoria University (UFV)

Pozuelo de Alarcón
Université Cardenal Herrera (CEU)

Valence
Nebrija University

Madrid

Vous souhaitez rejoindre un cursus de kinésithérapie ?

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Comment rejoindre un cursus de Kinésithérapie espagnol avec Take me to MedSchool ?

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous analysons ensemble votre dossier et nous vous recommandons les universités espagnoles disposant d’un cursus de kinésithérapie en lien avec votre niveau académique.
Réalisation et envoie de votre dossier

Étape 2

Une fois le cursus validé, nous réalisons ensemble le dossier spécifiquement pour les universités sélectionnées. Notre conseiller fera ressortir le meilleur de votre dossier, tout en s’assurant que les minimums requis sont bien atteints.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis au sein d’une formation en kinésithérapie espagnole, nous vous assistons dans la préparation de votre départ pour l’Espagne afin que vous débutiez votre formation dans les meilleures conditions

Études de santé à Chypre : le guide

Écrit par Jean-Baptiste le 20 mai 2025. Publié dans Non classé.

Études de santé à Chypre : nos services

Comment rejoindre un cursus de santé à Chypre ?

Étudier la santé à Chypre représente une opportunité unique pour les étudiants francophones qui souhaitent intégrer une formation médicale sans passer par la sélection drastique imposée en France. L’île, membre de l’Union européenne, abrite plusieurs universités privées de qualité, dont certaines proposent des programmes entièrement en anglais dans des domaines comme la médecine, la dentisterie, la pharmacie ou encore la vétérinaire.

Les formations à Chypre suivent le modèle européen du LMD (Licence-Master-Doctorat), avec des standards pédagogiques alignés sur les exigences de l’UE. L’enseignement est souvent dispensé en petits groupes, avec un accès direct à des hôpitaux partenaires pour les stages cliniques. Les universités comme l’European University Cyprus jouissent d’une reconnaissance croissante, notamment pour leurs programmes de médecine et de dentaire accrédités à l’échelle internationale.

Take me to MedSchool vous accompagne dans l’ensemble des démarches : choix de l’université, validation du profil, constitution du dossier, suivi des procédures d’admission, aide au logement et préparation à la vie sur place. Grâce à leur réseau et leur expérience à Chypre, vous gagnez en sérénité et augmentez considérablement vos chances de réussite.

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous évaluons ensemble les possibilités qui s’offrent à vous et nous assurons de l’adéquation de votre projet avec votre parcours.
Réalisation et envoi de votre dossier

Étape 2

Une fois votre projet défini, vous bénéficiez de l’expertise et du réseau de nos conseillers pour réaliser ensemble un dossier d’inscription répondant aux attentes des universités.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis dans l’université de vos rêves, nous vous accompagnons pour préparer votre départ et débuter votre cursus dans les meilleures conditions.

Quelles spécialités pour partir à Chypre avec Take Me to MedSchool ?

Take me to MedSchool est partenaire officiel de l’Université Européenne de Chypre (European University Cyprus – EUC), une institution privée d’excellence basée à Nicosie, la capitale de l’île.

Réputée pour ses programmes de santé enseignés en anglais, l’université attire chaque année des centaines d’étudiants européens et internationaux souhaitant intégrer un cursus médical de haut niveau dans un environnement anglophone, multiculturel et européen.

Grâce à ce partenariat, Take me to MedSchool vous permet d’accéder à deux filières santé clés, directement ouvertes aux étudiants post-bac ou après un premier cycle universitaire.

Études de Médecine (Medical Doctor – MD)

Durée : 6 ans

Le programme de médecine est accrédité selon les standards européens et conforme au processus de Bologne.

Il combine des enseignements fondamentaux durant les trois premières années (sciences biomédicales, anatomie, biochimie…) et un cycle clinique dès la 4e année au sein des hôpitaux partenaires à Nicosie et dans la région.
Médecine vétérinaire (Doctor of Veterinary Medicine – DVM)

Durée : 6 ans

Cette formation récente proposée par l’EUC suit les standards EAEVE (European Association of Establishments for Veterinary Education) et prépare aux exigences du métier de vétérinaire dans l’UE.

Le programme intègre les sciences animales, les pathologies, la chirurgie vétérinaire et les stages en cliniques partenaires.

Découvrir l’université européenne de Chypre à Nicosie

Nous disposons de plusieurs partenaires en Allemagne spécialisés dans les formations en médecine, dentaire, vétérinaire ainsi que la kinésithérapie. Nous entretenons des relations étroites avec chaque établissement et nous avons connaissances de leur requis d’admission. Nos conseillers Take me to MedSchool sont donc des experts pour vous accompagner dans votre candidature !

Nous pouvons aussi vous proposer un accompagnement sur mesure afin de postuler à d’autres formations et universités allemandes à travers l’élaboration d’un dossier de A à Z.

Etudier la santé à l'UMCH en Allemagne

L’Université Européenne de Chypre à Nicosie

L’université est localisée en plein cœur de Nicosie, et forme les professionels de la santé de demain.

Médecine, dentaire, pharmacie, soins infirmiers : les parcours sont solides et taillés pour l’international. Dès la première année, les étudiants commencent par des enseignements concrets, entre stages cliniques et simulateurs haute technologie.

Les cours sont en anglais, les promos très diversifiées, et l’ambiance est très cosmopolite. L’université recrute pour professeurs des médecins, chercheurs et praticiens qui sont tous reconnus dans leur discipline. Les campus sont modernes, les labos équipés des dernières technologies, et la recherche est au centre de la stratégie de l’établissement.

L’université mise sur l’innovation, l’engagement, et des partenariats solides avec les hôpitaux de la région. Il s’agit d’un tremplin sérieux pour celles et ceux qui visent une carrière en santé à l’échelle mondiale.

Vous êtes prêt à vous lancer ?

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Pourquoi rejoindre Chypre pour vos études de santé ?

Dans un contexte où les études de santé sont de plus en plus sélectives et coûteuses dans de nombreux pays européens, Chypre apparaît comme une alternative sérieuse et stratégique.

L’île offre un système éducatif aligné sur les normes européennes, des formations en anglais, et un accès facilité à des carrières internationales. Médecine, pharmacie, soins infirmiers, odontologie : les filières de santé y sont bien représentées et structurées.

Une pédagogie axée sur la pratique et l’expérience de terrain

Les études de santé à Chypre intègrent des stages cliniques dès les premières années, avec un accès progressif à des situations médicales réelles encadrées par des professionnels.

En parallèle, les étudiants s’exercent en laboratoire ou sur simulateurs médicaux de dernière génération, ce qui leur permet de développer leurs gestes techniques et leur raisonnement clinique. Ce modèle d’enseignement favorise l’apprentissage actif, améliore la préparation aux situations d’urgence et réduit l’écart entre la théorie et la pratique.
Des formations en anglais, conçues pour l’international

Contrairement à d’autres pays européens où la barrière linguistique peut freiner l’accès aux études de santé, Chypre propose des cursus entièrement en anglais, dans toutes les grandes filières médicales. Cela attire un public international et crée une atmosphère multiculturelle enrichissante, proche des réalités du monde professionnel globalisé.

Pour les étudiants non-anglophones, c’est aussi une excellente opportunité de maîtriser la langue, indispensable pour les carrières à l’échelle internationale.
Un cadre de vie sûr, stable et propice à la concentration

Étudier la santé demande rigueur et endurance. Chypre offre un environnement calme et structuré, loin du stress des grandes métropoles. Le climat méditerranéen (hivers doux, étés ensoleillés), la sécurité du territoire, la taille humaine des villes, et un coût de vie plus abordable qu’en Europe de l’Ouest, constituent un équilibre idéal pour mener des études exigeantes dans de bonnes conditions.

La convivialité de la population chypriote renforce aussi le sentiment de bien-être et d’intégration.
Une situation géographique stratégique entre Europe, Asie et Moyen-Orient

Chypre occupe une position unique à la croisée de trois continents. Cette situation géographique en fait un carrefour culturel, mais aussi un point d’accès privilégié pour ceux qui envisagent une carrière en santé dans des contextes internationaux ou dans des zones à forte demande médicale.

Plusieurs organisations humanitaires, centres de santé internationaux et projets de coopération y sont actifs, offrant aux étudiants des opportunités de stages et de premières expériences professionnelles.
Un système de santé local en plein développement

Le système de santé chypriote a récemment évolué avec la mise en place du GESY, un système national de santé unifié. Cette réforme a conduit à une modernisation des hôpitaux, une augmentation de la demande en personnel de santé qualifié, et une collaboration renforcée entre institutions publiques et privées.

Pour les étudiants, cela signifie plus de terrains de stage, un accès facilité à des structures modernes, et la possibilité d’observer une politique de santé publique en pleine transformation.
Des diplômes reconnus dans toute l’Union européenne

Les formations suivent le processus de Bologne et permettent aux étudiants d’obtenir des diplômes pleinement reconnus dans l’espace européen, facilitant la mobilité professionnelle. Cette reconnaissance est un atout majeur dans un secteur aussi réglementé que la santé.

Quel profil pour étudier la santé à Chypre ?

Rejoindre l’Université Européenne de Chypre (EUC) pour des études de santé (en médecine, odontologie, pharmacie ou soins infirmiers) demande un engagement fort, une solide préparation académique et une réelle motivation à évoluer dans un environnement exigeant et multiculturel.

Les formations sont intensives, orientées vers la pratique clinique et dispensées en anglais. L’université recherche des étudiants autonomes, rigoureux, curieux et capables de travailler sous pression, avec un fort sens des responsabilités.

Intégrer EUC, c’est aussi faire preuve d’ouverture : les cohortes sont internationales, les enseignants viennent de toute l’Europe, et la vie sur le campus se déroule en anglais, dans un esprit de collaboration.

Excellents résultats en sciences

Le dossier

Pour les filières de santé, une performance solide en biologie, chimie, physique et mathématiques est essentielle. L’université examine avec attention les bulletins des dernières années de lycée ou du baccalauréat (ou équivalent), à la recherche d’un profil cohérent, stable et scientifiquement préparé.
Un diplôme de fin d’études secondaires

Le dossier

Pour les filières de santé, une performance solide en biologie, chimie, physique et mathématiques est essentielle.

L’université examine avec attention les bulletins des dernières années de lycée ou du baccalauréat (ou équivalent), à la recherche d’un profil cohérent, stable et scientifiquement préparé.
Un bon niveau d’anglais obligatoire

Les langues

Tous les programmes de santé à EUC sont enseignés en anglais. Un test officiel est demandé (IELTS avec un score de 6.5 minimum, TOEFL iBT 90+, ou certificat équivalent).

Les candidats peuvent également passer un test d’anglais propre à l’université ou passer un entretien pour confirmer leur niveau oral et écrit.
Test d’entrée et entretien de motivation

Les examens

Pour la médecine notamment, EUC organise un test d’admission en ligne comprenant des questions de logique, de raisonnement scientifique et de compréhension.

Un entretien individuel est également prévu pour évaluer la motivation du candidat, son projet professionnel et sa capacité à suivre un cursus intensif.
Une première immersion dans le monde médical (recommandée)

Expérience(s)

Un stage, du bénévolat dans un hôpital, ou toute autre expérience de contact avec le milieu médical n’est pas obligatoire, mais constitue un avantage important.

Cela montre que le choix d’orientation est réfléchi et ancré dans une démarche personnelle sérieuse.
Une lettre claire et personnelle (souvent demandée)

Motivation(s)

Les candidats doivent souvent fournir une lettre de motivation expliquant leur intérêt pour les études de santé, leur choix de Chypre et de l’EUC, ainsi que leurs ambitions professionnelles. Cette lettre est l’occasion de se démarquer et de démontrer sa détermination.
Compétences interpersonnelles et relation patient

Relations avec les patients

Les professions de santé exigent plus que des connaissances : écoute, empathie, communication, gestion du stress et esprit d’équipe sont des qualités attendues. L’université encourage les candidats à mettre en avant toute activité ou expérience révélant ces compétences (travail en groupe, sport collectif, bénévolat, accompagnement…).

Quelles sont les dates clés pour partir étudier à Chypre ?

Contrairement à d’autres pays européens très sélectifs, le système chypriote repose sur un processus de candidature progressif et accessible, sans concours national, mais avec une évaluation rigoureuse du dossier. La rentrée principale a lieu en septembre, avec une admission sur dossier, test de niveau et parfois entretien.

Voici les grandes étapes et dates clés à connaître pour bien préparer votre candidature :

1. Ouverture des inscriptions

Novembre à Janvier
2. Préparation des candidatures

Novembre à Avril
3. Fermeture des inscriptions à Chypre

Juillet (si places restantes)
4. Examens des universités privées

Février à Juin
5. Examen de langue en anglais

Janvier à Mai
6. Admission finale à un cursus à Chypre

Avril à Juillet
7. Préparation au départ

Juin à Août
8. Rentrée universitaire Chypre

Septembre

Quels sont les frais universitaires pour un cursus de santé à Chypre ?

Etudier la santé à Chypre

Les frais de scolarité à l’Université Européenne de Chypre (EUC)

L’Université Européenne de Chypre est un établissement privé. Elle applique donc des frais de scolarité, qui varient selon la filière choisie; Les études de santé représentent donc un investissement financier significatif, comparable à celui d’autres institutions médicales privées en Europe.

Les tarifs pour la période 2025/2026 sont les suivants :

Médecine : 22 000 € par an

Médecine vétérinaire : 20 000 € par an

L’université propose des plans de paiement en plusieurs fois (par semestre ou par trimestre), ce qui permet aux étudiants et à leurs familles de mieux gérer le budget.

Comment s’assurer d’avoir une équivalence en France à votre retour de Chypre ?

Cursus de santé à Chypre : tout ce qu'il faut savoir

L’Université Européenne de Chypre (EUC) délivre des diplômes en médecine et en médecine vétérinaire conformes aux standards de l’Union européenne. Ces formations, dispensées en anglais, permettent aux étudiants de bénéficier d’une reconnaissance européenne de leur qualification, y compris en France, sous réserve de respecter certaines conditions.

Médecine : reconnaissance automatique sous conditions

Le diplôme de Doctor of Medicine (MD) délivré par l’EUC est reconnu au sein de l’UE, car :

Le programme est entièrement suivi dans un État membre de l’Union européenne (Chypre).
Il est aligné sur les qualifications minimales harmonisées définies par la directive européenne 2005/36/CE.
L’enseignement comprend les volumes horaires requis en sciences fondamentales, cliniques et pratiques.

A votre retour en France, il sera nécessaire d’entamer plusieurs démarches afin de valider définitivement votre équivalence :

S’inscrire à l’Ordre national des médecins, comme tout praticien exerçant en France
Répondre aux exigences de moralité, de déontologie et d’aptitude physique à l’exercice médical

En conclusion, vous aurez compris que la reconnaissance est automatique sur le plan académique, mais que l’installation en France passe par une procédure administrative auprès de l’Ordre. En suivant le bon cursus comme ceux proposés par Take me to Medschool, votre retour n’en sera que plus facilité !

Médecine vétérinaire : reconnaissance avec évaluation par l’Ordre

Les diplômés en médecine vétérinaire issus de l’EUC doivent effectuer une démarche spécifique auprès du Conseil National de l’Ordre des Vétérinaires (CNOV) pour faire reconnaître leur titre.

Le diplôme chypriote, s’il est conforme à la directive européenne, est en principe reconnu. Toutefois, l’Ordre peut exiger :

Une description détaillée du contenu des études, fournie par l’université
Une attestation d’aptitudes cliniques ou d’expérience pratique
Et, dans certains cas, un entretien ou une vérification complémentaire

On répond à vos questions les plus courantes sur les études de santé

Faire le choix d’un cursus médical à Chypre est une décision qui vous engage sur un cursus de 5 ans minimum. Il est donc nécessaire de bien se préparer en amont, et de comprendre les tenants et aboutissants de votre projet avant de pleinement vous lancer.

Pour vous aider à avancer sereinement, voici les réponses aux questions que l’on nous pose le plus souvent.

N’hésitez pas à nous contacter pour obtenir un accompagnement plus approfondie.

Dois-je parler grec pour étudier la médecine à Chypre ?

Non. Les formations en médecine et en médecine vétérinaire à l’Université Européenne de Chypre sont dispensées en anglais. Il n’est pas nécessaire de connaître le grec pour suivre les cours ou les stages cliniques.
Mon baccalauréat est-il suffisant pour postuler ?

Oui. Le baccalauréat français (ou tout autre diplôme de fin d’études secondaires reconnu dans votre pays) est accepté pour postuler à un premier cycle en médecine ou en santé, sous réserve de bons résultats en sciences (biologie, chimie, physique).
Y a-t-il un concours d’entrée ou un numérus clausus à Chypre ?

Non, il n’y a pas de concours national comme en France. L’admission se fait sur dossier, avec souvent un test de sciences et d’anglais en ligne, suivi d’un entretien de motivation. Cela permet une évaluation globale du profil, sans mise en compétition massive.
Accompagnez-vous les étudiants dans les démarches ?

Oui, c’est même notre mission principale !

Notre équipe vous aide à préparer le dossier, à passer les tests, à constituer les documents nécessaires et à vous orienter pour le logement, l’installation, les assurances, etc. Vous n’êtes jamais seul dans les démarches.
Quand dois-je commencer à préparer ma candidature ?

Le plus tôt possible. Les inscriptions ouvrent généralement entre novembre et janvier, et les places sont limitées. Il est idéal de nous contacter entre novembre et mars pour une rentrée en septembre, afin d’avoir le temps de constituer un dossier solide.

Si des places restent disponibles à l’issue des premières admission, il est possible de s’inscrire jusqu’en Juin mais cela reste au cas par cas et dépend des années.
Puis-je faire des stages cliniques pendant mes études ?

Oui. Les universités chypriotes, comme l’EUC, intègrent des stages cliniques dès les premières années du cursus, en partenariat avec des hôpitaux publics et privés à Nicosie. C’est un point fort de la formation à Chypre, axée sur la pratique et l’immersion terrain.
Quel est le profil des autres étudiants à Chypre ?

Les promotions sont très internationales. Vous étudierez avec des étudiants venus d’Europe (France, Allemagne, Suède…), du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord, d’Asie, etc. L’anglais est la langue de travail sur le campus.

Pas d’inquiètudes donc ! Vous ne serez pas l’un des seuls étudiants internationaux, bien au contraire. Vous aurez donc de nombreuses opportunités de vous faire des amis sur place et vous intégrer sans difficultés.

Études de santé en Hongrie : le guide

Écrit par Jean-Baptiste le 18 mai 2025. Publié dans Non classé.

Études de santé en Hongrie : nos services

Comment intégrer un cursus de santé en Hongrie ?

La Hongrie s’impose comme une destination de choix pour les étudiants francophones souhaitant se former aux métiers de la santé dans un cadre académique exigeant.

Les universités hongroises attirent les candidats internationaux grâce à des programmes reconnus, dispensés en anglais et à une approche rigoureuse des sciences médicales. La concurrence pour être admis est réelle et une préparation sérieuse est indispensable pour réussir.

C’est pourquoi Take Me to MedSchool vous accompagne dès le début, en vous aidant à comprendre les exigences spécifiques, à constituer un dossier complet et à vous préparer efficacement aux étapes clés du processus d’admission.

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous évaluons ensemble les possibilités qui s’offrent à vous et nous assurons de l’adéquation de votre projet avec votre parcours.
Réalisation et envoi de votre dossier

Étape 2

Une fois votre projet défini, vous bénéficiez de l’expertise et du réseau de nos conseillers pour réaliser ensemble un dossier d’inscription répondant aux attentes des universités.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis dans l’université de vos rêves, nous vous accompagnons pour préparer votre départ et débuter votre cursus dans les meilleures conditions.

Quelles spécialités pour partir en Hongrie avec Take Me to MedSchool ?

Take me to MedSchool travaille en lien direct avec plusieurs universités hongroises renommées, afin d’offrir aux étudiants francophones un accès facilité à des cursus de santé de haut niveau. Grâce à ces collaborations, vous pouvez intégrer des formations dispensées en anglais, au sein d’établissements reconnus dans toute l’Europe pour la qualité de leur enseignement.

Voici les trois domaines d’études dans la santé que nous proposons en Hongrie :

Études de Médecine

Durée : 6 ans

Le cursus de médecine en Hongrie suit un format intégré de six années, combinant sciences fondamentales, enseignements cliniques et stages hospitaliers.
L’encadrement rigoureux et l’environnement anglophone en font une option idéale pour les étudiants internationaux.
Études dentaires

Durée : 5 ans

Les études dentaires s’appuient sur un programme complet, qui couvre à la fois les sciences médicales de base, les techniques cliniques et la pratique en cabinet universitaire.
Les diplômés peuvent poursuivre vers un doctorat en médecine dentaire ou des formations spécialisées dans des disciplines comme la chirurgie orale ou l’orthodontie.
Études de vétérinaire

Durée : 5 à 5,5 ans

La formation vétérinaire en Hongrie est particulièrement réputée. Le programme, dispensé en anglais, allie théorie, pratique en laboratoire et stages dans des cliniques partenaires.
Il prépare les étudiants à exercer au sein de l’UE et peut être complété par des spécialisations en santé animale, faune sauvage ou médecine vétérinaire internationale.

Quelles sont nos universités partenaires en Hongrie ?

Nous collaborons avec plusieurs universités hongroises reconnues dans les domaines de la médecine, de la médecine dentaire et de la médecine vétérinaire. Grâce à nos liens directs avec ces établissements, nous connaissons précisément leurs exigences d’admission et les étapes à anticiper pour maximiser vos chances.

Les conseillers de Take me to MedSchool vous accompagnent avec rigueur et méthode, en vous guidant à chaque étape de votre candidature, de la sélection de l’université jusqu’à l’envoi du dossier complet.

Semmelweis University

Semmelweis University est l’une des plus anciennes et prestigieuses universités médicales d’Europe centrale, située à Budapest.

Elle propose un cursus complet de médecine en anglais, accessible dès l’obtention du baccalauréat, reconnu dans l’ensemble de l’Union européenne.

L’enseignement combine une exigence académique élevée, une formation clinique progressive, et un suivi rapproché des étudiants internationaux tout au long du parcours.
McDaniel

McDaniel College Budapest propose un programme pré-médical en anglais conçu pour préparer les étudiants aux études de santé en Europe.

Accessible après le baccalauréat, ce cursus intensif d’un an met l’accent sur les bases scientifiques : biologie, chimie, anatomie, mais aussi terminologie médicale et anglais scientifique. L’enseignement allie encadrement pédagogique de qualité et préparation ciblée aux examens d’entrée des universités médicales partenaires.

Il s’adresse à ceux qui souhaitent intégrer une faculté de médecine, dentaire ou vétérinaire.
University of Veterinary medicine of Budapest

L’University of Veterinary Medicine de Budapest est l’une des seules universités en Europe entièrement dédiée à la formation vétérinaire.

Elle propose un programme complet en anglais, reconnu dans l’Union européenne, accessible directement après le baccalauréat. Le cursus dure 5,5 ans et combine enseignements théoriques, pratique en laboratoire et stages cliniques dès les premières années.

L’université accueille chaque année de nombreux étudiants internationaux et offre un environnement d’étude exigeant, structuré et tourné vers la pratique.

Nous proposons également un accompagnement sur mesure pour postuler à d’autres universités en Hongrie, même hors partenariat, en assurant le montage complet et personnalisé de votre dossier.

Vous êtes prêt à vous lancer ?

Contactez-nous dès maintenant pour commencer ensemble votre projet.

Nous contacter

Pourquoi rejoindre la Hongrie pour vos études de santé ?

La Hongrie dispose de plusieurs universités reconnues par les étudiants européens pour réaliser leur cursus de santé afin d’excercer par la suite à leur retour dans leur pays d’origine.

Mais les avantages du pays ne s’arrêtent pas là ! Les établissements privés hongrois qui accueillent les étudiants français disposent d’infrastructrures et de moyens bien supérieurs à la France. On fait le tour des avantages avec vous :

Une reconnaissance internationale depuis plus de 30 ans

La Hongrie forme des médecins internationaux depuis plus de 30 ans, avec des universités comme Semmelweis, Szeged, Debrecen ou Pécs reconnues pour leur excellence. Ce savoir-faire ciblé sur l’accueil d’étudiants étrangers en santé est un véritable point fort, rare en Europe.
Des équipements modernes et spécialisés

Les universités médicales en Hongrie disposent de structures bien équipées : laboratoires d’anatomie, cliniques universitaires, centres de simulation médicale.
Les étudiants bénéficient d’un cadre d’apprentissage complet, adapté aux exigences actuelles de la formation en santé..
Des tests d’entrée standardisés et accessibles

Contrairement à d’autres pays européens, les universités hongroises proposent leurs propres examens d’entrée, souvent centrés sur les fondamentaux en biologie, chimie et anglais médical.
Pas de concours de type PACES ni de sélection basée uniquement sur le bulletin : tout le monde part avec les mêmes chances, à condition d’être bien préparé.
Une intégration progressive dans la clinique

Le cursus médical hongrois prévoit une entrée progressive dans les hôpitaux, généralement dès la 3e année.
Les étudiants passent par les services cliniques universitaires, où ils sont encadrés en petits groupes, avec un accès réel aux patients (sous supervision).
Un environnement d’étude stable et sans pression politique

Contrairement à certaines destinations à bas coût, la Hongrie reste un État membre de l’UE, avec un cadre légal solide, une reconnaissance automatique des diplômes dans l’UE, et une stabilité politique favorable aux étudiants étrangers.
Un cadre de vie européen, accessible et stable

La Hongrie offre un environnement de vie agréable, avec un coût de la vie inférieur à celui de nombreux pays d’Europe de l’Ouest.
Les villes universitaires comme Budapest ou Szeged sont sûres, bien desservies, et favorisent un bon équilibre entre études et vie quotidienne.

Quel profil pour étudier la santé en Hongrie ?

S’engager dans des études de médecine, dentaire ou vétérinaire en Hongrie, c’est entrer dans un cursus intensif, exigeant, et tourné vers l’international.

Les universités hongroises attendent bien plus qu’un bon dossier scolaire : elles recherchent des étudiants motivés, rigoureux, capables de tenir sur la durée, dans un environnement académique dense et compétitif.

Au-delà des résultats, ce sont la curiosité scientifique, la discipline personnelle, la résistance au stress et la capacité à travailler de manière autonome qui feront la différence. L’ensemble du parcours est en anglais, dans un contexte multiculturel : il faut donc aussi faire preuve d’ouverture d’esprit et d’adaptabilité.

Un bon dossier académique en sciences

Le dossier

Les universités hongroises exigent des bases solides en biologie, chimie, et idéalement en physique ou mathématiques, acquises dès le lycée.

Un baccalauréat scientifique avec de bonnes notes est souvent la condition minimale pour que la candidature soit examinée sérieusement.
Un diplôme de fin d’études secondaires reconnu

Le dossier

Pour postuler, vous devez avoir obtenu un diplôme de fin d’études secondaires, reconnu comme équivalent au bac hongrois.

En pratique, cela ne pose pas de problème pour les élèves issus du système français, mais certaines universités peuvent demander des justificatifs supplémentaires (traductions officielles, équivalence).
La capacité à suivre un cursus en anglais

Les langues

Semmelweis University
IELTS 6.5 ou TOEFL équivalent conseillé. Un bon niveau est essentiel pour suivre les cours et réussir le test.

University of Veterinary Medicine Budapest
IELTS 6.0 à 6.5 requis (ou équivalent TOEFL, Cambridge…). Test de langue possible sur place.

McDaniel College
Niveau B2 minimum demandé. Un test interne est possible si vous ne disposez pas de certification.
Le passage d’examens spécifiques

Les examens

Semmelweis University
Oui, test en biologie, chimie, anglais médical (QCM) + entretien oral en ligne ou sur place.

University of Veterinary Medicine Budapest
Oui, test écrit en biologie, chimie et anglais médical. Entretien possible selon le score.

McDaniel College
Non, pas de test d’entrée formel, mais le dossier est examiné, et un entretien de motivation peut être proposé.
De l’expérience dans le domaine

Expérience(s)

Un stage, une mission de bénévolat ou toute expérience en milieu médical, hospitalier ou vétérinaire est un véritable atout. Cela montre votre engagement concret et votre connaissance du métier.

Semmelweis University
Pas obligatoire, mais un stage hospitalier ou de bénévolat est un plus réel, surtout pour l’entretien.

University of Veterinary Medicine Budapest
Fortement recommandé d’avoir une expérience auprès des animaux (vétérinaire, refuge, élevage, etc.).

McDaniel College
Non exigée, mais toute expérience peut appuyer la motivation du candidat dans la lettre ou l’entretien.
Compétences personnelles recherchées (transversales)

Motivation(s)

Toutes les universités hongroises attendent des candidats d’être capables de travailler de manière autonome et régulière, d’être motivés sur le long terme (cursus de 5 à 6 ans) et d’avoir une ouverture à leur environnement multiculturel et l’usage de l’anglais dans l’enseignement.
La lettre de motivation

Se mettre en avant

Semmelweis University
Souvent recommandée mais pas toujours obligatoire. Elle peut faire la différence pour des dossiers moyens ou pour préparer l’oral.

University of Veterinary Medicine Budapest
Obligatoire, intégrée dans le dossier. Elle doit être personnalisée et cohérente.

McDaniel College
Recommandée. Elle permet de présenter son projet et son intérêt pour les études de santé.

Quelles sont les dates clés pour partir étudier en Hongrie ?

En Hongrie, la rentrée universitaire principale a lieu en septembre, et les universités privées de santé (médecine, dentaire, vétérinaire, prépa) ouvrent les candidatures très tôt dans l’année. Le processus est centralisé sur une seule rentrée annuelle, ce qui rend l’anticipation essentielle.

Voici un calendrier indicatif à suivre pour une rentrée en septembre :

1. Ouverture des inscriptions

Décembre à Février
2. Préparation des dossiers

Décembre à Avril
3. Fermeture des inscriptions en Hongrie

Jusqu’en Juin (si places restantes)
4. Examens des universités privées

Mars à Juin
5. Examen de langue en anglais

Entre Janvier et Mai
6. Admission finale à un cursus en Hongrie

Mars à Juillet
7. Préparation au départ

Juin à Août
8. Rentrée universitaire hongroise

Septembre

Quels sont les frais universitaires pour un cursus de santé en Hongrie ?

Universités publiques hongroises – Cursus en anglais

En Hongrie, les études de santé dans le publique en anglais sont … payantes ! Les cursus médecine, dentaire et vétérinaire en hongrois sont bien plus accessibles financièrement, mais vous avez peu de chances de parler le hongrois couramment.

Pour les curus en anglais, les frais de scolarité varient selon le programme et l’université et se situent généralement dans les fourchettes suivantes :

Médecine générale (Semmelweis, Szeged, Debrecen, Pécs) : entre 15 000 € et 18 000 € par an

Médecine dentaire : environ 16 000 € à 18 000 € par an

Médecine vétérinaire (University of Veterinary Medicine Budapest) : autour de 12 000 € à 14 000 € par an

Ces montants couvrent l’ensemble des cours théoriques, pratiques et cliniques, ainsi que l’accès aux infrastructures universitaires.
Préparation aux études de santé en un an

Pour les étudiants qui souhaitent se préparer avant d’intégrer une faculté de médecine ou de vétérinaire, McDaniel College Budapest propose un programme pré-médical d’un an.

Quels sont les frais de scolarité ? Environ 7000 euros bien que cela augmente chaque année. Ils incluent les cours scientifiques, l’anglais médical, le soutien pédagogique, et les simulations de test d’entrée.

Ce programme est une porte d’entrée stratégique pour ceux qui souhaitent consolider leurs bases et réussir les examens d’admission dans les universités hongroises ou européennes.

Quelles sont les équivalences en France de votre formation Hongroise ?

Rejoindre un cursus de santé à Budapest : les services de Take me to MedSchool

Les formations de santé proposées via Take Me to MedSchool en Hongrie sont conformes aux normes européennes. Elles permettent, sous certaines conditions, d’exercer en France après l’obtention du diplôme. Nous travaillons exclusivement avec des universités accréditées, dont les diplômes sont reconnus dans toute l’Union européenne, y compris par les Ordres professionnels français.

Médecine, dentaire, pharmacie : reconnaissance encadrée par les directives européennes

Les diplômes délivrés en médecine, chirurgie dentaire ou pharmacie par des universités publiques hongroises (ex. Semmelweis, Szeged, Debrecen…) sont alignés sur les qualifications minimales harmonisées définies par l’Union européenne.

Cela signifie qu’ils bénéficient d’une reconnaissance automatique en France, à condition de :

Avoir suivi l’ensemble du cursus dans un État membre de l’UE
Disposer d’un diplôme conforme aux directives européennes (2005/36/CE)
Satisfaire aux exigences françaises en matière de langue, éthique professionnelle et aptitude à l’exercice
Effectuer une inscription à l’Ordre des Médecins, Dentistes ou Pharmaciens

Médecine vétérinaire : reconnaissance via évaluation par l’Ordre

Pour exercer comme vétérinaire en France après un diplôme obtenu à l’University of Veterinary Medicine de Budapest, une procédure spécifique s’applique. Le Conseil National de l’Ordre des Vétérinaires (CNOV) examine le dossier du candidat.

La reconnaissance est généralement accordée, mais peut nécessiter :

Une description détaillée des cours suivis
Une attestation d’expérience clinique ou de stage
Et, dans certains cas, un entretien ou une vérification complémentaire

On répond à vos questions les plus courantes sur la Hongrie

Partir étudier la santé en Hongrie est un projet complexe qui demande du temps et de la préparation avant de se lancer. Take me to MedSchool est là pour vous guider à chaque étape, du choix de l’université jusqu’à l’installation sur place. N’hésitez pas à nous contacter pour bénéficier de notre accompagnement.

En attendant, voici les réponses aux questions que nous posent le plus souvent les futurs étudiants

Dois-je parler hongrois pour étudier la médecine en Hongrie ?

Non. Les cursus de santé proposés à nos partenaires (Semmelweis, UVMB, McDaniel) sont entièrement en anglais. Le hongrois n’est pas requis pour suivre les cours, bien qu’il puisse être enseigné en option pour la communication avec les patients.

Dans la vie de tous les jours, les universités étant localisées à Budapest, l’anglais suffit aussi largement pour évoluer sans contrainte majeure dans la ville.
Mon baccalauréat est-il reconnu par les universités hongroises ?

Oui. Le baccalauréat français (général, scientifique) est reconnu. En revanche, vous devrez présenter vos bulletins, relevés de notes et une traduction officielle si demandé.

Nous disposons d’un réseau de traducteurs assermentés qui seront à même de traduire rapidement vos documents lors de la réalisation du dossier avec un tarif compétitif.
Puis-je être admis dans une université publique hongroise en médecine directement après le Bac ?

Oui, à condition de réussir le test d’entrée scientifique (biologie, chimie, anglais médical) organisé par chaque université. Les programmes sont accessibles dès la fin du lycée, mais restent exigeants.

Si vous n’êtes pas certains de réussir, où vous souhaitez passer une année de préparation pour mettre à niveau votre anglais et vos compétences, nous vous conseillons de réaliser l’année de préparation au sein de McDaniels.
Y a-t-il un numerus clausus pour les étudiants étrangers ?

Non. Les universités hongroises n’appliquent pas de numerus clausus national, mais les places sont limitées.

L’admission dépend surtout de votre résultat au test d’entrée et de votre dossier. Vous serez donc admis si vous remplissez les attentes de l’université, sans surprise liée à un classement qui peut être très aléatoire.
Si je ne suis pas prêt, existe-t-il une année préparatoire ?

Oui. McDaniel College Budapest propose un programme pré-médical d’un an, idéal pour consolider ses bases scientifiques et réussir les concours d’entrée en médecine, dentaire ou vétérinaire.
Est-ce que vous m’accompagnez dans toutes les démarches ?

Absolument. Take Me to MedSchool vous aide à chaque étape : choix de la faculté, préparation du dossier, inscription au test, entraînement à l’oral, traduction des documents, logement, etc.
Quand dois-je vous contacter pour commencer ?

Le plus tôt possible ! L’idéal est de nous contacter entre octobre et février pour une rentrée en septembre.

Plus vous anticipez, plus vous avez de chances de réussir les tests d’entrée et de sécuriser une place dans l’université de votre choix.

Études de santé en Allemagne : le guide

Écrit par Jean-Baptiste le 15 mai 2025. Publié dans Études-santé-pays.

Études de santé en Allemagne : nos services

Comment intégrer un cursus de santé en Allemagne ?

Étudier la santé en Allemagne demande une solide préparation académique et une réelle motivation à réussir dans les disciplines scientifiques.

Avant de pouvoir intégrer une université allemande, les candidats doivent s’assurer qu’ils remplissent les critères requis, souvent vérifiés via des équivalences, des tests de langue ou des évaluations spécifiques à chaque établissement.

Take Me to MedSchool vous accompagne étape par étape, de la candidature jusqu’à l’intégration, pour mettre toutes les chances de votre côté dans votre parcours vers les métiers de la santé.

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous évaluons ensemble les possibilités qui s’offrent à vous et nous assurons de l’adéquation de votre projet avec votre parcours.
Réalisation et envoi de votre dossier

Étape 2

Une fois votre projet défini, vous bénéficiez de l’expertise et du réseau de nos conseillers pour réaliser ensemble un dossier d’inscription répondant aux attentes des universités.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis dans l’université de vos rêves, nous vous accompagnons pour préparer votre départ et débuter votre cursus dans les meilleures conditions.

Quelles spécialités pour partir en Allemagne avec Take Me to MedSchool ?

Take Me to MedSchool collabore avec plusieurs universités allemandes reconnues pour offrir aux étudiants francophones un accès privilégié aux filières de santé les plus prisées.

Nos partenariats stratégiques vous permettent d’intégrer des cursus (en anglais) dans les domaines suivants :

Études de kinésithérapie

Durée : 3 à 5 ans

Les études de kinésithérapie commencent par un Bachelor en Physiotherapie sur 3 à 4 ans. Ce diplôme peut être complété par un Master en Physiotherapie en 1 à 2 ans, pour approfondir ses compétences cliniques, s’orienter vers la recherche ou viser des fonctions de direction.
Études dentaires

Durée : 5 à 6 ans

Les études dentaires suivent un parcours long et structuré : un programme de Zahnmedizin (médecine dentaire) d’une durée de 5 à 6 ans, équivalent à un cursus intégré menant directement à l’exercice de la profession.

Ce programme peut être prolongé par un doctorat (Dr. med. dent.) ou des formations spécialisées pour ceux qui souhaitent se perfectionner dans un domaine précis ou s’orienter vers la recherche.
Études de vétérinaire

Durée : 5 ans

Le cursus vétérinaire est structuré autour d’un programme unique en Tiermedizin (médecine vétérinaire) d’une durée de 5 ans, qui intègre à la fois les bases biologiques, cliniques et pratiques nécessaires à l’exercice de la profession.

Quelles sont nos universités partenaires en Allemagne ?

Nous pouvons aussi vous proposer un accompagnement sur mesure afin de postuler à d’autres formations et universités allemandes à travers l’élaboration d’un dossier de A à Z.

UMCH Hambourg

L’UMCH (University Targu Mures Medical Campus Hamburg) est un campus médical international situé à Hambourg, en partenariat avec l’Université de Târgu Mureș. L’établissement propose un cursus de médecine en anglais, reconnu en Europe, accessible après le baccalauréat. Les enseignements allient rigueur académique, pratique clinique et encadrement personnalisé.
EUC Frankfort

EUC Frankfurt (European University Cyprus – Frankfurt Branch) offre un programme de médecine en anglais, conçu pour les étudiants internationaux.
Le campus combine les standards académiques européens avec une approche centrée sur l’étudiant. Les cours sont dispensés par des professeurs expérimentés, avec un fort accent sur la pratique clinique.

Vous êtes prêt à vous lancer ?

Contactez-nous dès maintenant pour commencer ensemble votre projet.

Nous contacter

Pourquoi rejoindre l’Allemagne pour vos études de santé ?

L’Allemagne est l’un des meilleurs pays d’Europe pour les études de santé, grâce aux avantages ci-dessous :

La rigueur académique allemande et une reconnaissance européenne

Les formations en médecine, dentaire, pharmacie ou vétérinaire en Allemagne sont encadrées par des standards exigeants, garantissant un haut niveau de qualification. Les diplômes délivrés sont reconnus dans toute l’Union européenne, ce qui ouvre des portes à l’échelle internationale.
Un enseignement centré sur la pratique

Le système allemand valorise fortement l’apprentissage par la pratique. Les étudiants bénéficient de nombreux stages hospitaliers et de travaux dirigés dès les premières années, facilitant leur insertion dans le monde professionnel.
Des universités bien équipées et des infrastructures de pointe

Les facultés de santé allemandes disposent d’infrastructures modernes : hôpitaux universitaires, laboratoires de simulation, centres de recherche biomédicale… Un environnement stimulant qui favorise l’innovation scientifique et le développement de compétences concrètes.
Un environnement stable

L’Allemagne est connue pour son organisation, sa sécurité et sa qualité de vie. Les étudiants y trouvent un cadre propice à la concentration, avec des villes étudiantes bien desservies, des coûts de vie maîtrisés et un bon équilibre entre études et vie quotidienne.
Un belle diversité culturelle en milieu académique

Avec toujours plus d’étudiants internationaux grâce aux cursus en anglais, l’Allemagne offre un climat d’ouverture et de tolérance. Les cursus en anglais permettent aux étudiants étrangers de s’intégrer plus facilement tout en évoluant dans un environnement multiculturel.
Des débouchés professionnels partout en Europe

Les professionnels de santé formés en Allemagne jouissent d’une excellente réputation. Que ce soit pour exercer en Europe ou à l’international, leur profil est hautement valorisé par les hôpitaux, laboratoires, ONG ou institutions de recherche.

Quel profil pour étudier la santé en Allemagne ?

S’engager dans des études médicales ou vétérinaires en Allemagne demande bien plus que de bonnes notes. Les universités recherchent des candidats sérieux, capables de s’investir pleinement dans un cursus exigeant. Curiosité scientifique, esprit critique, autonomie et capacité à travailler sous pression sont essentiels. La motivation, l’intégrité et le sens des responsabilités comptent autant que les compétences académiques.

Une bonne capacité d’adaptation est également attendue, en particulier dans un environnement international et parfois germanophone — même si de plus en plus de programmes sont proposés en anglais.

Excellence scolaire en sciences

Le dossier

Les universités allemandes exigent de solides résultats dans les matières scientifiques dès le secondaire : biologie, chimie, physique et mathématiques. Un dossier scolaire cohérent et rigoureux est indispensable pour postuler.
Un diplôme de fin d’études secondaires

Le dossier

Pour un accès en premier cycle (Bachelor ou cursus intégré), il faut présenter un diplôme de fin d’études secondaires reconnu équivalent au baccalauréat.
Une bonne maîtrise de l’anglais ou de l’allemand

Les langues

Si vous postulez à un programme en anglais, un score IELTS (généralement 6.5 à 7.0) ou TOEFL (90+) est requis. Pour les cursus en allemand, un bon niveau (généralement B2 à C1 selon l’établissement) doit être prouvé par un test officiel comme le TestDaF ou le DSH.
Le passage d’examens spécifiques

Les examens

Certaines universités demandent aux candidats de passer des épreuves d’entrée ou des entretiens de sélection. Cela peut inclure des tests de logique, des QCM scientifiques ou des entretiens de motivation, parfois à distance.
De l’expérience dans le domaine

Expérience(s)

Un stage, une mission de bénévolat ou toute expérience en milieu médical, hospitalier ou vétérinaire est un véritable atout. Cela montre votre engagement concret et votre connaissance du métier.
Une lettre de motivation ciblée (Pas systèmatique)

Motivation(s)

Votre projet doit être clair. Pourquoi l’Allemagne ? Pourquoi cette spécialité ? Comment vous projetez-vous dans ce domaine ? Une lettre convaincante, structurée et personnelle fait souvent la différence.
Compétences interpersonnelles

Relations avec les patients

Les filières de santé exigent des qualités humaines fortes : écoute, empathie, communication, travail d’équipe. Ces compétences peuvent être mises en valeur dans votre dossier à travers vos activités extrascolaires ou expériences de terrain. A vous de démontrer que vous êtes fait pour exercer !

Quelles sont les dates clés pour partir étudier en Allemagne ?

L’Allemagne propose une rentrée principale à l’automne, généralement en octobre, et une rentrée secondaire plus restreinte en avril dans certaines universités. La majorité des candidatures, notamment en médecine, se font pour la rentrée d’octobre, qui offre plus de places et de possibilités.

Le calendrier ci-dessous correspond à une rentrée en octobre :

1. Ouverture des inscriptions

Mars à Mai
2. Préparation des dossiers

Janvier à Mai
3. Fermeture des inscriptions en Allemagne

Mi-Juillet
4. Examens des universités privées

Juin à Août
5. Examen de langue en anglais/allemand

Entre Janvier et Mai
6. Admission finale à un cursus en Allemagne

Avril à Juillet
7. Préparation au départ

Juin à Août
8. Rentrée universitaire allemande

Octobre

Quels sont les frais universitaires pour un cursus de santé en Allemagne ?

Universités publiques : un accès presque gratuit à l’enseignement

Dans la majorité des Länder allemands, les universités publiques n’imposent pas de frais de scolarité, même aux étudiants étrangers hors Union européenne.
Seuls des frais semestriels obligatoires sont exigés, généralement compris entre 250 € et 350 € par semestre (soit environ 500 € à 700 € par an).

Cependant, l’accès aux filières de santé dans les universités publiques est extrêmement sélectif, et les places pour les candidats internationaux sont limitées. Les admissions reposent souvent sur un excellent dossier scolaire, une reconnaissance du diplôme étranger, et parfois une preuve de maîtrise de l’allemand à un niveau avancé (C1 minimum).
Universités privées : une alternative accessible mais payante
Pour contourner les barrières d’admission des universités publiques, de nombreux étudiants francophones se tournent vers des établissements privés ou des campus internationaux basés en Allemagne, comme :
- UMCH (Hambourg), affilié à l’Université de Târgu Mureș (Roumanie),
- EUC Frankfurt, extension allemande de l’European University Cyprus.
Ces établissements proposent des programmes de médecine en anglais, avec une pédagogie moderne et une approche plus ouverte à l’international.
Les frais de scolarité dans ces écoles varient généralement entre 12 000 € et 25 000 € par an.

Bien que plus coûteux que les universités publiques, ces options restent compétitives financièrement au regard d’autres pays anglophones, tout en offrant un encadrement de qualité et une reconnaissance européenne et des formations accessibles en anglais.

Quels sont les procédures d’admission aux universités allemandes ?

Admission dans le publique

L’admission aux études de médecine humaine, dentaire ou vétérinaire dans les universités publiques allemandes est extrêmement compétitive, en particulier pour les étudiants non ressortissants de l’UE. Le nombre de places est limité et la sélection repose sur plusieurs critères rigoureux :

Un excellent dossier académique : les candidats doivent avoir un dossier scolaire d’exception, notamment en biologie, chimie, mathématiques et physique. Les meilleures notes sont souvent indispensables.

Un diplôme reconnu : le baccalauréat français (ou autre diplôme étranger) doit être équivalent à l’Abitur, le diplôme allemand d’accès à l’enseignement supérieur. Cette équivalence est évaluée par l’organisme uni-assist ou directement par l’université.

La maîtrise de la langue allemande : pour les programmes enseignés en allemand, une maîtrise de la langue à un niveau C1 est requise (certifiée par le TestDaF, le DSH ou un équivalent).

Le classement via le portail hochschulstart.de : les candidatures à la médecine, à la pharmacie, à la dentisterie et à la médecine vétérinaire passent par ce portail centralisé, qui fonctionne sur un système de quotas et de points selon les notes, l’ancienneté, et d’autres critères.

Pour les étudiants internationaux, la compétition est intense car les places disponibles en dehors des quotas nationaux sont très limitées.
Admission dans le privé

Les établissements privés ou internationaux en Allemagne proposent une voie d’accès plus directe à des études de santé, notamment en médecine, en anglais, et sont plus accessibles aux étudiants francophones. Voici les étapes générales du processus d’admission :

Un dossier scolaire solide : un bon niveau académique est requis, mais la moyenne exigée est plus souple que dans les universités publiques. L’accent est mis sur la régularité et la motivation.

La maîtrise de la langue anglaise : pour les programmes en anglais, un test standardisé comme l’IELTS (min. 6.5 – 7.0) ou le TOEFL (min. 90+) est requis.

Le passage d’entretiens de motivation : un entretien oral (en visio) est organisé pour évaluer votre projet, votre maturité, vos motivations personnelles et votre aptitude à évoluer dans un environnement international.

Ces établissements offrent une alternative concrète pour les étudiants motivés souhaitant étudier la santé en Allemagne sans passer par les procédures ultra-sélectives du système public.

Nous sommes spécialisés dans l’accompagnement des étudiants vers des établissements privés reconnus et seront à même de vous conseiller tout au long des démarches.

Quelles sont les équivalences en France de votre formation Allemande ?

Découvrir les études de santé en Allemagne avec Take me to Medschool

Les formations proposées à travers Take me to Medschool sont reconnues partout en Europe sous réserve de réaliser les démarches nécessaires comme mentionnées ci-dessous.

Vous pouvez donc faire confiance à nos universités partenaires et à nos services pour pouvoir exercer en France suite à votre cursus en Allemagne !

Médecine, dentaire, pharmacie : reconnaissance automatique sous conditions

Les diplômes délivrés par les universités allemandes en médecine, chirurgie dentaire et pharmacie sont conformes aux directives européennes. Cela signifie qu’ils bénéficient en principe d’une reconnaissance automatique en France, à condition que :

Le programme ait été entièrement réalisé dans un État membre de l’UE
Le diplôme figure sur la liste des qualifications minimales harmonisées définies par l’Union européenne
Le candidat réponde aux exigences linguistiques et déontologiques françaises, et ne présente pas de contre-indication à l’exercice.

Une inscription à l’Ordre professionnel concerné (Médecins, Chirurgiens-Dentistes, Pharmaciens) reste obligatoire pour pouvoir exercer en France.

Vétérinaires : reconnaissance avec évaluation par l’Ordre

Les diplômés en médecine vétérinaire formés en Allemagne doivent soumettre leur dossier au Conseil National de l’Ordre des Vétérinaires (CNOV).

Dans la majorité des cas, le diplôme allemand est reconnu automatiquement, conformément aux accords européens. Toutefois, l’Ordre peut demander :

La présentation de documents détaillant le contenu des études
Une attestation de compétence ou d’expérience clinique

On répond à vos questions les plus courantes sur l’Allemagne

Faire le choix d’un cursus médical en Allemagne est une décision importante, et il est essentiel d’avoir toutes les informations en main. Nos conseillers sont présents pour vous accompagner tout au long du processus.

Voici les réponses aux questions les plus fréquemment posées pour vous aider à concrétiser votre projet en toute confiance. N’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez en savoir plus !

Dois-je parler allemand pour étudier la médecine en Allemagne ?

Pas forcément. Certaines universités privées ou internationales (comme UMCH ou EUC Frankfurt) proposent des programmes entièrement en anglais. En revanche, dans les universités publiques, la plupart des cursus de santé sont en allemand, avec une exigence de niveau C1 minimum.
Mon baccalauréat est-il reconnu pour intégrer une université allemande ?

Oui, à condition qu’il soit équivalent à l’Abitur allemand. Cela dépend de vos matières, de vos notes et du type de bac. Les universités passent souvent par uni-assist, un organisme chargé d’évaluer les diplômes étrangers.
Puis-je être admis dans une université publique allemande en médecine ?

C’est possible, mais très compétitif. L’admission repose principalement sur l’excellence du dossier scolaire, la connaissance de l’allemand et parfois des tests comme le TMS. Les places pour les non-Allemands sont limitées.
Est-ce plus accessible dans une université privée ?

Oui. Les universités comme UMCH ou EUC Frankfurt sont plus ouvertes aux étudiants internationaux. Elles évaluent votre dossier global : résultats scolaires, entretien, niveau d’anglais, motivation, etc. L’admission est plus souple, mais les frais de scolarité sont plus élevés.
Accompagnez-vous les étudiants dans toutes ces démarches ?

Take Me to MedSchool vous accompagne de A à Z : évaluation de votre profil, choix des universités, constitution du dossier, entraînement à l’entretien, démarches administratives, et suivi jusqu’à l’intégration sur le campus.
Quand dois-je contacter Take Me to MedSchool ?
Le plus tôt possible !

Pour une rentrée universitaire en octobre, il est fortement recommandé de nous contacter entre décembre et mars de l’année précédente. Cela vous laisse le temps de :
- Évaluer votre éligibilité,
- Préparer les documents requis (relevés, traductions, lettres, tests de langue…),
- Passer les éventuels entretiens ou tests d’entrée,
- Et organiser votre départ sereinement (visa, logement, assurance…).
Les candidatures pour certaines universités privées/internationales restent ouvertes plus tardivement (jusqu’en juillet/août), mais les places sont limitées et attribuées au fil de l’eau.

Anticiper, c’est maximiser vos chances d’admission. Contactez-nous dès que vous envisagez ce projet, même un an à l’avance : cela peut faire toute la différence.

Réforme des études de santé en 2026 : retour à une voie unique ?

Écrit par Jean-Baptiste le 25 avril 2025. Publié dans Articles-blog, Test-admission-etudes. Aucun commentaire sur Réforme des études de santé en 2026 : retour à une voie unique ?

Réforme des études de santé en 2026 : retour à une voie unique, fin de l’expérimentation PASS/LAS ?

Depuis quatre ans, les études de santé en France ont été bouleversées par la réforme de 2020, qui a mis fin à la PACES et introduit les parcours PASS (Parcours d’Accès Spécifique Santé) et LAS (Licences avec Accès Santé).

L’intention était louable : diversifier les profils, supprimer le numerus clausus, moderniser la formation. Mais aujourd’hui, la grogne monte, des bilans critiques s’enchaînent, et une nouvelle réforme s’annonce pour 2026. Dans cet article, on décortique pourquoi ce virage est devenu nécessaire, les critiques qu’il suscite, les propositions concrètes pour l’avenir, et les grandes orientations déjà en débat.

Le système PASS/LAS : un patchwork devenu labyrinthe

Une réforme ambitieuse, mais bancale à l’usage

La suppression de la PACES et du numerus clausus en 2020 avait pour but d’élargir l’accès aux études de santé. On espérait un modèle plus souple, plus juste, capable de détecter des vocations au-delà des seuls bacheliers scientifiques.

Le PASS proposait une année orientée santé avec une « mineure » hors santé. À l’inverse, la LAS reposait sur une licence classique (droit, psychologie, biologie…) avec une « mineure santé ». Ce double modèle devait permettre plus de souplesse, des réorientations facilitées et moins d’échecs.

Mais la réalité s’est avérée bien plus complexe : programmes hétérogènes d’une université à l’autre, inégalités de traitement selon les filières, parcours trop lourds, taux d’échec toujours élevés… Sans parler du casse-tête administratif que cela représente pour les étudiants et les universités.

Une machine à sélectionner, pas à former

Les chiffres parlent d’eux-mêmes

Selon la Cour des comptes, le système PASS/LAS n’a pas permis de corriger les inégalités sociales ou territoriales. Les étudiants issus des classes populaires ou des petites villes peinent toujours à accéder à ces filières. Le stress reste immense. Le coût pour les universités a même explosé, avec la multiplication des groupes, des filières, des jurys, des évaluations spécifiques.

Et surtout, beaucoup échouent. Dans certaines LAS, seuls 5 à 10 % des étudiants obtiennent une place en deuxième année de santé. Le système, censé être plus ouvert, s’est transformé en labyrinthe sélectif, particulièrement rude pour ceux qui n’ont pas anticipé tous les pièges.

Le retour en force de la voie unique : une idée qui fait consensus

L’avis tranché de la Cour des comptes

En décembre 2024, la Cour des comptes jette un pavé dans la mare : elle propose de « mettre fin à l’expérimentation PASS/LAS » pour revenir à une voie unique d’accès aux études de santé. Cette voie serait pilotée par les UFR santé et articulée autour d’une majeure santé et d’une mineure de réorientation.

Objectif : clarifier l’entrée dans ces filières, harmoniser le niveau d’exigence, et offrir aux étudiants une vraie lisibilité. La Cour recommande aussi de réintroduire le redoublement, supprimé en 2020, et de développer davantage les passerelles (pour les étudiants en reconversion ou venant d’autres filières).

Les doyens de médecine s’alignent

Du côté des facultés, le constat est le même. Les doyens de médecine reconnaissent les limites du système actuel. Eux aussi souhaitent une voie principale claire, tout en conservant quelques accès alternatifs. Mais surtout, ils veulent sortir de l’usine à gaz administrative actuelle, pour revenir à une formation exigeante mais structurée.

Toujours aussi difficile d'accéder aux études de santé en France

Pourquoi de plus en plus d’étudiants partent étudier la santé à l’étranger

Un des effets majeurs de la réforme PASS/LAS, c’est l’exode étudiant. Chaque année, des milliers – de jeunes Français partent tenter leur chance à l’étranger, notamment en Belgique, en Espagne, en Roumanie ou encore en Hongrie.

Une réponse au blocage du système français

La France reste ultra-sélective : pour quelques places en deuxième année de médecine, des dizaines de milliers de candidats. Beaucoup de lycéens brillants se heurtent à une barrière opaque, arbitraire ou simplement mal calibrée. À l’étranger, ils trouvent un système parfois plus coûteux, mais aussi plus transparent, avec un accès direct aux études médicales dès la première année.

Des cursus plus linéaires, moins anxiogènes

En Belgique francophone, par exemple, l’admission se fait par concours, mais dans un cadre clair, avec des règles identiques pour tous. En Espagne ou en Roumanie, l’accès repose sur un dossier et une épreuve écrite. Ces cursus proposent souvent un encadrement plus individualisé, et surtout une trajectoire plus fluide, sans la tension constante d’un couperet en fin d’année.

Un phénomène qui interroge sur l’efficacité du modèle français

Que tant de jeunes motivés choisissent de s’expatrier pour exercer plus tard en France doit interpeller. Cela révèle une frustration croissante, un sentiment de gâchis, et une perte de confiance dans le système national. Ces départs, loin d’être anecdotiques, sont devenus un indicateur de la défaillance du modèle actuel.

Partir étudier la santé dans les meilleures conditions avec Take Me to MedSchool

Face à la complexité du système français, de plus en plus d’étudiants choisissent de partir étudier la santé à l’étranger… mais rarement seuls. Passer par une agence spécialisée tel que nous est devenu une option stratégique pour maximiser ses chances d’intégration.

Nous vous accompagnons dans toutes les étapes : choix du pays et de l’université, constitution du dossier, démarches administratives, préparation aux entretiens, voire cours de langue ou soutien pédagogique avant le départ.

Dans un environnement souvent inconnu, nous vous offront un gain de temps, de sérénité et une vraie sécurité logistique. En comparaison, rester en France, c’est affronter seul un système ultra-concurrentiel, sans garantie d’issue, avec des règles qui changent d’une fac à l’autre.

Vous ne souhaitez pas attendre la réforme pour étudier la santé ?

Contactez-nous dès maintenant pour partir étudier à l’étranger.

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Ce que disent les ministres : vers une réforme dès 2026

Des annonces fortes au Sénat

Le 26 mars 2025, les ministres Philippe Baptiste (Enseignement supérieur) et Yannick Neuder (Santé) sont auditionnés au Sénat. Le ton est clair : une nouvelle réforme est à l’étude, et elle pourrait être mise en place dès la rentrée 2026.

Philippe Baptiste reconnaît que la réforme de 2020 « a montré ses limites » et souhaite désormais « un modèle unique d’organisation de l’accès aux études », tout en préservant « la diversité des parcours ». Il propose un tronc commun santé, bien structuré, et piloté par les UFR santé, avec une possibilité de réorientation prévue dès le départ.

Yannick Neuder, lui, insiste sur l’urgence : « Nous avons besoin de former plus, mais aussi de former mieux. » Il souligne les effets pervers du système actuel, comme la fuite croissante d’étudiants vers l’étranger, notamment la Belgique et la Roumanie, pour contourner les sélections françaises.

Un calendrier ambitieux mais serré

L’idée serait de finaliser les arbitrages dans les mois à venir, pour une mise en œuvre à la rentrée 2026. C’est ambitieux, car il faudra réécrire les maquettes pédagogiques, repenser la sélection, ajuster les capacités d’accueil, et mobiliser les équipes universitaires.

Une réforme qui devra répondre à plusieurs défis

1. Simplifier sans niveler par le bas

Le nouveau système devra être lisible, compréhensible, sans pour autant brader l’exigence académique. Le défi sera de concevoir une première année qui forme et sélectionne, tout en laissant des options viables en cas d’échec.

2. Réduire les inégalités

Il faudra veiller à ce que les étudiants de tous horizons – sociaux, géographiques, scolaires – puissent avoir une chance réelle. Cela passera par une harmonisation nationale, la suppression des inégalités entre universités, et une attention particulière aux lycées ruraux ou moins cotés.

3. Limiter les effets de « bachotage »

Le nouveau système devra éviter de recréer une PACES bis, centrée sur la mémorisation massive et les concours absurdes. L’évaluation continue, le contrôle des compétences, et une part d’entretien ou d’oral pourraient mieux valoriser le potentiel global des candidats.

4. Prendre en compte les besoins du terrain

Enfin, la réforme devra s’inscrire dans une logique de planification territoriale : combien de médecins, de pharmaciens, de sages-femmes seront nécessaires dans les dix ans à venir ? Et surtout, dans quelles régions ? La sélection ne doit pas être déconnectée des besoins du pays.

Les étudiants veulent aussi peser dans la réforme

Les fédérations étudiantes (ANEMF, UNEF, FAGE, etc.) sont elles aussi favorables à une voie unique, à condition qu’elle soit bien pensée. Leur crainte : qu’on revienne à une sélection brutale, sans filet, où les perdants se retrouvent sans diplôme, sans validation, sans avenir.

Elles militent pour un modèle qui laisse une vraie chance à ceux qui échouent, via des réorientations facilitées, des ECTS capitalisables, et des passerelles vers d’autres filières. Autre demande : que les étudiants soient intégrés dans les discussions, au lieu d’apprendre les décisions dans la presse.

Conclusion : une réforme cruciale pour la santé et la société

Ce qui se joue ici va bien au-delà de l’accès à quelques milliers de places en médecine. Il s’agit de refonder un système de formation des soignants à la hauteur des défis du XXIe siècle : désertification médicale, vieillissement de la population, explosion des maladies chroniques, crises sanitaires à répétition.

Un système lisible, juste, exigeant, humain. Voilà le cap que devra se donner la réforme de 2026. Pour éviter de former une génération de soignants surmenés, ou pire, pour ne pas rater l’occasion de redonner du sens à l’entrée dans l’une des professions les plus fondamentales de notre société.

Les études de santé à Malte : rejoindre un cursus de médecine

Études de santé à Malte : le guide

Écrit par Jean-Baptiste le 18 avril 2025. Publié dans Etudes-santé-Malte.

Études de santé à Malte : nos services

Comment intégrer un cursus de santé à Malte ?

Étudier la santé à Malte représente une opportunité unique pour les étudiants francophones souhaitant suivre une formation médicale en anglais, au sein de l’Union européenne.

L’admission dans ces cursus repose sur une évaluation rigoureuse du parcours scolaire, notamment en biologie, chimie et mathématiques. Certaines universités maltaises exigent également un entretien de sélection, centré sur la motivation, la maturité du projet professionnel et les qualités personnelles du candidat. La capacité à évoluer dans un environnement académique international et anglophone est un critère clé.

Take Me to MedSchool vous accompagne dès les premières étapes, en vous aidant à constituer un dossier solide, à vous préparer aux entretiens, et à comprendre les exigences propres aux universités maltaises.

Notre objectif ? Vous guider de façon claire et stratégique pour que votre projet d’études en santé à Malte devienne une réalité, dans les meilleures conditions.

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous évaluons ensemble les possibilités qui s’offrent à vous et nous assurons de l’adéquation de votre projet avec votre parcours.
Réalisation et envoi de votre dossier

Étape 2

Une fois votre projet défini, vous bénéficiez de l’expertise et du réseau de nos conseillers pour réaliser ensemble un dossier d’inscription répondant aux attentes des universités.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis dans l’université de vos rêves, nous vous accompagnons pour préparer votre départ et débuter votre cursus dans les meilleures conditions.

Quelles spécialités pour partir à Malte avec Take Me to MedSchool ?

Take Me to MedSchool collabore avec plusieurs universités maltaises reconnues pour proposer aux étudiants francophones un accès facilité aux formations de santé les plus recherchées.

A travers nos partenariats, nous proposons pour Malte plusieurs universités permettant de rejoindre une formation en médecine.

Études de médecine à Malte

Durée : 5 à 6 ans

Les études de médecine à Malte suivent un modèle inspiré du système britannique. Le cursus s’étend sur 5 à 6 ans, selon le parcours académique initial de l’étudiant.
Les deux premières années sont axées sur les sciences fondamentales (anatomie, physiologie, biochimie).
Elles sont suivies de trois années cliniques, avec des stages dans des hôpitaux partenaires à Malte ou à l’étranger.
Les cours sont dispensés entièrement en anglais, ce qui attire de nombreux étudiants internationaux.
La pédagogie met l’accent sur l’analyse de cas cliniques, la communication médicale et la pratique encadrée.
Les formations que nous proposons sont reconnues dans l’Union Européenne et vous permettront d’entamer une procédure d’équivalence afin d’exercer en France par la suite.

Quelles sont nos universités partenaires maltaises ?

Nous avons mis en place des partenariats avec plusieurs établissements à Malte pour les cursus en médecine.

Nous connaissons les requis et attente de ces établissements, et disposons d’une expertise unique pour vous accompagner dans vos candidatures.

Queen Mary (University of London)

Le campus de Queen Mary University of London à Malte propose un programme de médecine complet, dispensé intégralement en anglais.

Le cursus suit le même contenu académique que celui enseigné à Londres, avec un diplôme final délivré par QMUL.
Il s’agit d’un programme de 5 ans destiné aux étudiants internationaux souhaitant étudier dans un cadre européen.
Les deux premières années se déroulent sur le campus moderne de Gozo, avec un enseignement axé sur les sciences médicales.
Les trois dernières années sont consacrées à la formation clinique, en partenariat avec des hôpitaux maltais.
Les étudiants bénéficient de promotions à taille humaine et d’un accompagnement pédagogique personnalisé.
Les infrastructures sont récentes, avec laboratoires, centre de simulation médicale et accès aux bibliothèques en ligne de QMUL.

Vous êtes prêt à vous lancer ?

Contactez-nous dès maintenant pour commencer ensemble votre projet.

Nous contacter

Pourquoi rejoindre Malte pour vos études de santé ?

Malte est connue pour ses formations dans la santé partout en Europe car elle permet un accès autrement que par les systèmes d’admission ultra-compétitifs des pays comme la France ou la Belgique.

Des formations européennes en anglais

À Malte, les études de santé sont dispensées en anglais dans un cadre académique rigoureux, conforme aux normes européennes. Les diplômes obtenus sont reconnus dans l’Union européenne, ce qui facilite la poursuite de carrière en France ou ailleurs en Europe.
Une méthode pédagogique britannique … à Malte !

Les universités maltaises, en particulier Queen Mary University of London (campus de Gozo), suivent un modèle inspiré du système britannique. L’approche par cas cliniques, l’interdisciplinarité et la mise en situation préparent les étudiants à la réalité du terrain dès les premières années.
Un encadrement personnalisé et des effectifs réduits

À Malte, les promotions sont limitées en taille, ce qui favorise un suivi pédagogique individualisé. Les étudiants bénéficient d’un réel accompagnement, avec un accès direct aux enseignants et aux tuteurs.
Des stages cliniques sur l’île et en Europe

Les formations médicales intègrent des stages obligatoires dans des hôpitaux partenaires maltais comme le Mater Dei Hospital, ainsi que des options de mobilité en Europe grâce aux accords Erasmus et aux réseaux internationaux.
Un cadre de vie privilégié et ensoleillé

Malte offre un environnement sûr, ensoleillé et propice aux études. Avec plus de 300 jours de soleil par an, des infrastructures modernes et une population anglophone, l’île attire de nombreux étudiants européens.
Une ouverture internationale

Véritable carrefour entre l’Europe, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient, Malte accueille une communauté étudiante très diverse. Cette exposition à différentes cultures favorise une ouverture d’esprit essentielle dans les carrières de santé.
Une accessibilité géographique et financière

Proche de la France et bien desservie, Malte est une destination plus accessible que d’autres pays anglophones. Les frais de scolarité restent compétitifs par rapport à ceux pratiqués en Australie, au Royaume-Uni ou au Canada.
Une insertion professionnelle fluide en Europe

Les diplômés des programmes médicaux maltais peuvent poursuivre leur spécialisation ou entamer les démarches de reconnaissance en France, avec un encadrement conforme aux standards de l’Union européenne.

Quel profil pour étudier la santé à Malte ?

Les universités maltaises attendent des candidats sérieux, engagés, dotés d’une vraie motivation pour les sciences médicales.
Voici les qualités et critères les plus fréquemment évalués :

Les conditions d’admission

Le dossier

Les procédures varient très légèrement selon l’université que nous représentons (University of Malta ou Queen Mary Malta), mais la structure reste similaire :

Pour les candidats en premier cycle (Bachelor / MBBS), un dossier complet intégrant le Baccalauréat (ou équivalent), une preuve de niveau d’anglais (TOEFL / IELTS), une lettre de motivation, un CV détaillant vos premières expériences, des lettres de recommandation et le passage d’entretien de motivation.

Les admissions sont sélectives mais plus accessibles que dans les facultés publiques françaises de médecine.
Diplôme(s) pertinent(s)

Le dossier

Pour intégrer un cursus de médecine à Malte, les candidats doivent avoir validé un baccalauréat général avec des résultats solides, en particulier dans les matières scientifiques (biologie, chimie, mathématiques). Pour les admissions directes en cycle supérieur ou transfert, un diplôme universitaire en sciences de la vie peut être exigé selon le niveau d’entrée.
Maîtrise de l’anglais

Les langues

QMUL Malta : Score IELTS minimum de 7.0 (avec 6.5 minimum dans chaque composante) ou TOEFL équivalent.

University of Malta : Score IELTS minimum de 6.5 ou équivalent. La langue d’enseignement est l’anglais, mais certains documents administratifs peuvent aussi exiger une bonne compréhension de l’anglais académique.
Tests d’aptitude

Les examens

QMUL Malta : Pas de test type UCAT requis, mais les candidats doivent passer un entretien académique structuré (panel interview) évaluant leur motivation, leurs connaissances scientifiques de base et leur aptitude à étudier la médecine.

University of Malta : Un entretien d’admission est également requis, souvent accompagné d’un test écrit ou d’une évaluation interne selon le parcours du candidat.
Expérience pratique et volontariat

Expérience(s)

Dans les deux universités, bien qu’elle ne soit pas obligatoire, une expérience dans un environnement médical (stage, immersion hospitalière, mission humanitaire, bénévolat) est vivement recommandée. Elle renforce votre dossier et démontre une connaissance du secteur.
Motivation et engagement

Compétences

Les deux établissements recherchent des étudiants ayant un projet de carrière clair et une réelle motivation pour les professions de santé.

Une lettre de motivation spécifique à l’établissement, détaillant vos objectifs, vos motivations, et les raisons de votre choix pour Malte est attendue.
Compétences interpersonnelles

Compétences

Pour les formations médicales maltaises, il est attendu de l’étudiant de pratiquer l’écoute active, d’avoir la capacité à collaborer en équipe ainsi qu’une éthique professionnelle.
Dossier de candidature

Processus

Un dossier académique complet avec tous les documents requis par l’établissement doit être établi pour l’inscription. Nous v ous conseillons de nous contacter pour effectuer les démarches ensemble !

Quelles sont les dates clés pour partir étudier la médecine à Malte ?

Les universités maltaises proposent une seule rentrée universitaire par an, généralement en septembre ou octobre. Les procédures d’admission commencent très en amont : il est donc essentiel d’anticiper votre candidature.

Le calendrier ci-dessous est indicatif pour une rentrée en septembre/octobre :

1. Ouverture des inscriptions

Janvier à Mars
2. Préparation des dossiers

Janvier à Mai
3. Fermeture des inscriptions à Malte

Juin au plus tard
4. Examens des universités privées

Avril à Juillet
5. Examen de langue en anglais

Janvier à Mai
6. Admission finale à un cursus à Malte

Avril à Juillet
7. Préparation au départ

Juin à Août
8. Rentrée universitaire à Malte

Fin Septembre

Quels sont les frais universitaires à Malte ?

Queen Mary University of London – Malta Campus

Le campus de Queen Mary à Malte propose un programme de médecine en 5 ans, identique à celui enseigné à Londres. Les frais de scolarité pour les étudiants internationaux s’élèvent à €37 500 par an pour la rentrée 2025.

Ce montant couvre l’intégralité de la formation académique et clinique, l’accès aux ressources pédagogiques en ligne de Queen Mary, ainsi qu’aux installations modernes du campus de Gozo.

Il s’agit d’un investissement conséquent, mais justifié par la qualité britannique du diplôme, délivré par une université classée parmi les meilleures d’Europe.

Comment se déroulent les admissions aux cursus de santé à Malte ?

Admission aux cursus dans le publique

L’admission au programme de médecine proposé par l’Université de Malte est sélective, et seuls les étudiants européens avec un dossier académique exceptionnel y accèdent.

Bien que le système soit plus accessible que celui de certaines facultés françaises, l’université ne fait aucun compromis sur le niveau requis.

Les candidats doivent présenter un baccalauréat scientifique ou équivalent, avec des résultats solides en biologie, chimie et mathématiques. Un niveau élevé dans ces matières est indispensable pour que la candidature soit recevable. À cela s’ajoute l’obligation de prouver une maîtrise de l’anglais, généralement via un IELTS à partir de 6.5.

L’université peut également exiger des modules de compensation si certaines disciplines n’ont pas été étudiées dans le cursus secondaire. Dans certains cas, un test écrit ou une évaluation complémentaire est organisé, notamment pour les étudiants ne venant pas d’un système scolaire harmonisé avec le leur.
Admission aux cursus dans le privé

Le programme de médecine de Queen Mary Malta, bien que privé, reste sélectif. L’université recherche des étudiants capables de suivre un enseignement exigeant, tout en adoptant une approche plus flexible et humaine dans son processus d’admission.

Le dossier académique est scruté avec attention : de solides résultats en biologie et chimie sont attendus. Toutefois, le processus ne repose pas uniquement sur les notes. L’université valorise aussi le profil global du candidat, sa motivation, sa réflexion personnelle et son potentiel à évoluer dans un environnement médical international.

Les candidats doivent fournir une preuve de maîtrise de l’anglais (IELTS 7.0 avec un minimum de 6.5 dans chaque compétence, ou équivalent). Ensuite, ils passent un entretien structuré en visioconférence (panel interview), qui évalue à la fois leur motivation, leur éthique personnelle, leur compréhension du rôle d’un professionnel de santé, et leur capacité à gérer la pression.

Contrairement aux cursus dans d’autres pays, aucun test standardisé de type UCAT ou GAMSAT n’est requis, ce qui rend la procédure plus accessible, sans pour autant en réduire l’exigence.

Comment s’assurer de l’équivalence de votre formation à Malte à votre retour en France ?

Étudier la médecine à Malte offre un atout majeur : les formations proposées par l’Université de Malte et Queen Mary (campus de Gozo) sont conformes aux directives européennes sur la reconnaissance des qualifications professionnelles.

Cela signifie que, contrairement à d’autres destinations hors UE, aucune procédure d’équivalence complexe n’est nécessaire pour faire reconnaître votre diplôme en France.

Quand est-il des procédures pour l’équivalence de médecine ?

Les diplômés en médecine d’un établissement maltais reconnu peuvent demander leur inscription à l’Ordre des Médecins français sans repasser d’examen type EVC. Il est toutefois nécessaire de :

présenter un diplôme conforme à la directive 2005/36/CE
fournir les traductions officielles du diplôme et des relevés
et parfois démontrer une maîtrise suffisante du français médical, en particulier pour ceux ayant étudié uniquement en anglais.

On répond à vos questions les plus courantes sur les études de santé à Malte

Choisir de partir étudier la médecine à Malte, c’est faire le pari d’une formation de haut niveau, dispensée en anglais, au sein de l’Union européenne.Pour vous aider à avancer sereinement dans votre projet, voici les réponses aux questions que se posent le plus souvent nos étudiants.

N’hésitez pas à nous contacter pour débuter avec nous les démarches !

Dois-je parler maltais pour suivre les cours ?

Non. Les programmes de médecine proposés à Malte par Queen Mary University of London et l’Université de Malte sont 100 % en anglais.
L’anglais est la langue d’enseignement, mais aussi largement utilisée dans la vie quotidienne à Malte. Vous n’aurez donc pas de difficulté dans la vie de tous les jours si vous disposez d’un niveau sufissant pour rejoindre le cursus !

Retrouvez le détails de nos tarifs sur la page « Nos Services »
Mon bac est-il suffisant pour postuler ?

Oui, si vous avez un baccalauréat scientifique avec de bonnes notes en biologie et chimie.
Notre université partenaire évalue le dossier dans son ensemble. Si certaines matières manquent, elle peut demander des compléments ou équivalences. Nos conseillers sont présents pour vous guider pas à pas et s’assurer que les résultats sont suffisants et bien communiqués.
Quand dois-je commencer les démarches et vous contacter ?

Le plus tôt possible. Les universités maltaises ouvrent les candidatures dès janvier pour une rentrée en septembre.
Nous conseillons de commencer les démarches 9 à 12 mois avant la rentrée souhaitée pour éviter tout stress et maximiser vos chances d’admission.

Dans le cas où des places seraient encore disponibles à quelques mois de la rentrée, nous n’hésiterons pas à vous en informer si vous nous contacter, mais rien n’est garanti !
Est-ce plus accessible dans une université privée à Malte ?

Oui, le campus de Queen Mary University of London à Malte offre une voie d’accès plus ouverte pour les étudiants internationaux.
L’admission ne passe pas par un concours classique, mais repose sur une évaluation globale de votre dossier : résultats scolaires, motivation, niveau d’anglais, et entretien.
Le processus est plus flexible que dans une université publique, tout en restant rigoureux sur le plan académique.
En contrepartie, les frais de scolarité sont plus élevés, mais ils s’accompagnent d’un encadrement individualisé, d’infrastructures modernes, et d’un diplôme britannique reconnu à l’échelle européenne.

Refusé en médecine en France : faut-il partir à l’étranger ?

Écrit par Jean-Baptiste le 27 mars 2025. Publié dans Non classé. Aucun commentaire sur Refusé en médecine en France : faut-il partir à l’étranger ?

Non admissible en médecine en France : faut-il partir à l’étranger ?

Chaque année, des milliers d’étudiants rêvent d’endosser la blouse blanche. Mais entre la sélection féroce en première année et des places limitées, beaucoup se heurtent à un mur. Alors, que faire après un refus en PASS ou LAS ? Est-ce que partir étudier la médecine à l’étranger est une réelle option ? Est-ce reconnu ? Combien ça coûte ? À quelles conditions ?

Ce guide vous propose un tour d’horizon complet, sans tabous ni illusions, pour évaluer sérieusement vos alternatives.

1. La sélection difficile en France

C’est un fait : les études de médecine sont parmi les plus sélectives de France. Même après les réformes, les taux de réussite restent très faibles.

En 2023 :

Plus de 39 000 étudiants étaient inscrits en première année (PASS ou LAS),
Seulement environ 9 000 ont été admis en deuxième année, soit moins de 25 %,
Et dans certaines facultés, la sélection est encore plus rude : à Marseille ou Lyon, des candidats avec plus de 14/20 de moyenne générale n’ont pas été pris.

La réforme PASS/LAS devait diversifier les profils et adoucir la sélection. Dans les faits, elle a souvent déplacé la difficulté sans vraiment la réduire. Résultat : tension, stress, perte de repères, et pour beaucoup, une année de travail intense… sans issue.

2. Les réformes récentes du gouvernement

Depuis 2020, la réforme a supprimé la PACES et le redouté concours de fin d’année. À la place :

Le PASS (Parcours Spécifique Accès Santé) propose une majorité de matières scientifiques, avec une « mineure » dans une autre discipline.
La LAS (Licence Accès Santé) propose l’inverse : une licence classique (biologie, droit, lettres…) avec une option santé.

En théorie, cette réforme devait :

Élargir l’accès aux études médicales,
Favoriser la réorientation pour les étudiants non admis,
Diminuer la pression du concours.

Mais dans la réalité :

La sélection reste rude, parfois même plus floue qu’avant,
Le nombre de places reste très limité : environ 10 000 en médecine chaque année,
Le niveau d’exigence est toujours très élevé.

Et malgré l’objectif de 16 000 places en 2027, cela reste très en dessous de la demande.

Partir étudier la médecine à l'étranger pour éviter la sélection en France

3. Les difficultés d’accès toujours présentes

Un étudiant qui entre en PASS ou LAS a donc 3 à 4 chances sur 5 d’être refusé en deuxième année. Pire : pour beaucoup, le système devient un « sas » d’échec mal digéré.

Parmi les freins principaux :

Manque de lisibilité des critères d’admission (classement, jury, oral, etc.),
Rythme extrêmement soutenu dès le premier mois,
Peu d’encadrement personnalisé,
Et un sentiment d’injustice fréquent chez les recalés.

Il n’est pas rare de voir des étudiants brillants, motivés, mais qui n’ont pas le « bon » profil pour les oraux ou qui tombent sur un mauvais sujet, se retrouver exclus du système après un seul essai.

Pour ces étudiants, se tourner vers l’étranger n’est pas un plan B, mais la suite logique d’un projet qui reste intact : devenir médecin.

4. Comment partir étudier la médecine à l’étranger ?

Contrairement aux idées reçues, étudier la médecine à l’étranger est tout à fait possible, y compris sans avoir validé de PASS/LAS.

Les destinations populaires

Espagne : via des universités privées (UEM, CEU, UCAM…), admission sur dossier ou concours, en espagnol ou anglais. Coût : environ 13 000 à 25 000 €/an.
Roumanie / Bulgarie / Hongrie : formations en anglais, admission sur dossier et tests écrits. Coût : 8 000 à 20 000 €/an.
Slovaquie, République Tchèque, Pologne : programmes anglophones bien structurés, tests d’entrée, bonne reconnaissance européenne.
Belgique : très prisée, mais désormais soumise à un tirage au sort pour les étudiants non-résidents. Peu de places, un fort taux de refus.

Italie : concours national IMAT pour les programmes en anglais, très compétitif. Pour les universités privées, possibilité d’entrer à travers un examen spécifique à l’établissement.

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Conditions générales

Être titulaire du baccalauréat (scientifique conseillé),
Avoir étudié la biologie et la chimie,
Passer un concours d’entrée ou test de logique / anglais / sciences (selon le pays),
Payer les frais d’inscription, qui varient fortement selon l’université.

Reconnaissance des diplômes

C’est la question clé : votre diplôme sera-t-il reconnu en France ?

Oui, s’il est délivré dans l’Union européenne, et si vous êtes inscrit dans une université accréditée. Le diplôme de médecine vous donne alors le droit de demander l’inscription à l’Ordre des Médecins en France, après réussite d’un test linguistique et parfois de quelques formalités administratives.

5. Refusé, jusqu’à quand peut-on postuler à l’étranger ?

C’est une bonne question : est-ce que le refus en PASS ou LAS vous ferme toutes les portes ? Non, pas forcément.

En France

Vous pouvez retenter via une LAS 2 si vous validez votre première année (selon les notes et votre parcours).
Ou bien vous réorienter vers d’autres filières paramédicales : pharmacie, kiné, maïeutique, dentaire (si vous y êtes éligible).
Il est aussi possible d’attendre l’année suivante et candidater dans une autre université via Parcoursup, mais les possibilités sont limitées.

À l’étranger

Aucune limite d’âge dans la majorité des pays européens.
Le plus tôt reste le mieux car les places partent vite, et quand le programme est complet, il reste complet ! Mais des places peuvent être restantes jusqu’en Juillet voire Août.
Certaines vous autorisent à commencer en février ou mars (semestre décalé).

Bon à savoir : si vous êtes motivé, préparé et bien accompagné, vous pouvez encore intégrer une université à l’étranger quelques mois seulement après votre refus en France.

On vous accompagne toute l’année

Nos universités partenaires peuvent disposer de places restantes pour les étudiants arrivant après les premières selections. En fonction de votre dossier, nous parcourons notre réseau pour trouver ensemble une université qui vous correspond.

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6. Take me to MedSchool vous accompagne dans votre projet

Tu n’es pas seul à vivre cette situation. Chaque année, des centaines d’étudiants passent par là. Ce n’est pas un échec, c’est un moment charnière pour redéfinir ton projet sans le renier.

Nous sommes une agence spécialisée dans l’accompagnement des étudiants vers les études de santé à l’étranger. Nous pouvons t’aider à :

Identifier les universités fiables,
Préparer les dossiers de candidature,
Te préparer aux concours d’entrée (biologie, anglais, logique…),
Suivre les démarches administratives, de la demande de visa à l’assurance santé.

Objectif : que tu partes dans les meilleures conditions, avec un vrai projet et un diplôme reconnu à la clé.

En résumé : Partir à l’étranger, est-ce pour vous ?

✔️ Avantages	❗Inconvénients
Pas de numerus clausus	Coût des études élevé à travers les universités privées
Formations en anglais, français ou espagnol	Éloignement familial
Possibilité de redémarrer rapidement	Intégration culturelle à prévoir

En conclusion, oui vous pouvez partir étudier la médecine à l’étranger

Si vous êtes refusé en médecine en France, partir à l’étranger n’est pas une fuite. C’est une alternative cohérente, structurée et de plus en plus courante. Les diplômes sont reconnus, les programmes sérieux, et les médecins formés à l’étranger exercent aujourd’hui dans tous les hôpitaux français.

L’important, c’est de ne pas baisser les bras. Médecine reste un parcours exigeant, où la motivation sur le long terme prime sur la réussite immédiate. Et si les portes se ferment ici, d’autres s’ouvrent ailleurs — parfois là où on ne les attend pas !

Étudier à Universad Europea pour vos études de médecine, kiné, dentiste ou vétérinaire

Écrit par Jean-Baptiste le 6 mars 2025. Publié dans Universités partenaires. Aucun commentaire sur Étudier à Universad Europea pour vos études de médecine, kiné, dentiste ou vétérinaire

Étudier à l’Universidad Europea : Madrid, Valence, les Canaries, Malaga et Alicante

40% d’étudiants internationaux

Avec plus de 110 nationalités
5 campus

à Valence, Madrid, Malaga, Alicante, et les Canaries
130 000 Alumnis

Un véritable réseau partout dans le monde
93,5% d’employabilité

93,5% des diplomés exercent après 15 mois
80 associations étudiantes

Présentes pour animer la vie étudiante

Rejoindre l’une des meilleures universités privées en Espagne pour étudier la santé :

L’Espagne attire chaque année des milliers d’étudiants internationaux, et pour cause : un cadre de vie exceptionnel, une culture vibrante et un système universitaire reconnu mondialement. Parmi les institutions de référence, l’Universidad Europea s’impose comme un acteur incontournable pour ceux qui veulent se former aux métiers de la santé avec une approche innovante et une portée internationale.

Que vous visiez une carrière en médecine, odontologie, pharmacie, kinésithérapie ou soins infirmiers, cette université privée propose des programmes taillés pour répondre aux exigences du marché mondial.

Les programmes accessibles au sein de l’Universidad Europea :

L’Univervisidad Europea propose des spécialités dans tous les domaines d’études de la santé. Take Me to MedSchool peut vous accompagner afin de soumettre votre dossier d’admission sur les domaines suivants :

Études de médecine

Le programme de médecine de l’UEM est structuré pour offrir une formation exhaustive, combinant des connaissances théoriques approfondies et une expérience pratique significative.

Les étudiants bénéficient d’un environnement d’apprentissage moderne, notamment grâce à un hôpital simulé équipé des technologies les plus récentes, leur permettant de se préparer efficacement aux situations cliniques réelles.
Études de kinésithérapie

L’UEM offre un programme de licence en kinésithérapie, reconnu pour sa qualité académique. Ce programme est le seul en Espagne accrédité par la World Confederation for Physical Therapy, garantissant ainsi une formation conforme aux normes internationales les plus élevées.

Les étudiants ont la possibilité de suivre ce programme en espagnol, en anglais ou en français, ce qui témoigne de l’engagement de l’université envers l’internationalisation et la diversité culturelle.
Études dentaires

Le programme de médecine dentaire de l’UEM est offert en espagnol et en anglais, reflétant l’engagement de l’université à fournir une éducation accessible à une population étudiante internationale.

Les étudiants en dentisterie bénéficient de formations pratiques dans des cliniques universitaires, où ils acquièrent une expérience directe avec les patients sous la supervision de professionnels expérimentés.
Études de vétérinaire

Le programme de médecine vétérinaire de l’UEM est dispensé en espagnol et offre aux étudiants une formation exhaustive couvrant la santé animale, la recherche biomédicale et la santé publique vétérinaire.

Les étudiants ont accès à des installations spécialisées, telles qu’un hôpital vétérinaire universitaire, où ils peuvent appliquer leurs connaissances dans des contextes réels.
Études en Pharmacie

La licence en pharmacie à l’UEM est conçue pour préparer les étudiants à une carrière dans divers secteurs pharmaceutiques. Le programme met l’accent sur une formation pratique en laboratoire, la recherche, la gestion des médicaments et le conseil pharmaceutique.

Les étudiants ont accès à des installations modernes, notamment une pharmacie communautaire simulée qui reproduit fidèlement une officine réelle. Cette installation comprend un dispensaire, une zone de service client et une arrière-boutique dédiée à la préparation de produits de santé et de médicaments, offrant ainsi aux étudiants une expérience pratique essentielle pour leur future carrière.

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Pourquoi rejoindre l’Universidad Europea pour vos études de santé ?

La reconnaissance du diplôme au niveau européen

L’Universidad Europea est reconnue par l’ANECA (Agence nationale espagnole d’évaluation de la qualité et de l’accréditation), garantissant la conformité des diplômes aux standards de l’Espace Européen de l’Enseignement Supérieur.

De plus, grâce à ses nombreux accords internationaux, les diplômés peuvent exercer non seulement en Espagne, mais aussi en France, en Europe et parfois outre-Atlantique (sous conditions de reconnaissance des diplômes).
Des formations pratiques dès les premières années

L’université propose une pédagogie axée sur l’expérience clinique précoce.

Les étudiants bénéficient d’installations ultramodernes telles que des hôpitaux simulés, des cliniques universitaires et des laboratoires équipés de technologies avancées, leur permettant d’acquérir rapidement une expérience concrète.
Des études en anglais, espagnol ou même français !

La possibilité de suivre des cursus en espagnol, en anglais et même en français (pour certains programmes comme la kinésithérapie) est un atout majeur pour les étudiants internationaux qui cherchent à étudier dans un environnement multilingue.

Avec plus de 40 % d’étudiants internationaux représentant plus de 100 nationalités, l’UEM offre un cadre d’étude cosmopolite et stimulant, idéal pour préparer les étudiants à exercer leur profession dans un contexte global.
Des accréditations internationales et une reconnaissance européenne

Plusieurs programmes de santé à l’UEM sont accrédités par des organismes internationaux reconnus, comme la World Confederation for Physical Therapy, garantissant une formation conforme aux standards mondiaux.

Les formations de l’université sont aussi reconnues en France et vous permettent d’exercer à votre retour une fois les démarches nécessaires effectuées.
Des installations ultra-modernes

Les étudiants profitent de laboratoires innovants, d’un hôpital universitaire simulé, d’une pharmacie communautaire reconstituée et d’autres équipements qui reproduisent les conditions réelles de travail dans le secteur de la santé.

Nous vous accompagnons à travers notre partenariat avec l’UE

L’Université Européenne de Madrid, réputée pour son excellence dans les études de santé, attire des candidats en provenance de toute l’Europe. Cette attractivité rend ainsi la sélection particulièrement rigoureuse. L’intégration dans cette institution nécessite de respecter un processus administratif complexe et précis afin de mettre toutes les chances de votre côté. Toute négligence dans ces démarches conduit systématiquement à l’échec de l’admission.

Nos conseillers se chargent justement d’alléger ces contraintes pour les candidats. Nos experts assurent un accompagnement complet et prennent en main tous les aspects bureaucratiques de votre dossier. Grâce à notre relation privilégiée avec l’Université Européenne de Madrid, nous maîtrisons parfaitement leurs critères spécifiques de sélection ainsi que les particularités des épreuves d’admission.

Quels sont les requis pour rejoindre l’Universidad Europea en Espagne ?

Pour intégrer l’Universidad Europea de Madrid (UEM), les candidats doivent satisfaire à plusieurs exigences académiques et administratives. Voici un aperçu des principales conditions d’admission :

Les compétences académiques

Le dossier

1. D’excellentes notes dans les matières scientifiques pertinentes, telles que la biologie, l’anatomie et la physiologie, au niveau secondaire.

2. Un diplôme d’études secondaires reconnu satisfaisant les exigences d’admission des universités ciblées.

3. Pour certaines universités, la réussite à des examens d’entrée spécifiques ou des tests standardisés peut être requise.
Les compétences linguistiques

Les langues

Programmes en anglais ou en espagnol : Les étudiants dont la langue maternelle n’est pas l’espagnol et/ou l’anglais doivent démontrer une maîtrise suffisante de la langue pour pouvoir suivre un cursus. Un niveau B2 doit alors être démontré à travers les tests internes de l’université lors du processus d’admission.

Aucun examen interne ne devrait vous être demandé (comme l’IELTS/TOEFL) pour justifier de votre niveau de langue.
Tests d’admission

Examens en interne uniquement

L’UEM évalue les compétences et aptitudes des candidats à travers des tests d’admission spécifiques, qui peuvent inclure :

L’évaluation des compétences et aptitudes : Un test d’environ 30 minutes comprenant des questions sur les compétences générales et les comportements d’étude. Ce test évalue les compétences intellectuelles, les attitudes envers le travail et la coopération en équipe.

L’évaluation du niveau de langue : Des tests en interne pour évaluer le niveau d’espagnol et/ou d’anglais des candidats, selon la langue d’enseignement du programme choisi. Un niveau minimum de B2 est requis pour certaines sections, notamment la traduction.

L’entretien de motivation : Un entretien personnel pour évaluer la pertinence du candidat pour le programme choisi sera conduit durant le processus d’admission. En revanche, pas besoin de fournir une lettre de motivation lors de la candidature !

Découvrir les campus de l’Universidad Europea : Madrid, Valence, Alicante et les Canaries

L’Universidad Europea accorde une grande importance à la technologie éducative. Chaque campus propose des équipements à la pointe de la technologie, notamment :

Des laboratoires de simulation médicale, permettant aux étudiants des filières santé de pratiquer des scénarios cliniques réalistes.
Des laboratoires d’expérimentation scientifique, équipés de matériel dernier cri pour la recherche et l’innovation.
De salles d’enseignement interactives équipées de systèmes audiovisuels avancés, favorisant un apprentissage dynamique.

Le campus de l'Universidad Europea

Comment suivre un cursus à l’UE avec Take Me to MedSchool ?

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous analysons ensemble votre niveau académique et si celui-ci peut vous permettre de rejoindre l’Universidad Europea pour les spécialités que vous souhaitez.
Réalisation et envoie de votre dossier

Étape 2

Une fois le cursus validé, nous réalisons ensemble le dossier spécifiquement pour l’université. Notre conseiller vous suivra pendant toute la procédure et réalisera avec vous un dossier au niveau des attentes de l’UE.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis au sein de l’Universidad Europea, nous vous assistons dans la préparation de votre départ pour l’Espagne afin que vous débutiez votre formation dans les meilleures conditions

AnywhereUni : Contact Take me to MedSchool

Écrit par Jean-Baptiste le 5 mars 2025. Publié dans Landing-Page. Aucun commentaire sur AnywhereUni : Contact Take me to MedSchool

Suivez votre vocation dans la santé à l’étranger !

Prendre contact avec un conseiller

Un accompagnement dans vos démarches pour étudier la santé à l’international

Take Me to MedSchool est une agence dédiée à l’accompagnement des étudiants souhaitant rejoindre un cursus de santé à l’international.

Nous vous accompagnons tout au long de vos démarches à travers notamment le choix des cursus, des universités, du pays, puis de la réalisation de votre dossier. Nous irons jusqu’à vous aider à préparer votre départ une fois votre admission validée.

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous évaluons ensemble les possibilités qui s’offrent à vous et nous assurons de l’adéquation de votre projet avec votre parcours.
Réalisation et envoie de votre dossier

Étape 2

Une fois votre projet défini, vous bénéficiez de l’expertise et du réseau de nos conseillers pour réaliser ensemble un dossier d’inscription répondant aux attentes des universités.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis dans l’une de nos universités partenaires, nous vous accompagnons pour préparer votre départ et débuter votre cursus dans les meilleures conditions.

Quelles spécialités pour étudier à l’étranger avec Take Me to Medschool ?

Take Me to Medschool a mis en place de nombreux partenariats avec des universités en Europe et même hors Europe afin de couvrir les spécialités les plus demandées par les étudiants français. A travers nos services, vous pourrez rejoindre une formation dans les domaines d’études suivants :

Études de médecine
Études de kinésithérapie
Études dentaires
Études de vétérinaire
Études en Pharmacie

Une fois admis, les étudiants embrassent un parcours rigoureux alliant théorie, pratique clinique et recherche, préparant ainsi la nouvelle génération de professionnels de santé à contribuer au système médical en Europe.

Vous êtes prêt à vous lancer ?

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Pourquoi choisir Take Me To MedSchool ?

L’agence Take Me to MedSchool dispose d’une compétence et de connaissances uniques dans le secteur d’éducation supérieure et de la santé. Grâce à ses conseillers, elle est capable de fournir un service d’accompagnement d’exception qui mettra toutes les chances de votre côté pour suivre votre vocation.

Vous souhaitez en savoir plus ? Nous vous présentons notre expertise à travers 6 avantages majeurs :

Un réseau exceptionnel d’universités partenaires
L’accès à des programmes en anglais, français et espagnol
Des conseillers avec plus de 10 ans d’expérience
Des connaissances exceptionnelles sur les procédures d’admission
Des tarifs abordables pour votre suivi
La possibilité de postuler jusqu’en Juillet

Ces universités sont accrédités et proposent des diplômes reconnus en France ainsi que le reste de l’Europe, afin de poursuivre votre carrière par la suite là où vous le souhaitez.

Quelles sont nos universités partenaires les plus demandées ?

Nous avons développé un réseau d’universités partenaires disposant de formations reconnues en France afin de vous proposer des formations d’excellence reconnues en Europe.

Voici quelques uns des établissements les plus demandés, bien que la liste soit bien plus importante !

Madrid, Valencia, Canarias – Espagne

Universidad Europea (UE)
Valence, Espagne

Université Cardenal Herrera
Murcia, Espagne

Catholic University of Murcia

Les études de Médecine à l’étranger : le guide

Écrit par Jean-Baptiste le 3 février 2025. Publié dans Non classé. Aucun commentaire sur Les études de Médecine à l’étranger : le guide

Études de Médecine à l’étranger : nos conseils

Comment intégrer un cursus de Médecine à l’étranger ? Nos services :

En France, l’accès aux études de médecine est un véritable défi, avec un taux de réussite inférieur à 20 % au concours PASS et LAS. Face à cette sélection drastique, pourquoi ne pas explorer les opportunités offertes par des formations à l’étranger, reconnues dans toute l’Union européenne ?

De nombreux pays européens proposent des cursus médicaux de qualité, avec des taux d’admission plus accessibles tout en offrant des enseignements en anglais et des infrastructures modernes. Ces programmes mettent l’accent sur la pratique clinique, permettant de développer des compétences immédiatement valorisables et reconnues partout en Europe.

Take Me to Medschool vous accompagne pour identifier le cursus idéal à l’étranger, maximisant vos chances de réussite et vous ouvrant les portes d’une carrière médicale prometteuse.

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous analysons ensemble les options disponibles et vérifions que votre projet s’aligne avec votre parcours académique et vos objectifs.
Réalisation et envoie de votre dossier

Étape 2

Une fois votre projet défini, nos conseillers vous guident pour préparer un dossier d’inscription en adéquation avec les attentes des universités.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis dans une université partenaire, nous vous assistons dans la préparation de votre départ afin que vous débutiez votre formation dans les meilleures conditions

Les programmes de Médecine partout dans le monde

Take Me to Medschool offre son expertise pour accompagner les étudiants vers plus d’une douzaine de destinations. Chaque pays a ses spécificités en termes de démarches, coûts et cursus. Voici un résumé des différentes destinations accessibles avec nous.

Espagne

Durée : 6 ans pour un diplôme de Grado en Medicina

Frais : À partir de 680 € par an (universités publiques) et entre 6 000 € et 20 000 € par an (universités privées)
Royaume-Uni

Durée : 5 à 6 ans pour un Bachelor of Medicine, Bachelor of Surgery (MBBS ou MBChB)

Frais : Minimum 9 250 £ par an pour les étudiants nationaux et européens
Hongrie

Durée : 6 ans pour un diplôme de médecine reconnu en Europe

Frais : Minimum 8 000 € par an.
Chypre

Durée : 6 ans pour un Doctor of Medicine (MD)

Frais : À partir de 10 000 € par an.
Roumanie

Durée : 6 ans pour un diplôme de Doctor en Médecine (MD)

Frais : Environ 4 500 € par an.
Australie

Durée : 5 à 6 ans pour un Bachelor of Medicine, Bachelor of Surgery (MBBS) ou Doctor of Medicine (MD)

Frais : De 30 000 à 50 000 AUD par an (18 000 à 30 000 €).
Nouvelle-Zélande

Durée : 6 ans pour un Bachelor of Medicine and Bachelor of Surgery (MBChB)

Frais : 25 000 à 35 000 NZD par an (15 000 à 20 000 €).
Irlande

Durée : 5 à 6 ans pour un Bachelor of Medicine, Bachelor of Surgery ou Bachelor of the Art of Obstetrics

Frais : 3 000 € par an

Quelles sont nos universités partenaires pour les études de Médecine ?

Take Me to Medschool vous offre un accompagnement personnalisé pour intégrer des universités médicales partout en Europe et dans d’autres régions du monde. Grâce à notre expertise, nous préparons des dossiers sur mesure pour répondre aux exigences spécifiques de chaque destination.

Nous collaborons avec plusieurs établissements renommés, avec lesquels nous avons établi des partenariats solides. Cependant, notre réseau de formations et notre expertise en médecine ne se limite pas à ces exemples, et nous explorons sans cesse de nouvelles opportunités pour vous proposer des solutions adaptées à vos ambitions.

Faites confiance à Take Me to Medschool pour ouvrir les portes de votre futur parcours médical, où que vous souhaitiez étudier.

Madrid, Valence, Alicante Espagne

Universidad Europea
Madrid, Valence, Espagne

Cardenal Herrera University
Madrid, Espagne

Universidad Francisco de Vitoria

Ces institutions proposent une variété de programmes conçus pour répondre aux attentes des étudiants internationaux, en leur offrant des formations adaptées et de grande qualité. Elles accueillent chaque année des futurs professionnels de santé, dont de nombreux aspirants médecins, venus des quatre coins du globe pour concrétiser leurs ambitions.

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Pourquoi rejoindre un programme à l’international afin de devenir médecin ?

Malgré la suppression du numerus clausus en 2020, les études de médecine en France restent extrêmement sélectives. Désormais, le système PASS (Parcours d’Accès Spécifique Santé) et LAS (Licence avec Accès Santé) régulent l’entrée en deuxième année via une combinaison de résultats académiques et d’épreuves spécifiques.

Cette réforme vise à augmenter le nombre de professionnels formés, mais les places restent limitées, et le taux d’échec demeure élevé, laissant de nombreux étudiants sans possibilité de poursuivre leur vocation médicale.0

Éviter la sélection française en Médecine

Pour contourner les barrières de la sélection en France, de nombreux étudiants se tournent vers des universités à l’étranger, où les processus d’admission sont souvent plus accessibles. Dans certains pays, il suffit de présenter un dossier académique solide et de réussir un entretien ou une évaluation. Si de très bons résultats sont toujours nécessaires, l’admission est au moins validée dès la fin du processus ! Ces conditions permettent à davantage d’étudiants de débuter leurs études de médecine tout en bénéficiant d’une formation de qualité reconnue.
Des opportunités d’admission plus accessibles

En France, l’accès aux études médicales est souvent synonyme de compétition intense et de sélection drastique. Entre le numerus apertus et les épreuves de sélection exigeantes, de nombreux étudiants voient leur vocation freinée malgré leur motivation et leurs compétences.

À l’étranger, les universités privées proposent des conditions d’admission plus flexibles, privilégiant l’évaluation du parcours académique et des motivations personnelles plutôt qu’un concours éliminatoire. Ce système permet à un plus grand nombre d’étudiants passionnés de concrétiser leur projet professionnel et d’entamer leur formation médicale sans obstacle administratif excessif.
Une formation médicale adaptée à un contexte international

Les universités étrangères accueillent des étudiants venus de divers horizons et s’adaptent aux exigences d’un enseignement globalisé.

Les établissements proposent des cursus en anglais, ce qui permet aux futurs médecins d’acquérir des compétences linguistiques précieuses, essentielles dans un domaine où la communication internationale est de plus en plus importante. Selon le pays choisi, certaines formations sont également accessibles en espagnol ou en français, offrant une large palette de choix en fonction des préférences de l’étudiant.
Un enrichissement culturel et professionnel

Étudier la médecine à l’étranger, c’est aussi évoluer dans un environnement multiculturel et se confronter à des approches médicales variées.

Cette immersion favorise non seulement l’adaptabilité et l’ouverture d’esprit, mais elle permet également aux étudiants d’élargir leur vision des pratiques de soins à travers le monde. Cette diversité constitue un véritable atout pour leur future carrière, en leur offrant une approche plus globale de la médecine et en les préparant à exercer dans des contextes médicaux internationaux.
Des diplômes reconnus et une mobilité accrue

L’un des avantages majeurs des études de médecine à l’étranger est la reconnaissance des diplômes en Europe. Les universités que nous proposons sont accréditées selon les standards européens, permettant aux diplômés d’exercer en France ou dans d’autres pays après validation des démarches administratives nécessaires.

Cette reconnaissance offre aux futurs médecins une grande liberté de choix quant à leur lieu d’installation et à leurs perspectives de carrière, que ce soit en France ou ailleurs.
Un tremplin vers une carrière internationale

Opter pour des études de médecine à l’étranger, c’est non seulement contourner les barrières d’admission restrictives, mais aussi s’ouvrir à des opportunités professionnelles plus vastes.

Grâce à une formation de haut niveau, un réseau international et une solide expérience interculturelle, les diplômés sont mieux préparés aux exigences du métier et disposent d’un profil attractif dans le secteur de la médecine, en France comme à l’étranger.

Quel profil pour postuler aux formations de médecine à l’international ?

Malgré un processus d’admission différent, accéder à des études de médecine à l’international exige un dossier solide, combinant de bonnes performances académiques, des compétences linguistiques adaptées et, dans certains cas, une expérience pertinente dans le domaine de la santé.

Dans le publique, les pays disposent de leur propre système d’admission principalement à l’échelle nationale. Dans le privé, chaque université applique ses propres critères, mais certains éléments restent essentiels pour maximiser ses chances d’admission.

Voici les principaux éléments que nous attendons des étudiants pour les accompagner afin de trouver une formation de médecine :

Un dossier académique rigoureux

Bon niveau indispensable

Les universités médicales étrangères recherchent avant tout des candidats ayant démontré un excellent niveau académique, en particulier dans les matières scientifiques. Un bon dossier scolaire est souvent un critère déterminant pour l’admission.

Excellents résultats en biologie, chimie et physique, souvent considérés comme essentiels pour une réussite en médecine.

Un diplôme de fin d’études secondaires reconnu, correspondant aux exigences d’entrée des universités ciblées. Certains établissements peuvent demander des équivalences ou des certifications supplémentaires.

Des tests d’entrée sont requis, notamment dans certaines facultés qui souhaitent évaluer les connaissances scientifiques et l’aptitude des candidats à suivre un programme exigeant.
Un bon niveau dans la langue d’enseignement

Les langues

Étudier à l’étranger signifie souvent suivre un cursus dans une langue autre que sa langue maternelle. Les candidats doivent prouver leur capacité à comprendre et à s’exprimer couramment dans la langue d’enseignement.

Pour les cursus en anglais, il est généralement nécessaire de fournir un score satisfaisant à des examens tels que le TOEFL ou l’IELTS si l’anglais n’est pas la langue maternelle du candidat.

Pour les formations dans d’autres langues, une certification officielle attestant du niveau linguistique peut être exigée (DELE pour l’espagnol, DALF/TCF pour le français, etc.).
Des examens et tests spécifiques selon l’université

Les tests d’admission

Certaines universités imposent des tests d’admission afin d’évaluer le niveau scientifique et les aptitudes des étudiants à entreprendre des études médicales. Ces évaluations varient selon le pays et l’établissement, et peuvent inclure :

Des épreuves de biologie, chimie et physique pour tester les connaissances fondamentales.

Des tests de raisonnement logique et scientifique, similaires au BMAT ou au MCAT dans certains systèmes éducatifs.

Des entretiens de motivation afin d’évaluer la détermination du candidat et son adéquation avec les exigences du programme.
Une expérience pratique : un plus pour se démarquer

Parfois obligatoire

Bien que majoritairement non obligatoire, avoir une première expérience dans le domaine de la santé peut être un véritable atout. On pense notamment à :

Un stage en milieu médical, bénévolat dans des structures de soins ou toute expérience d’observation en hôpital ou cabinet médical peuvent valoriser le dossier.

Une implication dans des projets humanitaires ou associatifs liés à la santé montre un engagement fort envers la profession et une bonne compréhension des réalités du métier.

Quelles sont les dates clés pour partir étudier la médecine à l’étranger ?

Pour maximiser vos chances d’intégrer une faculté de médecine à l’international, il est recommandé d’entamer les démarches au moins un an avant la rentrée universitaire. Chaque pays et université ayant son propre calendrier d’admission, une organisation rigoureuse est essentielle pour ne manquer aucune étape clé du processus.

1. Ouverture des inscriptions

Septembre à Decembre
2. Préparation des dossiers

Septembre à Janvier
3. Fermeture des inscriptions

Octobre à Février
4. Examens des universités privées

Novembre à Février
5. Examen de langue

Entre Septembre et Juillet
6. Admission finale à un cursus

Mai à Juillet
7. Préparation au départ

Juillet à Août
8. Rentrée universitaire

Septembre à Octobre

Se lancer dans un projet d’études médicales à l’étranger nécessite une planification minutieuse. En vous y prenant à l’avance à travers nos services, vous mettez toutes les chances de votre côté pour intégrer l’université de votre choix et commencer votre parcours dans les meilleures conditions.

Quelles sont les démarches pour vos études de médecine à l’international ?

L’admission aux universités publiques
Les facultés de médecine publiques en Europe appliquent des critères de sélection rigoureux, souvent définis par des réglementations nationales. Ces procédures d’admission, particulièrement sélectives, présentent plusieurs spécificités à connaître avant de postuler.

Un système national d’admission

L’admission dans les formations publiques de médecine demande de suivre les rêgles mis en place pour la majorité des pays.

Par exemple, l’Espagne demande de passer des examens espagnols pour obtenir une moyenne qui sera comparée à la « Nota de Corte » pour valider votre admission. Ce sont généralement des processus relativement complexes, qui se rapprochent de la France en termes de sélectivité.

Une concurrence accrue avec les étudiants locaux

La majorité des pays en Europe font face à un manque de médecins. Pour éviter qu’un trop grand nombre d’étudiants étrangers viennent dans un pays pour bénéficier d’une formation de médecine, puis revienne dans leur pays d’origine dès la fin de la formation, les universités publiques réservent une partie de leurs places aux étudiants nationaux.

Cela limite donc l’accès pour les candidats internationaux. Dans certains pays, un quota spécifique est attribué aux étudiants étrangers, rendant la sélection encore plus compétitive. Il est donc crucial de connaître les démarches et se préparer aux concours nationaux afin d’obtenir une bonne place dans les classements.

Une maîtrise de la langue locale souvent requise

Dans de nombreux pays, l’enseignement en faculté de médecine publique se fait dans la langue nationale, comme l’allemand, l’espagnol, l’italien ou le polonais. Les cursus dispensés en anglais restent plus fréquents dans les universités privées que dans les institutions publiques. Les candidats doivent souvent justifier d’un niveau de langue suffisant via des tests officiels ou des certifications linguistiques.

Un accès sélectif nécessitant une préparation approfondie

Compte tenu des critères stricts et de la forte concurrence, intégrer une université publique pour des études de médecine requiert une préparation minutieuse, incluant :
- Une excellente performance académique dès le secondaire.
- Une préparation aux examens d’entrée, lorsqu’ils sont requis.
- Une certification linguistique adaptée au pays d’accueil.
- Une anticipation des démarches administratives pour respecter les délais d’inscription.
Pour les étudiants souhaitant rejoindre une faculté publique à l’étranger, il est essentiel de bien se renseigner sur les conditions d’admission spécifiques à chaque université et de s’y préparer en amont afin d’optimiser ses chances de réussite.
Les universités privées : une option plus flexible pour les étudiants internationaux
Dans de nombreux pays d’Europe et au-delà, les facultés de médecine privées offrent une alternative aux universités publiques grâce à un recrutement sur dossier plutôt que sur concours et une plus grande diversité de formations.

Ces établissements attirent de nombreux étudiants souhaitant contourner la forte sélection des universités publiques tout en bénéficiant d’un enseignement de qualité.

Un recrutement basé sur l’évaluation du dossier

Contrairement aux universités publiques où l’admission repose souvent sur un concours très sélectif, les universités privées évaluent les candidatures principalement sur dossier. Plusieurs éléments sont pris en compte :
- Le parcours académique : des résultats solides en sciences (biologie, chimie, physique) sont appréciés.
- La lettre de motivation : elle doit mettre en avant la vocation médicale du candidat et sa capacité à réussir dans ce domaine exigeant.
- Les lettres de recommandation : certains établissements demandent des références d’enseignants ou de professionnels de santé.
- Des tests d’entrée facultatifs : quelques universités exigent une épreuve d’admission, mais celle-ci reste souvent plus accessible que les concours publics.
Des formations dispensées dans plusieurs langues

Un autre atout des facultés de médecine privées est la diversité des langues d’enseignement proposées. Selon l’université et le pays, les cours peuvent être suivis en :
- Anglais : largement répandu dans les cursus internationaux.
- Espagnol, français ou allemand : selon les établissements et les destinations.
Cette diversité linguistique facilite l’intégration des étudiants internationaux et leur permet de choisir une formation correspondant à leurs compétences linguistiques.

Une ouverture à des profils diversifiés

Les universités privées accordent une importance particulière à la motivation et au parcours du candidat, ce qui permet à un plus large éventail d’étudiants d’accéder aux études de médecine. Elles sont souvent plus inclusives envers :
- Les étudiants ayant un dossier scolaire correct mais non exceptionnel.
- Ceux possédant une expérience dans le domaine médical, comme un stage en hôpital ou une activité bénévole liée à la santé.
- Les candidats démontrant une forte motivation pour la profession médicale.
Un coût plus élevé à anticiper

Le principal inconvénient des universités privées reste le coût des études, qui peut représenter un investissement important.
- Les frais de scolarité varient selon le pays et l’établissement, mais ils s’élèvent souvent entre 10 000 € et 20 000 € par an, voire plus pour certaines institutions de renom.
- Les frais annexes incluent le logement, les assurances, les manuels et les équipements médicaux nécessaires à la formation.
Une alternative intéressante pour les étudiants déterminés

Choisir une université privée pour ses études de médecine peut être une excellente option pour ceux qui souhaitent éviter les concours très sélectifs des universités publiques. Cependant, cette option implique une planification financière rigoureuse afin de couvrir l’ensemble des frais liés aux études et à la vie étudiante à l’étranger.

Comment fonctionne la reconnaissance des formations de Médecine réalisées à l’étranger lors de votre retour en France ?

Rejoindre un cursus de médecine à l'étranger avec Take Me to MedSchool

L’exercice de la médecine en France pour les diplômés ayant effectué leur formation à l’étranger est soumis à un cadre réglementaire strict, visant à garantir un niveau de compétence et de sécurité optimal pour les patients.

La reconnaissance des diplômes varie en fonction du pays dans lequel la formation a été réalisée et implique plusieurs étapes, allant de l’évaluation académique à l’inscription au Conseil de l’Ordre des Médecins.

1. L’évaluation de l’équivalence du diplôme

Avant toute chose, il est essentiel de déterminer si le diplôme obtenu à l’étranger correspond aux standards de formation en vigueur en France. Cette reconnaissance diffère selon le pays d’obtention du diplôme :

🔹 Pour les diplômés issus de l’Union Européenne (UE), de l’Espace Économique Européen (EEE) ou de la Suisse

Les médecins diplômés dans ces pays bénéficient d’une reconnaissance automatique de leurs qualifications professionnelles, sous réserve que la formation suivie soit conforme aux directives européennes. Ces directives établissent des normes communes en matière d’enseignement et de formation clinique, garantissant une homogénéité des compétences des professionnels de santé.

Les démarches consistent généralement à fournir un dossier administratif comprenant :

Le diplôme de médecine reconnu par l’autorité compétente du pays d’obtention.
Une attestation de conformité aux directives européennes.
La preuve d’une expérience clinique si requise.

Une fois ces documents validés, le médecin peut s’inscrire directement auprès du Conseil National de l’Ordre des Médecins et obtenir l’autorisation d’exercer en France.

🔹 Pour les diplômés hors UE/EEE

La procédure est plus complexe pour les médecins ayant obtenu leur diplôme en dehors de l’Union Européenne. La reconnaissance de leur formation passe par plusieurs étapes rigoureuses visant à garantir que leur niveau de compétences et de connaissances médicales est en adéquation avec les exigences françaises.

Les démarches incluent :

Une évaluation approfondie du programme d’études suivi, afin de s’assurer qu’il couvre les connaissances médicales fondamentales et les pratiques cliniques exigées en France.
L’envoi d’un dossier de demande de reconnaissance auprès des autorités françaises compétentes, généralement le Centre National de Gestion (CNG) et la Commission d’autorisation d’exercice.

Dans de nombreux cas, une simple reconnaissance académique ne suffit pas et les médecins doivent passer par une procédure de validation supplémentaire.

La procédure d’autorisation d’exercice pour les diplômés hors UE

Les médecins formés en dehors de l’Union Européenne doivent suivre un processus d’évaluation plus poussé avant d’être autorisés à exercer en France. Ce parcours comprend plusieurs étapes incontournables :

🔹 Épreuve de vérification des connaissances (EVC)

Cet examen est conçu pour évaluer la maîtrise des connaissances médicales du candidat et s’assurer qu’elles sont équivalentes à celles des diplômés français. Il porte sur des domaines variés comme :

La sémiologie et le diagnostic médical.
La prise en charge des pathologies courantes.
L’éthique et la réglementation médicale en France.

L’épreuve étant particulièrement exigeante, une préparation rigoureuse est nécessaire pour maximiser ses chances de succès.

🔹 Test de langue française

Une maîtrise suffisante du français est impérative pour exercer la médecine en France. Les candidats doivent généralement fournir une certification de leur niveau de langue (comme le DELF ou le DALF) ou réussir un test de français médical évaluant leur capacité à interagir avec les patients et le personnel soignant.

🔹 Stage de consolidation des compétences (année probatoire ou stage d’adaptation)

Une fois les épreuves validées, certains candidats doivent réaliser un stage en milieu hospitalier pour démontrer leur capacité à exercer en conformité avec les standards français. Ce stage permet également aux médecins étrangers de se familiariser avec le fonctionnement du système de santé français et d’acquérir une expérience clinique reconnue.

L’inscription au Conseil National de l’Ordre des Médecins

L’inscription au Conseil National de l’Ordre des Médecins est une étape obligatoire pour tous les praticiens souhaitant exercer en France, qu’ils soient diplômés en France ou à l’étranger. Cette inscription atteste de la conformité du parcours du médecin aux exigences nationales et lui permet d’exercer légalement.

Les pièces justificatives à fournir incluent :

L’attestation de reconnaissance du diplôme ou l’autorisation d’exercice.
Une preuve d’identité et d’adresse.
Un extrait de casier judiciaire.
Une déclaration sur l’honneur de respect des règles déontologiques françaises.

L’Ordre des Médecins examine chaque dossier avant de délivrer un numéro d’inscription, indispensable pour exercer légalement en tant que médecin en France.

Le respect des obligations légales et déontologiques

Une fois inscrit à l’Ordre des Médecins, le praticien doit se conformer aux obligations légales et éthiques en vigueur en France. Ces règles visent à garantir un exercice médical de qualité, respectueux des droits des patients et des principes fondamentaux de la profession.

🔹 Respect du Code de Déontologie Médicale

Les médecins exerçant en France sont tenus de respecter un ensemble de règles éthiques strictes, encadrées par le Code de Déontologie Médicale. Ces règles concernent notamment :

Le secret médical et la confidentialité des patients.
L’obligation de fournir des soins conformes aux connaissances médicales les plus récentes.
L’interdiction de toute pratique discriminatoire ou abusive.

🔹 Obligation de formation continue

Afin de garantir un niveau de compétence optimal tout au long de leur carrière, les médecins doivent suivre un programme de Développement Professionnel Continu (DPC). Celui-ci comprend des formations régulières sur les avancées médicales, les nouvelles techniques diagnostiques et thérapeutiques, ainsi que des mises à jour sur la réglementation en vigueur.

Un parcours exigeant, mais accessible avec une bonne préparation

L’accès à la profession médicale en France pour les diplômés étrangers suit une logique visant à garantir la qualité des soins et la compétence des praticiens. Pour les candidats déterminés, une bonne anticipation des démarches, une préparation minutieuse aux épreuves et une connaissance approfondie du système médical français sont des éléments essentiels pour réussir leur intégration et obtenir le droit d’exercer.

On répond à vos questions les plus courantes sur les études de Médecine à l’étranger

Décider d’entreprendre des études de médecine à l’étranger peut sembler être un projet ambitieux. Entre les démarches administratives, les critères d’admission et l’adaptation à un nouveau système éducatif, il est normal d’avoir de nombreuses interrogations. Cependant, avec une bonne préparation et l’accompagnement de Take Me to Medschool, ce parcours devient plus clair et plus accessible.

Voici les réponses aux questions les plus fréquemment posées afin de vous guider dans votre projet et vous permettre d’aborder sereinement cette nouvelle aventure académique et professionnelle.

Pouvez-vous m’accompagner avec d’autres universités que vos partenaires ?

Oui, absolument ! Bien que Take Me to Medschool collabore avec un réseau d’universités partenaires sélectionnées pour leur formation de médecine, notre accompagnement ne se limite pas à ces établissements. Si vous souhaitez postuler à une université qui ne fait pas partie de nos partenaires, nous pouvons toujours vous guider à travers les différentes étapes de votre admission.

Nous vous proposerons un accompagnement sur mesure, adapté à votre projet et aux exigences spécifiques de l’université ciblée. Un devis personnalisé vous sera fourni afin que vous puissiez bénéficier de nos services, même sans partenariat direct avec l’établissement de votre choix.
Quand dois-je vous contacter pour débuter les démarches ?

Il est fortement conseillé de débuter les préparatifs au moins 12 mois avant la date de départ prévue. Cette anticipation vous permettra de sélectionner le programme qui correspond le mieux à votre projet, de réunir les documents demandés et de vous inscrire aux éventuels examens requis par certaines universités.

Nous disposons cependant d’un processus spécifique pour les « inscriptions tardives » après le 31 Mai de chaque année. Il est donc possible de nous contacter pour vous inscrire après cette date.

Prendre de l’avance dans vos démarches vous assure une meilleure organisation et maximise vos chances d’admission, en évitant les imprévus liés aux délais administratifs ou aux exigences spécifiques de chaque établissement.
Comment choisir son pays pour ses études de médecine ?

Le choix du pays pour vos études de médecine dépend de plusieurs critères essentiels. Les conseillers Take Me to MedSchool sont disponibles pour vous accompagner et naviguer entre les possibilités qui s’offrent à vous.

La reconnaissance du diplôme : Vérifiez si le diplôme est reconnu dans le pays où vous souhaitez exercer, notamment en France ou en Europe.

La langue d’enseignement : Certaines universités proposent des formations en anglais, français ou espagnol, mais d’autres exigent une maîtrise de la langue locale.

Les conditions d’admission : Selon le pays, l’admission peut se faire sur dossier, via un examen d’entrée ou un concours sélectif.

Le coût des études et frais de vie : Comparez les frais universitaires (de gratuits à plus de 30 000 €/an) et le coût de la vie dans chaque pays.

La qualité de l’enseignement et l’accès aux stages : Privilégiez un pays offrant de bonnes opportunités de formation clinique et un système de santé performant.

La vie étudiante et l’adaptation sur place : Le climat, la culture et les infrastructures étudiantes jouent un rôle important dans votre bien-être et votre réussite académique.

Un choix bien réfléchi vous permettra de réussir vos études et d’optimiser vos perspectives professionnelles. Nous sommes ici pour vous accompagner dans ce choix.
Des cursus de médecine en français sont-ils disponibles à l’étranger ?

Oui, plusieurs pays européens proposent des formations de médecine en français, notamment l’Espagne, la Belgique, la Suisse, et certains pays d’Europe de l’Est. Ces programmes offrent une excellente alternative pour les étudiants souhaitant étudier à l’étranger tout en conservant un enseignement en français.

Les études de Pharmacie à l’étranger : le guide

Écrit par Jean-Baptiste le 29 janvier 2025. Publié dans Non classé. Aucun commentaire sur Les études de Pharmacie à l’étranger : le guide

Études de Pharmacie à l’étranger : nos conseils

Comment intégrer un cursus de Pharmacie à l’étranger ? Nos services :

Les études de pharmacie sont un parcours exigeant, mais fondamental pour ceux qui aspirent à jouer un rôle clé dans les soins de santé, la recherche et l’innovation pharmaceutique. En France, les voies d’accès aux études de pharmacie peuvent être limitées, notamment en raison d’une sélection rigoureuse et de l’intensité des programmes. Pour contourner ces obstacles, de nombreux étudiants choisissent de se tourner vers des formations à l’international, qui offrent une alternative enrichissante et souvent plus accessible.

MediStudy et son équipe d’experts vous permet d’explorer les options disponibles et identifier les programmes à l’étranger qui correspondent à vos aspirations.

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous analysons ensemble les options disponibles et vérifions que votre projet s’aligne avec votre parcours académique et vos objectifs.
Réalisation et envoie de votre dossier

Étape 2

Une fois votre projet défini, nos conseillers vous guident pour préparer un dossier d’inscription en adéquation avec les attentes des universités.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis dans une université partenaire, nous vous assistons dans la préparation de votre départ afin que vous débutiez votre formation dans les meilleures conditions

Les programmes de Pharmacie partout dans le monde

MediStudy offre son expertise pour accompagner les étudiants vers un cursus en Pharmacie sur plus d’une douzaine de destinations. Chaque pays a ses spécificités en termes de démarches, coûts et cursus. Voici un résumé des différentes destinations accessibles avec nous.

Espagne

Durée : 5 ans pour un diplôme de Grado en Farmacia.

Frais : Min 680 € (publique) ou de 6000 à 20 000 € (privé)
Royaume-Uni

Durée : 4 ans pour un Master of Pharmacy (MPharm).

Frais : Minimum 9 250 £.
Hongrie

Durée : 5 ans pour un diplôme en pharmacie reconnu en Europe.

Frais : Minimum 8 000 € par an.
Chypre

Durée : 5 ans pour un Bachelor en Pharmacie.

Frais : À partir de 10 000 € par an.
Roumanie

Durée : 5 ans pour un diplôme de pharmacien.

Frais : Environ 4 500 € par an.
Australie

Durée : 4 ans pour un Bachelor of Pharmacy, suivi d’un stage pour l’inscription professionnelle.

Frais : De 30 000 à 50 000 AUD par an (18 000 à 30 000 €).
Nouvelle-Zélande

Durée : 4 ans pour un Bachelor of Pharmacy.

Frais : 25 000 à 35 000 NZD par an (15 000 à 20 000 €).
Irlande

Durée : 5 ans pour un Master en Pharmacie (MPharm).

Frais : 3 000 € par an

Quelles sont nos universités partenaires pour les études de Pharmacie à l’international ?

MediStudy met à votre disposition son expertise pour vous guider dans la réalisation de dossiers adaptés à de nombreuses destinations, en Europe et ailleurs.

Que vous souhaitiez intégrer une des universités partenaires mentionnées ci-dessous ou explorer d’autres options, nous vous accompagnons à chaque étape de votre projet.

Madrid, Valence, Alicante Espagne

Universidad Europea
Madrid, Espagne

Universidad CEU San Pablo
Porto, Portugal

Université de CESPU

Ces établissements offrent des programmes diversifiés pour répondre aux besoins des étudiants internationaux et accueillent de futurs pharmaciens venus du monde entier.

Vous êtes prêt à vous lancer ?

Contactez-nous dès maintenant pour commencer ensemble votre projet.

Nous contacter

Pourquoi rejoindre un programme à l’international afin d’étudier la Pharma ?

En France, l’accès aux études de pharmacie peut s’avérer difficile en raison de la forte sélectivité des formations et des filières saturées. Cette compétition, combinée à des critères exigeants, limite les opportunités pour de nombreux étudiants motivés.

Face à ces contraintes, étudier la pharmacie à l’étranger devient une alternative attractive, offrant des avantages significatifs :

Des formations reconnues et de qualité

Les universités internationales, en particulier celles de l’Union Européenne, proposent des programmes de pharmacie alignés sur des standards académiques élevés. Ces diplômes sont souvent reconnus en France et dans de nombreux pays du monde.
Accès élargi aux admissions

Contrairement au système français, où la sélection est particulièrement compétitive, de nombreuses universités étrangères offrent des processus d’admission basés sur des dossiers académiques et des entretiens, sans concours national.
Des études en anglais, espagnol ou même français !

Les universités à l’étranger, conscientes de la diversité croissante des étudiants internationaux, offrent des programmes adaptés aux besoins linguistiques variés. Que vous choisissiez d’étudier en anglais, espagnol, ou même français, il existe des formations de pharmacie accessibles dans de nombreux pays.
L’apprentissage dans un environnement multiculturel

Étudier à l’étranger permet de développer des compétences interculturelles précieuses et de travailler aux côtés d’étudiants et de professeurs issus de divers horizons.

En suivant des études de pharmacie dans un autre pays, vous pouvez améliorer vos compétences linguistiques et acquérir une perspective globale sur la santé et la pharmacologie.
Une reconnaissance des diplômes au niveau européen

Les diplômes de pharmacie obtenus à l’étranger, notamment dans des universités partenaires de programmes comme MediStudy, bénéficient d’une reconnaissance au niveau européen, garantissant leur validité et leur conformité aux normes éducatives et professionnelles.

Étudier à l’étranger dans une université reconnue offre ainsi non seulement une formation de qualité mais également la possibilité d’exercer dans plusieurs pays européens, augmentant vos perspectives de carrière à l’international.

Quel profil pour postuler aux formations de Pharmacie à l’international ?

Intégrer un cursus de pharmacie à l’étranger nécessite de démontrer un ensemble de compétences académiques, linguistiques et personnelles. Les universités internationales recherchent des candidats capables de réussir leurs programmes exigeants et de contribuer positivement à un environnement académique multiculturel. Voici les critères clés développés pour vous guider dans la préparation de votre candidature :

Les compétences académiques solides

Le dossier

Les études de pharmacie sont fortement ancrées dans les sciences, ce qui rend indispensable une base académique robuste dans les disciplines suivantes :

Chimie : Les bases de la chimie organique et inorganique sont essentielles, car elles jouent un rôle central dans la compréhension des médicaments, de leur composition et de leurs interactions.

Biologie : Une bonne maîtrise de la biologie, notamment en biologie cellulaire et en physiologie humaine, est cruciale pour comprendre le fonctionnement du corps et l’effet des médicaments.

Mathématiques et physique (parfois requis) : Ces matières peuvent être demandées dans certains programmes pour aborder des sujets comme la pharmacocinétique et la pharmacodynamie.
Les compétences linguistiques

Les langues

La langue d’enseignement du programme choisi est un critère fondamental. Selon le pays et l’université, les cours peuvent être dispensés en anglais, en français, ou dans une autre langue locale (espagnol, allemand, etc.).

Pour les programmes en anglais : Minimum de 6.0 à 7.5 à l’IELTS ou 80 à 100 au TOEFL

Pour les autres langues (espagnol, allemand, etc.) : équivalent du niveau B2 dans le score de l’examen
Tests d’admission

Spécifique à chaque université

Certaines universités, en particulier celles d’Europe centrale (Hongrie, Pologne, etc.), peuvent imposer des examens d’entrée. Ces tests évaluent généralement :

Vos connaissances en chimie, biologie et physique.

Vos compétences linguistiques.

Votre raisonnement logique et scientifique.
L’expérience professionnelle

Parfois obligatoire

Bien qu’elle ne soit pas toujours obligatoire, une expérience pratique dans le secteur de la santé peut grandement valoriser votre candidature. Voici quelques exemples d’expériences pertinentes :

Stages en pharmacie : Un stage en officine ou en laboratoire montre que vous avez une compréhension concrète du métier.

Bénévolat ou travail dans le domaine de la santé : Toute expérience dans un cadre médical ou communautaire est un atout.

Projets scolaires : Participation à des concours scientifiques, travaux de recherche ou projets en chimie et biologie.

Quelles sont les dates clés pour partir étudier la Pharmacie à l’étranger ?

Planifier vos études de pharmacie à l’étranger demande anticipation et organisation. Chaque pays et université ayant ses propres échéances, il est recommandé de commencer les démarches au moins 12 mois avant la date prévue de départ. Cela maximise vos chances de postuler à un large éventail de programmes et de destinations. Voici les étapes générales à suivre :

1. Ouverture des inscriptions

Septembre à Decembre
2. Préparation des dossiers

Septembre à Janvier
3. Fermeture des inscriptions

Octobre à Février
4. Examens des universités privées

Novembre à Février
5. Examen de langue

Entre Septembre et Juillet
6. Admission finale à un cursus

Mai à Juillet
7. Préparation au départ

Juillet à Août
8. Rentrée universitaire

Septembre à Octobre

Commencer vos démarches tôt est la clé pour réussir votre admission en pharmacie à l’étranger. Avec une planification rigoureuse et l’aide des conseillers MediStudy, vous pourrez naviguer sereinement à travers ces étapes et maximiser vos chances de rejoindre un programme de qualité.

Contactez-nous dès maintenant pour bénéficier d’un accompagnement personnalisé à chaque étape de votre projet académique.

Quelles sont les démarches pour vos études de Pharma à l’international ?

Admission aux universités publiques

Les universités publiques en Europe et ailleurs proposent souvent des formations en pharmacie reconnues pour leur rigueur et leur qualité académique. Cependant, ces programmes sont très compétitifs en raison d’un nombre de places limité. Voici les principales caractéristiques et démarches :

1. D’excellents résultats scolaires requis
Les universités publiques exigent généralement des résultats académiques exceptionnels, en particulier dans les matières scientifiques comme la chimie, la biologie et parfois les mathématiques. Les relevés de notes du secondaire ou du baccalauréat jouent un rôle clé dans l’évaluation de votre candidature.

2. Faire face à la concurrence avec les étudiants locaux
Dans la plupart des pays, les étudiants internationaux sont en concurrence directe avec les résidents pour accéder aux programmes publics. Cela rend les admissions plus sélectives, surtout dans les pays où l’accès à l’éducation publique est fortement subventionné.

3. Devoir maîtriser la langue locale
Dans de nombreux cas, les cours dans les universités publiques sont dispensés dans la langue officielle du pays (espagnol, allemand, italien, etc.). Les candidats doivent démontrer leur maîtrise de cette langue via des certifications ou des tests spécifiques. Les programmes en anglais dans les universités publiques sont plus rares, mais existent dans certains pays comme les Pays-Bas, les pays nordiques ou même l’Italie !

4. Faire face aux examens d’entrée ou aux concours nationaux
Certaines universités publiques exigent des tests d’entrée spécifiques pour évaluer les connaissances des candidats en sciences. Une préparation approfondie est souvent nécessaire pour réussir ces examens. Pour des pays comme l’Espagne, il s’agit au contraire de concours au niveau national basé sur un examen global.
Admission aux universités privés

Les universités privées offrent des processus d’admission plus flexibles et sont une option de choix pour les étudiants qui souhaitent éviter les restrictions des programmes publics. Voici les spécificités et démarches associées :

1. Une admission sur dossier
Les universités privées évaluent généralement les candidats sur la base de leur dossier académique, de leur lettre de motivation et de recommandations. Ces institutions cherchent des profils variés, ce qui permet à des étudiants ayant une expérience pratique ou un parcours atypique d’avoir une chance d’être admis.

2. Des langues d’enseignement variées
Les programmes privés proposent souvent des formations en anglais, en espagnol, ou même en français, ce qui facilite l’intégration des étudiants internationaux. Ces universités répondent aux besoins des étudiants en offrant des cursus adaptés aux marchés globaux.

3. De la flexibilité dans les admissions
Contrairement aux universités publiques, les admissions dans les établissements privés ne reposent pas uniquement sur des notes excellentes. Les universités prennent en compte la motivation, la personnalité et l’engagement du candidat, ce qui en fait une option plus accessible pour certains étudiants.

4. Des examens d’entrée plus accessibles
Bien que certains programmes privés puissent exiger des tests d’entrée, ces derniers sont généralement moins contraignants que ceux des universités publiques. Les exigences spécifiques varient d’un établissement à l’autre.

5. Un coût des études qui représente un investissement important
Le coût des universités privées reste la principale barrière pour de nombreux étudiants. Les frais de scolarité peuvent atteindre plusieurs milliers d’euros par an, allant souvent de 10 000 € à 25 000 € selon le pays et l’établissement.

Comment fonctionne la reconnaissance des formations de Phamarcie à l’étranger lors de votre retour en France ?

Rejoindre un cursus en Pharmacie à l'étranger avec Take Me to MedSchool

La reconnaissance des diplômes de pharmacie obtenus à l’étranger est un processus encadré par des réglementations européennes et nationales visant à garantir que les professionnels répondent aux standards académiques, techniques et déontologiques nécessaires pour exercer en France.

Voici les étapes principales et les démarches spécifiques pour les diplômés étrangers souhaitant intégrer la profession de pharmacien en France.

1. Vérification de l’équivalence du diplôme

La première étape pour pratiquer en France en tant que pharmacien diplômé à l’étranger consiste à établir l’équivalence entre le diplôme obtenu et ceux délivrés en France.

Pour les diplômés de l’UE, de l’EEE et de la Suisse :

Les directives européennes facilitent une reconnaissance automatique des qualifications professionnelles dans ces zones. Les diplômés doivent néanmoins :

Soumettre un dossier administratif contenant des documents tels que le diplôme, les relevés de notes, et les descriptions des cours suivis.
Vérifier que leur formation respecte les standards européens, notamment en termes de durée, de contenu, et de compétences pratiques.

Pour les diplômés hors UE :

Les diplômés issus de pays hors de l’Union Européenne doivent passer par une procédure d’évaluation plus rigoureuse, qui peut inclure :

Une analyse détaillée du contenu de leur cursus par les autorités compétentes françaises, notamment le Centre National de Gestion (CNG).
Une évaluation des différences entre la formation suivie et le cursus français en pharmacie.
Des démarches administratives supplémentaires pour prouver que leur diplôme et expérience professionnelle respectent les exigences françaises.

Procédure d’autorisation d’exercice

Une fois l’équivalence étudiée, les diplômés hors UE doivent obtenir une autorisation spécifique pour exercer en France. Cette procédure comprend généralement plusieurs étapes :

Examen de langue française :

Les candidats doivent prouver qu’ils possèdent un niveau suffisant de maîtrise du français, indispensable pour interagir efficacement avec les patients, les professionnels de santé, et les autorités.

Examen d’aptitude ou d’équivalence :

Cet examen, organisé par les autorités compétentes, évalue les compétences théoriques et pratiques du pharmacien.

Les épreuves peuvent couvrir des domaines tels que la pharmacie clinique, la pharmacologie, les législations françaises sur les médicaments, ou encore les bonnes pratiques de dispensation.

Stage d’adaptation ou formation complémentaire :

En cas de lacunes dans leur formation initiale, les diplômés peuvent être invités à suivre un stage pratique en pharmacie hospitalière ou d’officine, ou bien à compléter des cours spécifiques au sein d’une université française.

Inscription à l’Ordre National des Pharmaciens

Une fois l’équivalence ou l’autorisation d’exercice obtenue, il est obligatoire de s’inscrire à l’Ordre National des Pharmaciens pour exercer en France. Cette inscription :

Permet de valider officiellement le droit de pratiquer.
Implique un engagement à respecter les règles déontologiques et éthiques de la profession.
Assure une supervision des pharmaciens exerçant sur le territoire.

Respect des obligations légales et déontologiques

Les pharmaciens exerçant en France, qu’ils soient diplômés en France ou à l’étranger, doivent se conformer aux exigences suivantes :

Respect des lois françaises :

Cela inclut l’application des règles en matière de dispensation des médicaments, de confidentialité des données des patients, et de gestion des stocks.

Formation continue obligatoire :

Les pharmaciens doivent régulièrement actualiser leurs connaissances et compétences en participant à des programmes de formation continue.

On répond à vos questions les plus courantes sur les études de Pharma à l’étranger

S’engager dans des études de pharmacie à l’étranger peut être un projet passionnant, mais il soulève souvent de nombreuses interrogations. Avec une préparation adéquate et des conseils éclairés, vous pouvez naviguer en toute sérénité à travers les différentes étapes nécessaires pour concrétiser votre rêve.

Voici les réponses aux questions que vous vous posez fréquemment pour vous aider à mieux comprendre et planifier votre parcours.

Pouvez-vous m’accompagner avec d’autres universités que vos partenaires ?
Oui, il est tout à fait possible d’être accompagné pour un cursus en Pharmacie même si l’université que vous ciblez ne fait pas partie de notre réseau de partenaires. Nous vous aiderons à :
- Identifier les programmes adaptés à votre profil académique et vos ambitions.
- Préparer les documents nécessaires pour votre candidature (traductions, lettres de motivation, etc.).
- Comprendre les exigences spécifiques de chaque université, qu’elles soient partenaires ou non.
- Réaliser l’inscription et le suivi du dossier
Quand dois-je vous contacter pour débuter les démarches ?
Il est recommandé de nous contacter au moins 12 à 18 mois avant la rentrée universitaire prévue. Ce délai permet :
- De choisir sereinement le pays et l’université qui vous conviennent.
- De compléter les démarches administratives et de candidature, souvent longues à l’international.
- D’anticiper les éventuelles exigences, comme les tests de langue (TOEFL, IELTS) ou l’équivalence des diplômes.
- De planifier votre arrivée (visa, logement, assurances, etc.).
Comment choisir son pays pour ses études de Pharmacie ?
Le choix du pays dépend de plusieurs facteurs, et nous serons à même de vous accompagner afin de faire le bon choix. On retrouve notamment les points suivants :
1. Reconnaissance du diplôme en France : Si vous souhaitez exercer en France après vos études, privilégiez les pays de l’UE pour bénéficier de la reconnaissance automatique des diplômes.
2. Langue d’enseignement : Optez pour un pays où vous maîtrisez la langue, ou choisissez un programme proposé en anglais ou en français.
3. Frais de scolarité et coût de la vie : Certains pays offrent des études moins coûteuses ou des programmes de bourses.
4. Qualité de la formation : Informez-vous sur la réputation des universités et les opportunités de stages en pharmacie (hospitalière ou d’officine).
Nos conseillers peuvent vous aider à évaluer ces critères et vous orienter vers le pays qui répond le mieux à vos attentes.
Des cursus de Pharmacie en français sont-ils disponibles à l’étranger ?

Oui, certains pays proposent des programmes de pharmacie entièrement en français, notamment l’Espagne ou plusieurs pays d’Europe de l’Est.

Ces programmes facilitent l’intégration des étudiants francophones et permettent de limiter les défis liés à la barrière linguistique tout en offrant des diplômes souvent reconnus sur le plan européen ou international. Nous pouvons vous aider à explorer ces options et à préparer vos candidatures.

Études de Kinésithérapie à l’étranger : le guide

Écrit par Jean-Baptiste le 7 janvier 2025. Publié dans Non classé. Aucun commentaire sur Études de Kinésithérapie à l’étranger : le guide

Études de Kinésithérapie à l’étranger : nos conseils

Comment intégrer un cursus de kinésithérapie à l’étranger ? Nos services :

Les difficultés d’accès aux cursus de kinésithérapie en France et la sélection importante peuvent dissuader de nombreux étudiants de poursuivre leur vocation. Cependant, avez-vous déjà pensé à l’étranger pour obtenir votre place dans un cursus reconnu partout en Europe ?

Les études à l’international sont toutes aussi valorisantes et reconnues si vous choisissez la bonne formation. Elles permettent aux étudiants d’explorer les techniques les plus récentes, de travailler avec des équipements modernes et de développer une perspective globale sur les soins physiques. Ces programmes internationaux, souvent axés sur la pratique, offrent une expérience d’apprentissage complète et enrichissante.

MediStudy vous accompagne pour trouver le programme de kinésithérapie à l’étranger qui correspond à vos aspirations et maximise vos chances de concrétiser vos ambitions professionnelles.

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous analysons ensemble les options disponibles et vérifions que votre projet s’aligne avec votre parcours académique et vos objectifs.
Réalisation et envoie de votre dossier

Étape 2

Une fois votre projet défini, nos conseillers vous guident pour préparer un dossier d’inscription en adéquation avec les attentes des universités.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis dans une université partenaire, nous vous assistons dans la préparation de votre départ afin que vous débutiez votre formation dans les meilleures conditions

Les programmes de kinésithérapie partout dans le monde

MediStudy offre son expertise pour accompagner les étudiants vers plus d’une douzaine de destinations. Chaque pays a ses spécificités en termes de démarches, coûts et cursus. Voici un résumé des différentes destinations accessibles avec nous.

Espagne

Durée : 4 ans pour un diplôme de Grado en Fisioterapia.

Frais : Min 680 € (publique) ou de 6000 à 20 000 € (privé)
Royaume-Uni

Durée : 3 à 4 ans pour un Bachelor of Science (BSc) in Physiotherapy.

Frais : Minimum 9 250 £.
Hongrie

Durée : 4 ans pour obtenir un diplôme reconnu de kinésithérapie.

Frais : Minimum 8 000 € par an.
Chypre

Durée : 4 ans pour un Bachelor en kinésithérapie.

Frais : À partir de 10 000 € par an.
Roumanie

Durée : 4 ans pour un diplôme de kinésithérapeute (fizioterapie).

Frais : Environ 4 500 € par an.
Australie

Durée : 4 ans pour un Bachelor of Physiotherapy.

Frais : De 30 000 à 50 000 AUD par an (18 000 à 30 000 €).
Nouvelle-Zélande

Durée : 4 ans pour un Bachelor of Physiotherapy.

Frais : 25 000 à 35 000 NZD par an (15 000 à 20 000 €).
Irlande

Durée : 4 ans pour un BSc en physiothérapie.

Frais : 3 000 € par an.

Quelles sont nos universités partenaires pour la Kinésithérapie ?

MediStudy peut vous accompagner dans toute l’Europe et même au-delà. Notre expertise nous permet de réaliser des dossiers adaptés vers de nombreuses destinations.

Voici plusieurs exemples d’universités avec lesquelles nous avons mis en place un accord, bien que les possibilités d’étudier la kinésithérapie avec nous ne s’arrêtent pas là !

Madrid, Valence, Alicante Espagne

Universidad Europea
Madrid, Valence, Espagne

Cardenal Herrera University
Madrid, Espagne

Universidad Francisco de Vitoria

Ces établissements offrent des programmes diversifiés pour répondre aux besoins des étudiants internationaux et accueillent de futurs kinésithérapeutes venus du monde entier.

Vous êtes prêt à vous lancer ?

Contactez-nous dès maintenant pour commencer ensemble votre projet.

Nous contacter

Pourquoi rejoindre un programme à l’international afin de devenir Kinésithérapeute ?

La France dispose d’un concours de Kinésithérapie disposant d’une compétitivité importante avec un taux d’échec élevé. Pour accéder à un IFMK, les étudiants doivent réussir un concours qui combine une sélection sur dossier et parfois des épreuves spécifiques. Le faible taux de réussite de ce concours accentue la frustration pour ceux qui n’obtiennent pas de place malgré leurs efforts.

Opter pour des études de kinésithérapie à l’étranger offre de nombreux avantages, notamment l’accès à des formations de haute qualité, la découverte de nouvelles cultures et des opportunités de carrière enrichissantes.

Étudier à l’international permet aux futurs professionnels de la santé de se préparer à un environnement de travail globalisé et de développer des compétences recherchées.

Éviter la sélection française en Kinésithérapie

Chaque année, le nombre de places disponibles dans les instituts de formation en masso-kinésithérapie (IFMK) est plafonné par un numerus clausus fixé au niveau national. Cette limitation engendre une forte compétition entre les candidats et laisse de nombreux étudiants sur le carreau, même parmi les profils prometteurs.
Plus d’admissions à l’étranger

En France, l’accès aux études de kinésithérapie reste limité et extrêmement compétitif. À l’international, de nombreux pays offrent des admissions plus ouvertes avec des processus basés sur des dossiers et des entretiens, plutôt que sur des concours rigides. Ces conditions permettent à un plus grand nombre d’étudiants de concrétiser leur projet de devenir kinésithérapeute, sans être freiné par une sélection restreinte.
Des études en anglais, espagnol ou même français !

Les universités à l’étranger s’adaptent de plus en plus aux besoins des étudiants internationaux, proposant des programmes de kinésithérapie dans diverses langues : principalement en anglais, mais aussi en espagnol ou en français selon l’établissement.

Ainsi, il est tout à fait possible de suivre une formation complète dans votre langue préférée, dans un cadre international.
Étudier dans un environnement international

Les programmes de kinésithérapie à l’international offrent l’opportunité d’évoluer dans un cadre multiculturel, entouré d’étudiants venus des quatre coins du monde.

Cette expérience permet de développer des compétences interculturelles précieuses, tout en enrichissant sa vision des soins de santé. Travailler et étudier dans un environnement aussi diversifié est un atout majeur pour la future carrière des étudiants.
Une reconnaissance des diplômes au niveau européen

Les diplômes obtenus à l’international dans les établissements partenaires de MediStudy sont reconnus par l’Ordre National des Masseurs-Kinésithérapeutes en France. Vous pourrez ainsi exercer votre profession sur le territoire français après avoir effectué les démarches administratives nécessaires.

Par ailleurs, ces diplômes sont également valables dans l’ensemble de l’Europe, offrant une grande flexibilité pour commencer votre carrière où vous le souhaitez.

Quel profil pour postuler aux formations de Kinésithérapie à l’international ?

Pour accéder aux études de kinésithérapie à l’étranger, les candidats doivent présenter un profil équilibré, combinant des compétences académiques solides, une éventuelle expérience pratique dans le domaine de la santé, des compétences linguistiques appropriées (si le cours est dispensé dans une langue autre que leur langue maternelle), ainsi qu’une motivation démontrée pour exercer dans ce secteur.

Voici les principaux éléments qui constituent un profil compétitif pour intégrer une formation de kinésithérapie à l’étranger :

Les compétences académiques

Le dossier

1. Excellentes notes dans les matières scientifiques pertinentes, telles que la biologie, l’anatomie et la physiologie, au niveau secondaire.

2. Un diplôme d’études secondaires reconnu satisfaisant les exigences d’admission des universités ciblées.

3. Pour certaines universités, la réussite à des examens d’entrée spécifiques ou des tests standardisés peut être requise.
Les compétences linguistiques

Les langues

1. Pour les programmes non anglophones, les candidats doivent fournir une preuve de compétence dans la langue d’enseignement.

2. Pour les programmes en anglais, des scores compétitifs à des tests de langue tels que le TOEFL ou l’IELTS sont souvent nécessaires si l’anglais n’est pas votre langue maternelle.
Tests d’admission

Spécifique à chaque université

Certaines universités exigent des tests d’admission spécifiques pour intégrer leurs formations en kinésithérapie. Ces tests peuvent évaluer vos connaissances scientifiques et votre aptitude à réussir dans le domaine. Une préparation rigoureuse est essentielle pour maximiser vos chances de succès.
L’expérience professionnelle

Parfois obligatoire

Bien qu’elle ne soit pas obligatoire pour les études de kiné, une expérience pratique dans le domaine de la santé, comme un stage dans un cabinet de kinésithérapie ou une implication dans des activités médicales, peut être un avantage décisif. Cela démontre votre engagement et votre compréhension des réalités du métier.

Quelles sont les dates clés pour partir étudier la kinésithérapie à l’étranger ?

Il est recommandé de commencer vos démarches au moins 12 mois avant la date prévue de départ pour maximiser vos chances d’accès à un large éventail d’universités et de pays. Chaque université et destination ayant des calendriers spécifiques, une planification précoce est essentielle. Voici un aperçu général des étapes clés :

1. Ouverture des inscriptions

Septembre à Decembre
2. Préparation des dossiers

Septembre à Janvier
3. Fermeture des inscriptions

Octobre à Février
4. Examens des universités privées

Novembre à Février
5. Examen de langue

Entre Septembre et Juillet
6. Admission finale à un cursus

Mai à Juillet
7. Préparation au départ

Juillet à Août
8. Rentrée universitaire

Septembre à Octobre

Pour garantir le bon déroulement de vos démarches, anticipez et contactez MediStudy dès que possible. Avec une planification soignée et un accompagnement expert, vous serez prêt à intégrer un programme de kinésithérapie à l’international dans les meilleures conditions !

Quelles sont les démarches pour vos études de Kiné à l’international ?

Admission aux universités publiques
Les universités publiques en Europe disposent souvent d’un système de sélection national ou propre à chaque établissement pour les formations en kinésithérapie. Ces procédures sont généralement compétitives et présentent plusieurs caractéristiques :
1. Excellents résultats scolaires requis : Les universités publiques exigent des notes élevées, notamment dans les matières scientifiques telles que la biologie et la physique, qui sont essentielles pour la kinésithérapie.
2. Concurrence avec les étudiants locaux : Les places étant limitées, les étudiants internationaux sont souvent en compétition directe avec les résidents du pays, ce qui augmente la sélectivité.
3. Maîtrise de la langue locale : Dans de nombreux cas, les programmes publics sont dispensés dans la langue du pays d’accueil, comme l’espagnol, l’allemand ou l’italien. Les formations en anglais ou en français restent plus rares dans les universités publiques.
En raison de ces facteurs, l’accès aux universités publiques pour les études de kinésithérapie est souvent difficile et nécessite une préparation rigoureuse.
Admission aux universités privés
Les universités privées, présentes dans de nombreux pays européens et au-delà, offrent des processus d’admission plus flexibles et inclusifs :
1. Admission sur dossier : Les établissements privés évaluent principalement les résultats académiques, la lettre de motivation et les éventuelles recommandations. Quelques universités peuvent également exiger des examens spécifiques, mais ces derniers sont généralement moins contraignants que dans les universités publiques.
2. Langues d’enseignement variées : Les universités privées proposent souvent des formations en anglais, en espagnol, et parfois même en français, ce qui facilite l’intégration des étudiants internationaux.
3. Accessibilité pour des profils variés : Bien que de bons résultats académiques soient toujours appréciés, les universités privées sont généralement plus ouvertes à des profils divers, ce qui peut inclure des candidats ayant une expérience pratique ou une motivation démontrée pour le domaine.
4. Coût des études : La principale barrière reste le coût, qui peut s’élever à plusieurs milliers d’euros par an. Les frais varient en fonction du pays et de l’établissement, mais il est conseillé de prévoir un budget d’au moins 10 000 € par an pour les études de kinésithérapie dans une université privée.

Comment fonctionne la reconnaissance des formations de Kinésithérapeute à l’étranger lors de votre retour en France ?

Comment suivre une formation de Kinésithérapie à l'étranger ?

En France, la reconnaissance des diplômes de kinésithérapie obtenus à l’étranger est régie par des directives européennes et nationales.

Ce processus garantit que les diplômés internationaux répondent aux normes professionnelles et académiques françaises, leur permettant ainsi de pratiquer en toute légalité. Voici les étapes principales :

Vérification de l’équivalence du diplôme

Pour les diplômés de l’UE, de l’Espace Économique Européen (EEE) ou de la Suisse, les directives européennes sur la reconnaissance des qualifications professionnelles facilitent l’équivalence des diplômes. Cette reconnaissance est automatique sous réserve de fournir les documents administratifs requis et de vérifier que la formation suivie respecte les standards européens.

Pour les diplômés hors UE, il est nécessaire de passer par une procédure plus stricte qui peut inclure :

Une évaluation du contenu de la formation suivie.
Des démarches administratives auprès des autorités compétentes françaises.

Procédure d’autorisation d’exercice

Les diplômés en kinésithérapie hors UE doivent souvent suivre une procédure spécifique pour obtenir l’autorisation d’exercer en France. Cela peut inclure :

Un examen de langue pour prouver une maîtrise suffisante du français.
Un examen d’équivalence qui évalue les compétences théoriques et pratiques du candidat.

Inscription à l’Ordre National des Vétérinaires

Une fois l’équivalence du diplôme reconnue ou l’autorisation d’exercer obtenue, l’inscription à l’Ordre National des Masseurs-Kinésithérapeutes est obligatoire. Cette étape permet de valider le droit de pratiquer en France et de s’engager à respecter les règles déontologiques en vigueur.

Respect des obligations légales et déontologiques

En tant que professionnel de santé en France, le kinésithérapeute doit :

Respecter les lois françaises relatives à la pratique de la kinésithérapie.
Participer à des programmes de formation continue pour mettre à jour ses connaissances et compétences tout au long de sa carrière.

On répond à vos questions les plus courantes sur les études de Kiné à l’étranger

Se lancer dans des études de kinésithérapie à l’étranger peut sembler un processus complexe, mais avec une bonne préparation et des informations claires, tout devient plus accessible. Voici les réponses aux questions les plus fréquentes pour vous guider :

Pouvez-vous m’accompagner avec d’autres universités que vos partenaires ?

Oui, bien que MediStudy travaille en étroite collaboration avec ses universités partenaires, nous pouvons également vous accompagner dans vos démarches avec d’autres établissements.

Nous vous fournirons un devis adapté à votre projet pour bénéficier d’un accompagnement personnalisé même sans partenariat direct.
Quand dois-je vous contacter pour débuter les démarches ?

Il est recommandé de commencer les préparatifs au moins 12 mois avant votre départ prévu. Cela vous laisse le temps de choisir le bon programme, de préparer vos documents et de vous inscrire aux éventuels tests requis.
Comment choisir son pays pour ses études de kinésithérapie ?

La reconnaissance du diplôme
Assurez-vous que le diplôme obtenu est reconnu dans le pays où vous souhaitez exercer. Certains pays exigent des examens supplémentaires pour valider l’équivalence.

Maitrîser la langue d’enseignement
La maîtrise de la langue d’enseignement est essentielle pour réussir. Si le programme est dans une langue étrangère, il peut être utile de suivre des cours de langue avant de commencer.

Choisir les établisseements avec une excellente qualité d’enseignement et d’ infrastructures
Renseignez-vous sur la réputation de l’université et la qualité des installations dédiées à la kinésithérapie. Les classements et les avis d’anciens étudiants sont de bons indicateurs.

Faire attention aux coûts des études et au coût de la vie
Évaluez les frais de scolarité, le coût de la vie dans le pays choisi et explorez les options de bourses ou d’aides financières disponibles.

S’intéresser à la culture et au mode de vie
Choisissez un pays où vous pourrez vous adapter facilement au mode de vie et à la culture, car cela affectera votre bien-être sur le long terme.

Renseignez vous avec nous sur les conditions d’admission et exigences
Prérequis académiques, tests linguistiques ou autres démarches nécessaires pour intégrer le programme souhaité sont à connaître avant de débuter les démarches. C’est pour cela que nous sommes là !
Des cursus de kinésithérapie en français sont-ils disponibles à l’étranger ?

Oui, plusieurs pays proposent des formations en français, notamment l’Espagne, la Belgique, la Suisse, le Québec et certains pays d’Europe de l’Est. Ces programmes offrent une excellente alternative pour les étudiants souhaitant étudier à l’étranger tout en conservant un enseignement en français.

Les études Dentaires à l’étranger : le guide

Écrit par Jean-Baptiste le 16 août 2024. Publié dans Non classé. Aucun commentaire sur Les études Dentaires à l’étranger : le guide

Études dentaires à l’étranger

Comment intégrer un cursus de médecine dentaire à l’étranger ? Le guide :

Les études dentaires sont une voie prestigieuse, mais aussi exigeante. En France, l’accès aux études dentaires est soumis à une sélection rigoureuse à travers le PASS (Parcours Accès Spécifique Santé) ou le LAS (Licences Accès Santé). Pour certains étudiants, ce système peut représenter une barrière difficile à franchir.

Cependant, avec l’ouverture internationale et l’existence de programmes d’études dentaires de haute qualité dans de nombreux pays européens et au-delà, de plus en plus d’étudiants français envisagent de poursuivre leurs études dentaires à l’étranger.

Take Me to MedSchool est là pour vous guider afin de trouver le programme de médecine vétérinaire à l’étranger qui vous correspond et de maximiser vos chances de réaliser votre rêve professionnel.

Définition de votre projet

Étape 1

Après avoir pris contact avec nous, nous évaluons ensemble les possibilités qui s’offrent à vous et nous assurons de l’adéquation de votre projet avec votre parcours.
Réalisation et envoie de votre dossier

Étape 2

Une fois votre projet défini, vous bénéficiez de l’expertise et du réseau de nos conseillers pour réaliser ensemble un dossier d’inscription répondant aux attentes des universités.
Admission et préparation au départ

Étape 3

Une fois admis dans l’une de nos universités partenaires, nous vous accompagnons pour préparer votre départ et débuter votre cursus dans les meilleures conditions.

Les programmes d’Odotonlogie partout dans le monde

Take Me to MedSchool dispose d’une expertise qui nous permet de vous accompagner pour partir étudier vers plus d’une douzaines de destinations.

Des pays européens comme l’Espagne, la Roumanie, la Hongrie et le Portugal sont devenus des destinations populaires pour les étudiants français en quête d’une éducation dentaire. Ces pays sont connus pour leurs standards élevés en matière d’éducation, leurs installations modernes et leurs programmes complets souvent enseignés en anglais.

Espagne

Durée : 5 ans pour obtenir le grade de Licenciado en Odontología (équivalent à un diplôme en chirurgie dentaire).

Frais de scolarité :
Universités publiques : À partir de 680 € par an (en fonction de la région et des crédits ECTS).
Universités privées : Entre 6 000 € et 20 000 € par an, selon l’établissement.
Royaume-Uni

Durée : 5 ans pour obtenir le diplôme de Bachelor of Dental Surgery (BDS).

Frais de scolarité : Jusqu’à 9 250 £ par an dans les universités publiques.
Hongrie

Durée : 5 ans pour obtenir le diplôme de Doctor of Dental Medicine (DMD).

Frais de scolarité : Universités publiques et programmes internationaux – Environ 12 000 € à 16 000 € par an.
Roumanie

Durée : 5 à 6 ans pour obtenir le diplôme de Licențiat în Medicină Dentară (équivalent au diplôme en chirurgie dentaire).

Frais de scolarité :
Universités publiques : Entre 2 000 € et 5 000 € par an.
Universités privées : Entre 6 000 € et 12 000 € par an.
Portugal

Durée : 5 ans pour obtenir le diplôme de Licenciado em Medicina Dentária (équivalent au diplôme en chirurgie dentaire).

Frais de scolarité :
Universités publiques : Environ 700 € à 1 200 € par an
Universités privées : Entre 7 000 € et 15 000 € par an.

Quelles sont nos universités partenaires pour les études dentaires ?

Take Me to MedSchool peut vous accompagner dans toute l’Europe et même au-delà. Notre expertise nous permet de réaliser des dossiers adaptés vers de nombreuses destinations. Pour aller encore plus loin, nous disposons de nombreuses universités partenaires proposant des parcours de médecine vétérinaire reconnus partout en Europe.

Madrid, Espagne

Universidad Europea
Glasgow, Écosse

University of Glasgow
Londres, Angleterre

Queen Mary University of London

Prenez contact avec Take Me to MedSchool afin d’obtenir la liste complète des formations et universités accessibles pour une formation dentaire à travers nos services.

Vous êtes prêt à vous lancer ?

Contactez-nous dès maintenant pour commencer ensemble votre projet.

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Pourquoi rejoindre un programme d’Odotonlogie à l’international ?

Plus d’admissions à l’étranger

L’une des principales raisons qui poussent les étudiants à se tourner vers l’étranger pour leurs études dentaires est la difficulté d’accéder aux études en France.

Le numerus clausus en médecine, et donc en dentaire, restreint considérablement le nombre de places disponibles dans les facultés. Malgré la suppression officielle du numerus clausus en 2020, la sélection reste très compétitive. Pour ceux qui ne réussissent pas à franchir cette étape en France, les études dentaires à l’étranger peuvent offrir une alternative viable.
Des formations similaires ou meilleures qu’en France

De nombreux pays à travers le monde offrent des formations dentaires de haute qualité, reconnues au niveau international.

Des destinations comme la Hongrie, la Roumanie, ou encore les pays d’Europe de l’Ouest tels que l’Espagne ou l’Allemagne, sont connues pour la rigueur et l’excellence de leurs cursus dentaires. Certaines universités bénéficient même de partenariats avec des institutions françaises, garantissant une reconnaissance rapide du diplôme obtenu.
Des systèmes d’admission plus flexibles

Contrairement à la France, où les admissions sont strictement régulées, de nombreux pays européens proposent des systèmes d’admission plus flexibles.

Dans des pays comme la Hongrie, la Roumanie, l’Espagne ou encore la Belgique, l’accès aux études dentaires repose sur d’autres critères, comme les résultats académiques au lycée ou des examens d’entrée spécifiques. Cela permet aux étudiants qui ne réussissent pas la première année en France de poursuivre leurs études sans perdre de temps.
Des études en anglais, espagnol ou même français !

Le succès des études à l’étranger pour les futurs dentistes a permis de développer une offre de formations dans tous les langues : anglais, français, espagnol, voire italien sont autant de possibilités pour suivre votre cursus.

Et si vous souhaitez suivre le cursus en français, il existe des établissements dans des pays non francophones qui proposent bel et bien des formations en Odotolongie principalement en français !
Étudier dans un environnement international

Étudier à l’étranger permet également de bénéficier d’une formation internationale. Cela peut être particulièrement enrichissant, car la médecine dentaire évolue rapidement et les approches varient d’un pays à l’autre.

Étudier dans un autre système de santé et dans un cadre multiculturel permet d’acquérir une nouvelle perspective sur les soins dentaires. De plus, l’expérience internationale est un atout de taille sur un CV, que ce soit pour ouvrir son propre cabinet ou pour travailler dans un centre de santé international.
Une reconnaissance des diplômes au niveau européen

Les formations proposées par Take Me to MedSchool sont reconnues par l’Ordre National des Chirgurgiens-Dentistes en France et vous permettront d’exercer à votre retour après la réalisation des démarches appropriées. Vous souhaitez partir exercer ailleurs en Europe ? Votre diplôme est valide dans toute l’Europe afin d’entamer les procédures pour débuter l’exercice de votre activité.

Quel profil pour postuler aux formations dentaires à l’international ?

Le profil pour postuler à une formation d’odontologie à l’international repose sur une combinaison de solides compétences académiques, de maîtrise linguistique, de motivation professionnelle et de qualités personnelles adaptées au domaine médical.

Si vous répondez à ces critères et que vous êtes prêt à relever les défis culturels et académiques d’un cursus à l’étranger, vous avez toutes les chances d’être admis dans une université dentaire de renom.

Voici les éléments clés qui constituent généralement un profil compétitif pour les études dentaires à l’étranger :

Les compétences académiques

Le dossier

1. Un baccalauréat scientifique (ou équivalent) est généralement requis. Les matières clés incluent la biologie, la chimie et la physique.

2. Certains pays exigent des cours avancés en sciences (ex. A-levels au Royaume-Uni, ou équivalent).

3. Un examen d’entrée dépendant des universités auxquelles vous postulez
Les compétences linguistiques

Les langues

Pour les programmes enseignés en anglais :

IELTS (score minimum : 6.5 à 7.0 selon les universités).
TOEFL (score minimum : 90 à 100).

Pour les programmes en d’autres langues (ex. espagnol, hongrois) :

Un niveau B1 à B2 selon le Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) peut être exigé.
Tests d’admission

Spécifique à chaque université

Les tests d’admission sont généralement exigés pour l’entrée dans les programmes dentaires des universités privées partout en Europe. Le test spécifique dépend de l’université et de la formation.
L’expérience professionnelle

Avoir une idée du métier

1. Une expérience de shadowing (observation d’un dentiste en exercice) ou de bénévolat dans un cabinet dentaire est fortement recommandée.

2. Certaines universités apprécient les projets personnels ou le travail bénévole dans des organisations de santé publique.

Quelles sont les dates clés pour vos études dentaires à l’étranger ?

Il est conseillé de nous contacter au moins 12 mois avant la date de départ prévue afin de vous assurer de respecter les délais et d’accèder à un maximum d’universités et pays pour postuler. Chaque pays et université peut potentiellement avoir des dates limites différentes, et le plus tôt pour débuter les démarches est toujours le mieux !

1. Ouverture des inscriptions

Septembre à Decembre
2. Préparation des dossiers

Septembre à Janvier
3. Fermeture des inscriptions

Octobre à Février
4. Examens des universités privées

Novembre à Février
5. Examen de langue

Entre Septembre et Juillet
6. Admission finale à un cursus

Mai à Juillet
7. Préparation au départ

Juillet à Août
8. Rentrée universitaire

Septembre à Octobre

Quelles sont les démarches pour étudier la médecine dentaire à l’international ?

L’admission dans les écoles dentaires des pays européens implique généralement un processus compétitif comprenant des examens d’entrée, des entretiens et l’évaluation des dossiers académiques. Voici un aperçu des exigences typiques :

Admission aux universités publiques

L’admission aux programmes de dentisterie dans les universités publiques européennes varie selon les pays, mais suit généralement des critères rigoureux en raison de la popularité de ce domaine. Les candidats doivent souvent satisfaire à des exigences académiques élevées, notamment de bons résultats en sciences (biologie, chimie) au niveau secondaire ou équivalent.

Certains pays, comme l’Allemagne, imposent un numerus clausus, limitant le nombre de places disponibles. L’admission y est souvent basée sur des notes élevées et, dans certains cas, des examens supplémentaires. En Espagne ou en Italie, les candidats doivent passer des concours spécifiques comme le test IMAT en Italie.

Des programmes enseignés en anglais sont disponibles dans certains pays comme la Hongrie ou la République tchèque, afin d’attirer les étudiants internationaux. Ces programmes exigent des frais de scolarité plus élevés que ceux payés par les résidents locaux, mais restent compétitifs par rapport aux options privées.
Admission aux universités privés

Les universités privées en Europe offrent une alternative accessible pour les études dentaires, souvent moins compétitive que les institutions publiques. L’admission y repose sur des critères académiques plus souples, bien que les candidats doivent encore démontrer une solide compréhension des sciences, notamment en biologie et en chimie.

Contrairement aux universités publiques, les privées mettent souvent l’accent sur des entretiens, des tests d’aptitude ou des essais personnels pour évaluer la motivation des candidats. Les programmes enseignés en anglais sont courants, particulièrement dans des pays comme l’Espagne, la Hongrie, la Bulgarie ou la Pologne, attirant de nombreux étudiants internationaux.

Les frais de scolarité dans les universités privées sont nettement plus élevés, atteignant parfois plusieurs dizaines de milliers d’euros par an. Ces institutions offrent généralement des infrastructures modernes et un encadrement personnalisé, ce qui en fait une option attrayante pour les étudiants prêts à investir dans leur formation.

Comment fonctionne la reconnaissance des formations dentaires à l’étranger lors de votre retour en France ?

Faire des études dentaires à l'international

Le retour en France pour exercer la dentisterie

L’une des considérations essentielles pour les étudiants français qui étudient la dentisterie à l’étranger est la possibilité de revenir en France et d’exercer la profession.

La bonne nouvelle est que les programmes de dentisterie européens sont généralement conçus pour être compatibles avec les exigences de l’Union européenne, ce qui permet aux diplômés de pratiquer relativement facilement en France.

La reconnaissance des diplômes

Les diplômes obtenus dans les écoles dentaires européennes accréditées sont reconnus dans toute l’Union européenne, y compris en France.

Cette reconnaissance est basée sur la Directive européenne sur la reconnaissance des qualifications professionnelles, qui garantit que les qualifications d’un pays de l’UE sont reconnues dans un autre.

Ainsi, les étudiants français diplômés d’écoles dentaires dans des pays comme l’Espagne, la Roumanie, la Hongrie et le Portugal peuvent faire reconnaître leurs diplômes en France.

L’inscription au Conseil National de l’Ordre des Chirurgiens-Dentistes

Pour exercer la dentisterie en France, les diplômés doivent s’inscrire au Conseil National de l’Ordre des Chirurgiens-Dentistes.

Ce processus implique la soumission de documents, y compris la preuve des qualifications, une pièce d’identité et un casier judiciaire vierge. De plus, les candidats doivent démontrer leur maîtrise de la langue française, essentielle pour la communication avec les patients et les interactions professionnelles.

Examens d’équivalence et formation complémentaire

Dans certains cas, le Conseil National de l’Ordre des Chirurgiens-Dentistes peut exiger que les diplômés passent un examen d’équivalence ou suivent une formation complémentaire pour s’assurer que leur éducation répond aux normes françaises.

Ce processus vise à vérifier que les connaissances et compétences du candidat sont conformes à celles requises en France. Les spécificités de cette exigence peuvent varier, il est donc conseillé aux étudiants de contacter le Conseil National de l’Ordre des Chirurgiens-Dentistes pour obtenir des informations détaillées.

S’assurer une intégration professionnelle

Une fois inscrits, les diplômés peuvent commencer à exercer la dentisterie en France. Le processus d’intégration peut impliquer de débuter dans un poste supervisé ou de travailler dans une clinique dentaire pour acquérir de l’expérience.

Le réseautage avec des professionnels du secteur et l’adhésion à des associations dentaires peuvent également être bénéfiques pour le développement de carrière et pour rester à jour avec les tendances du secteur.

On répond à vos questions les plus courantes sur les études dentaires à l’étranger

Préparer ses admissions pour les études dentaires à l’étranger est un processus complexe qui amène de nombreuses questions. Voici nos réponses aux questions les plus répandues :

Pouvez-vous m’accompagner avec d’autres universités que vos partenaires ?

Les universités partenaires listées sur le site disposent d’un partenariat avec notre agence Take Me to MedSchool. Nous travaillons en étroite collaboration avec elles et connaissons parfaitement leurs requis. L’expertise des conseillers Take Me to MedSchool ne s’arrête cependant pas à ces universités, et nous pouvons parfaitement vous accompagner dans vos démarches avec d’autres établissements.

Sans partenariat avec l’université, nous vous soumettrons un devis adapté à votre projet pour nos services d’accompagnement.
Quand dois-je vous contacter pour débuter les démarches ?

Le calendrier universitaire de chaque pays est potentiellement différent de la France. Il est donc difficile de vous donner des dates clés sans connaître les destinations qui vous attirent. Il est recommandé de nous contacter 12 mois avant la date de départ prévue, mais ce requis peut varier selon les destinations et les universités. Le plus tôt reste le mieux !
Comment choisir son pays pour étudier la médecine dentaire ?

La reconnaissance du diplôme

Assurez-vous que le diplôme en médecine dentaire obtenu est reconnu dans le pays où vous envisagez de pratiquer. Certains pays exigent des examens d’équivalence ou une période de formation supplémentaire pour valider un diplôme étranger. Notre agence est parfaitement capable de vous accompagner dans le bon choix de votre formation.

Maîtriser la langue d’enseignement

La maîtrise de la langue d’enseignement est essentielle, particulièrement pour comprendre les cours théoriques et réussir les stages cliniques. Si vous choisissez un programme en anglais dans un pays non anglophone, évaluez votre niveau dans la langue locale, car elle sera souvent nécessaire pour interagir avec les patients.

Assurez-vous de la qualité de l’enseignement et des infrastructures

Choisissez une université réputée dans le domaine de la médecine dentaire. Consultez les classements universitaires et les retours des anciens étudiants pour évaluer la qualité des équipements, des laboratoires et des cliniques universitaires. Nos partenaires sont reconnus au niveau européens et vous offriront une formation de qualité.

Prnezc connaissance du coût des études et du coût de la vie

Les frais de scolarité et le coût de la vie varient considérablement selon le pays. Planifiez votre budget, en tenant compte des frais annexes, et explorez les possibilités de bourses ou d’aides financières. Rejoindre des formations privées a aussi un coût important, mais c’est un investissement à vie !

Assurez vous d’être compatible avec la culture et le mode de vie

Étudier à l’étranger implique une adaptation culturelle et sociale. Privilégiez un environnement où vous vous sentez à l’aise pour vivre plusieurs années, tout en profitant d’une expérience enrichissante.

Prenez connaissance des conditions d’admission et exigences

Chaque université a ses propres critères d’admission : résultats scolaires, tests d’entrée, et examens de langue comme l’IELTS ou le TOEFL. Préparez-vous en amont pour satisfaire à ces exigences. Nous vous accompagnons dans la création de votre dossier pour vous positionner au sein d’une formation dentaire qui correspond à votre niveau académique.
Des cursus de médecine dentaire en français sont-ils disponibles en Europe ?

Plusieurs universités en Belgique, Suisse, Roumanie ou encore en Espagne proposent des formations dentaires en français dans le pays d’accueil afin de répondre à la demande toujours plus importante.

Si l’anglais ou la langue locale restent les plus répandus, il est donc possible de rejoindre une formation en français à l’étranger. Contactez-nous pour prendre connaissance des possibilités qui s’offrent à vous !

Combien gagne un médecin généraliste en France ?

Écrit par Jean-Baptiste le 16 août 2024. Publié dans Non classé. Aucun commentaire sur Combien gagne un médecin généraliste en France ?

Le salaire des médecins généralistes en France : le guide 2024-2025

Les médecins généralistes jouent un rôle crucial dans le système de santé français. Ils sont souvent le premier point de contact pour les patients et assurent le suivi régulier de la santé de leurs patients.

Leur travail est diversifié, allant des consultations à l’accompagnement de maladies chroniques, jusqu’à la gestion administrative et, dans certains cas, des visites à domicile. Ce métier, bien que valorisant, est aussi exigeant en termes de responsabilités et d’heures de travail.

Cet article se propose d’examiner les revenus des médecins généralistes en France selon qu’ils soient salariés ou libéraux, et de comparer ces revenus avec ceux de leurs homologues dans d’autres pays.

1. Le métier de médecin généraliste

Votre rôle et votre mission

Le médecin généraliste est un professionnel de santé de premier recours. Sa mission principale est d’assurer la prise en charge globale des patients, de la prévention des maladies au suivi des pathologies chroniques, en passant par le diagnostic initial. Il intervient auprès de tous types de patients, sans distinction d’âge ou de sexe, et gère une large variété de pathologies.

Le généraliste doit être en mesure d’identifier les situations nécessitant une consultation spécialisée, d’accompagner les malades dans leurs démarches de soins, et de coordonner les actions avec d’autres professionnels de santé (spécialistes, infirmiers, kinésithérapeutes, etc.).
Les études et la formation

La formation pour devenir médecin généraliste est longue et rigoureuse. Après le baccalauréat, les étudiants en médecine s’engagent dans un parcours de neuf à onze ans d’études. Les six premières années sont constituées d’une formation théorique et pratique en médecine générale. Les trois dernières années, appelées internat, sont consacrées à la spécialisation en médecine générale.

Le cursus inclut des stages hospitaliers et des stages auprès de médecins généralistes déjà en exercice. À l’issue de ces études, l’étudiant obtient le diplôme d’État de docteur en médecine et peut choisir d’exercer en tant que médecin généraliste salarié ou libéral.
Les responsabilités et le cadre de travail

Le médecin généraliste exerce généralement en cabinet libéral ou au sein d’une structure de santé. Il est souvent responsable de son emploi du temps, ce qui peut permettre une certaine flexibilité, mais le métier reste chronophage, notamment avec la gestion des urgences et des demandes imprévues des patients.

Le temps de travail d’un médecin généraliste est souvent estimé à environ 50 à 60 heures par semaine, y compris la gestion administrative, les consultations, les appels téléphoniques et les visites à domicile.

2. Les salaires des médecins généralistes : libéral vs salarié

Médecin généraliste salarié

Les médecins généralistes salariés peuvent exercer dans des hôpitaux publics, des cliniques privées, des centres de santé, des services municipaux de santé, ou encore dans des établissements pour personnes âgées (EHPAD). Leur rémunération est généralement déterminée par une grille salariale prédéfinie, basée sur leur ancienneté, leur niveau de responsabilités, et leur secteur d’activité.

En début de carrière, un médecin généraliste salarié gagne en moyenne entre 3 000 € et 4 500 € brut par mois. Cette rémunération est stable et prévisible, ce qui peut être rassurant pour ceux qui privilégient une certaine sécurité financière.

Après quelques années d’expérience, ce salaire augmente progressivement. Après 5 à 10 ans de carrière, un médecin salarié peut espérer un revenu mensuel brut de 5 500 € à 7 000 €, selon son lieu d’exercice et ses responsabilités (par exemple, s’il prend en charge la gestion d’une équipe ou s’il exerce dans des zones rurales où la demande de soins est plus forte).

Dans les hôpitaux publics, les médecins peuvent également bénéficier d’indemnités supplémentaires (primes de garde, prime d’ancienneté, indemnités pour services spécifiques). Cependant, la rémunération dans le secteur public peut être plus basse que dans le secteur privé à responsabilités égales.
Médecin généraliste libéral

Les médecins généralistes qui choisissent le statut de libéral perçoivent des revenus variables en fonction du nombre de consultations qu’ils effectuent, des actes médicaux qu’ils pratiquent, et de la répartition géographique de leur patientèle. Le mode de rémunération des médecins libéraux est principalement basé sur le tarif conventionné des consultations fixé par la Sécurité sociale, soit 25 € pour une consultation standard en secteur 1 (secteur conventionné sans dépassements d’honoraires). En secteur 2, les médecins peuvent appliquer des dépassements d’honoraires.

En début de carrière, un médecin généraliste libéral gagne en moyenne 6 000 € brut par mois. Cependant, ce chiffre varie considérablement en fonction de la localisation. En zone urbaine, où la concurrence entre médecins est plus forte, les revenus peuvent être plus faibles, tandis qu’en zone rurale ou dans les « déserts médicaux », les médecins peuvent générer des revenus plus élevés du fait de la forte demande de soins.

Après 5 ans d’exercice, les revenus des médecins libéraux augmentent généralement de manière significative. Un médecin généraliste peut alors percevoir un revenu mensuel brut de 8 000 € à 10 000 € en fonction de sa patientèle, du nombre de consultations qu’il effectue et des actes complémentaires qu’il pratique (tels que les visites à domicile ou les consultations spécialisées). De plus, certains médecins généralistes diversifient leurs activités en travaillant pour des établissements privés en parallèle de leur activité libérale, ce qui peut encore augmenter leurs revenus.

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3. Les salaires des médecins généralistes salariés par région

La rémunération des médecins généralistes salariés varie selon la région où ils exercent. Les médecins sont l’une des rares professions où Paris n’est pas particulièrement plus attirant financièrement que le reste de la France. Une surprise, mais facilement explicable par le fait que certaines régions offrent des salaires plus attractifs pour compenser le manque de professionnels de santé.

Voici un tableau des salaires moyens pour les médecins généralistes salariés par région, avec des chiffres à la sortie des études et après 5 ans d’exercice :

Région	Salaire moyen à la sortie des études (€ brut/mois)	Salaire moyen après 5 ans (€ brut/mois)	Source
Île-de-France	3 500	5 700	AP-HP
Provence-Alpes-Côte d’Azur	3 400	5 500	ARS PACA
Nouvelle-Aquitaine	3 200	5 400	ARS Nouvelle-Aquitaine
Auvergne-Rhône-Alpes	3 300	5 600	ARS Auvergne-Rhône-Alpes
Occitanie	3 300	5 500	ARS Occitanie
Hauts-de-France	3 250	5 450	ARS Hauts-de-France

Les salaires varient également en fonction de l’offre et de la demande, notamment dans les régions où l’on constate des pénuries de professionnels de santé. Par exemple, dans des régions moins attractives ou dans les zones rurales, les salaires peuvent être légèrement plus élevés pour inciter les médecins à s’installer. À l’inverse, dans les régions où la concurrence est plus forte, les salaires peuvent être légèrement inférieurs.

4. Les salaires des médecins généralistes libéraux par région

Les médecins généralistes libéraux, contrairement à leurs homologues salariés, voient leurs revenus plus directement impactés par leur localisation et leur patientèle. Le tableau suivant présente les revenus moyens des médecins généralistes libéraux à la sortie des études, puis après cinq ans d’exercice :

Région	Revenu moyen à la sortie des études (€ brut/mois)	Revenu moyen après 5 ans (€ brut/mois)	Source
Île-de-France	6 000	8 500	CARMF
Provence-Alpes-Côte d’Azur	5 800	8 300	CARMF PACA
Nouvelle-Aquitaine	5 700	8 100	CARMF Nouvelle-Aquitaine
Auvergne-Rhône-Alpes	5 600	8 200	CARMF Auvergne-Rhône-Alpes
Occitanie	5 500	8 000	CARMF Occitanie
Hauts-de-France	5 600	8 100	CARMF Hauts-de-France

Les médecins libéraux peuvent bénéficier de divers avantages financiers en exerçant dans des régions sous-dotées, notamment des aides à l’installation proposées par certaines collectivités locales, ce qui peut influencer leur décision quant à la région où exercer.

De plus, les différences de coût de la vie entre les régions jouent également un rôle dans le choix de localisation pour les médecins.

Les salaires des médecins généralistes et libéraux

5. Et si l’on compare les salaires français à ceux des médecins à l’étranger ?

Le salaire des médecins généralistes en France, bien qu’attrayant, peut être inférieur à celui de leurs homologues dans d’autres pays développés.

Voici un aperçu comparatif des salaires des médecins généralistes en France par rapport à dix autres pays européens, auxquels s’ajoutent le Canada et les États-Unis.

Pays	Salaire moyen à la sortie des études (€ brut/an)	Salaire moyen après 5 ans (€ brut/an)	Source
France	72 000	102 000	CNOM
Allemagne	85 000	130 000	Statista
Royaume-Uni	70 000	95 000	BMA
Espagne	60 000	80 000	Colegio Médicos España
Italie	65 000	85 000	FNOMCeO
Belgique	80 000	110 000	INAMI
Pays-Bas	95 000	140 000	NIVEL
Suède	100 000	150 000	Statistiska centralbyrån
Suisse	120 000	180 000	FMH
Danemark	110 000	160 000	Sundhedsstyrelsen
Canada	120 000	180 000	CMA
États-Unis	150 000	250 000	AMA

Si les revenus des médecins généralistes français sont considérés comme confortables, ils peuvent être inférieurs à ceux perçus dans certains pays voisins ou outre-Atlantique. Cela paye de partir travailler à l’étranger, et c’est d’autant plus facile si vous avez aussi fait votre cursus à l’étranger !

Si vous décidez de rester travailler à l’étranger après l’un de nos cursus, vous aurez donc toutes les chances de bénéficiez de conditions égales ou plus attractives que le France. La maîtrise de l’anglais, de l’espagnol ou toute autre langue dans un contexte médical grâce à une formation à l’étranger devient alors capitale.

Grâce aux cursus proposés par Take Me to MedSchool, c’est un monde entier d’opportunités qui s’offrent à vous !

Auteur/autrice : Jean-Baptiste

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